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Il y a des rencontres qui te marquent. Des personnes dont le parcours te fait dire : « C’est possible. Tout est possible. » Marc, 67 ans, fait partie de ces personnes. Ce n’est pas juste l’histoire d’un élève qui apprend la basse. C’est l’histoire d’un homme qui, grâce à la musique, a retrouvé la confiance perdue, l’envie d’aller vers les autres et de ne plus jamais se cacher. Son témoignage est une véritable leçon de vie, une leçon de courage et de passion. Prêt à te prendre une dose d’inspiration pure ?
—->>>> Chez GROOVE LIKE A PIG® on adore la musique. Alors partage cet article sur les réseaux sociaux afin qu’il puisse aider, et encourager d’autres amateurs de basse motivés à progresser ! 🙂
Pour regarder la video de Témoignage mentorat musical basse de Marc depuis ton application YouTube, clique ici.
Si tu penses que l’âge est un obstacle pour apprendre la musique, tu vas prendre une grosse claque. La première chose que Marc a lâché, c’est cette idée reçue.
« Je pense que les peurs, c’est difficile de les mettre de côté, » dit-il. « Déjà, je boirais un petit café avec la personne ou j’essaierais de lui dire comme ce que m’a dit mon pote : ‘Essaye, tu verras bien. Et puis, si ça ne marche pas, tu feras autre chose.
L’âge n’a aucune importance. Le cerveau, il est capable d’apprendre’ « .
Son message est d’une clarté déconcertante : tu n’es pas « trop vieux », tu n’es pas « pas assez doué ».
On t’a juste mal expliqué les choses. Le cerveau est une machine incroyable qui ne demande qu’à apprendre.
Pour Marc, apprendre la basse, ça a été une révélation.
Il a découvert que c’était bien plus que de la technique.
C’était une porte vers la confiance en soi. « Quand sur les photos, vous êtes tout le temps derrière, on vous habituait. En fait, c’est une manie que j’ai ». « Et là, c’est la confiance d’être sur une scène, devant ou de jouer, d’assumer le son, même quand ça ne va pas.
Cette assurance qui se construit tout doucement.
Jouer de la basse, ça, ça m’a permis aussi d’être plus à l’aise avec les gens ».
Tu te rends compte de la puissance de ce qu’il dit ? La basse est un outil pour te sentir bien, pour te connecter aux autres. Pour ne plus jamais te cacher derrière les autres sur une photo.
Marc ne cherchait pas juste à devenir un meilleur bassiste, il cherchait à se reconnecter avec le monde.
« Depuis que je joue ça, ça me donne une clé pour rentrer en relation avec les gens. Ou c’est les gens qui viennent vers moi, ou on parle de musique. Et donc plus de plaisir.
Mon plaisir est aussi dans la relation ».
« C’est un biais pour pouvoir entrer en relation et découvrir des musiciens, tout un tas de gens ».
L’instrument est un prétexte. Un pont vers l’autre. Une invitation à l’échange. Et pour Marc, cette découverte a été la plus belle de toutes.
Si tu devais retenir une seule chose du témoignage de Marc, c’est cette punchline : « Il ne faut pas avoir peur de sa basse.
Il ne faut pas avoir peur de l’escarter. Ce n’est pas un problème.
Il faut y aller ». « Il faut jouer fort. Je ne dis pas de pousser l’ampli, je dis de jouer fort sur la basse avec les cordes ».
Arrête d’être timide.
Laisse ton groove s’exprimer.
C’est le seul moyen de transformer ton jeu et de libérer l’incroyable musicien qui sommeille en toi.
Le témoignage de Marc est une preuve vivante que la passion n’a pas d’âge et que la musique peut être un puissant levier de développement personnel.
Si Marc a pu le faire, toi aussi tu peux y arriver. Il a lâché les doutes, ouvert son cœur à la musique, et a retrouvé la confiance qu’il cherchait.
Et si tu prenais le même chemin ?
u es prêt à groover comme un cochon ?
Bienvenue dans l’aventure GROOVE LIKE A PIG®.
Bonne créativité, Bon groove, Bonne musique.
GROOVE LIKE A PIG®
——->>>>>>> Est-ce que cet article t’a été utile ? Dis-le-moi dans les commentaires ! 🙂
Pour aller plus loin
Tu es libre de rejoindre l’Université GROOVE LIKE A PIG® dans lequel nous avons des cours dédiés à l’improvisation, les cours sont structurés, organisés et dans le bon ordre. Tu pourras avancer à ton rythme, étape par étape.
Blog BassistePro.com – Cours de musique
APPRENDRE LA MUSIQUE AVEC DES PROS PASSIONNÉS
École de musique GROOVE LIKE A PIG® : groovelikeapig.com
La Plus Grosse Communauté Francophone des Musiciens Motivés et Bienveillants qui Veulent Passer au Niveau Supérieur.
Je pense que les peurs, c’est difficile de les mettre de côté.
Comme je disais, déjà, je boirais un petit café avec la personne ou j’essaierais de lui dire comme ce que m’a dit mon pote : ‘Essaye, tu verras bien. Et puis, si ça ne marche pas, tu feras autre chose.’
L’âge n’a aucune importance. Le cerveau, il est capable d’apprendre.
Maintenant, je suis bien placé pour savoir, je bouquine pas mal aussi.
Et on peut apprendre des tas de choses.
On peut apprendre à lire des notes, on peut apprendre à jouer, on peut apprendre à mémoriser des notes sur un manche, on peut apprendre à trouver un équilibre.
Et puis, ça vaut vraiment le coup parce que cette expérience de jouer avec d’autres gens, mais pas forcément tout seul, ce n’est pas forcément intéressant toujours, mais de jouer avec d’autres gens, il faut le ressentir et il faut essayer.
Ça m’est arrivé d’être conseiller pour ça parce que moi, j’ai mis du temps avant d’y aller, mais je serais bien capable de décider quelqu’un à y aller aussi.
L’âge, on s’en fout. Ce n’est pas plus compliqué à mon âge que pour quelqu’un qui a une quinzaine d’années. »
« T’as bien fait de venir. T’as bien fait de rouler, de prendre ton bateau. C’était génial.
Je voulais te rencontrer. Je suis très heureux de t’avoir rencontré en vrai.
Je t’ai vu en Zoom pas mal de fois, mais ça n’a rien à voir.
Et surtout, ce n’était pas pour taper la discute, ce qu’on a pu faire aussi, mais c’est de pouvoir…
L’enseignement, il est là, c’est physique et puis ça bosse. Il faut passer par là.
C’est un moment unique. Dommage. Essayer d’en trouver une autre, mais dommage.
En tout cas, dommage si c’est encore là, si c’est latent, si cette passion-là, elle vous grignote un peu, il faut ouvrir, il faut lâcher les chevaux. »
« Pour ce qui est de la musique ou de la basse, une basse, on peut en trouver.
On vient d’en parler il y a cinq minutes avec Johann, des basses Marcus Miller, même d’occasion, ou bien des…
Moi, j’ai une basse que je n’ai pas payée très cher.
Il faut un petit ampli, il y a moyen.
On peut avoir beaucoup de plaisir et beaucoup de bonheur avec cet instrument-là.
C’est une expérience aussi unique pour quelqu’un qui est toujours un petit peu… »
« Vous savez, moi, je suis très grand, donc 1,95 mètre, je le dis parce que tout le monde s’en fout, mais quand sur les photos, vous êtes tout le temps derrière, on vous y habituait.
En fait, c’est une manie que j’ai.
Et là, c’est la confiance d’être sur une scène, devant ou de jouer, d’assumer le son, même quand ça ne va pas.
Cette assurance qui se construit tout doucement. Jouer de la basse, ça, ça m’a permis aussi. J’ai d’autres passions, mais ça, ça permet d’être plus à l’aise avec les gens. »
« Quand j’ai commencé la basse, au tout début, évidemment, j’écoute de la musique, mais là, j’ai recommencé à écouter de la musique parce qu’en cherchant la basse dedans, dans chaque morceau, dans chaque album, j’ai commencé à vraiment m’ouvrir, beaucoup plus m’ouvrir sur toutes sortes de musiques.
En tout cas, c’est ce qui me concerne.
Je tournais un peu toujours autour des mêmes et j’ai découvert tout un tas d’univers, que ce soit le rock, le blues, le funk, le chanteur français, même les musiques trad.
C’est cette ouverture-là qui m’a permis mon engagement dans le choix de cet instrument-là. »
« Je joue quelques fois dans des petits concerts, dans des repas où il y a pas mal de gens.
Et depuis que je joue ça, ça me donne une clé pour rentrer en relation avec les gens.
Ou c’est les gens qui viennent vers moi, ou on parle de musique. Et donc plus de plaisir. Mon plaisir est aussi dans la relation.
J’ai trouvé une forme de combine de jouer de la musique, ce qui permet, quand je joue correctement, d’intéresser les gens.
C’est un biais pour pouvoir entrer en relation et découvrir des musiciens, tout un tas de gens. Ça, le plaisir, pour moi, c’est là aussi.
J’ai déjà envie de jouer un morceau d’Eddie Nashville de Ruben Ford qu’on se prend depuis quatre jours.
J’ai envie de le jouer vraiment bien et j’ai envie de jouer dans un groupe des musiques que j’aime beaucoup.
Pour l’instant, je ne trouve pas de musicien, sans doute parce que je ne cherche pas correctement, que Johan m’a donné des pistes sur les musiques que j’aime, vraiment.
Là, je joue des morceaux que j’aime beaucoup, des morceaux que j’ai connus, que je connais ou que je découvre, mais c’est souvent des musiques qui ne correspondent pas tout à fait à mes goûts. »
« Donc, j’ai envie de rentrer dans un groupe, si c’est possible, et jouer ces morceaux-là. Là, ça serait vraiment génial. Clarté. Plus fort.
Il ne faut pas avoir peur de sa basse. Il ne faut pas avoir peur de l’escarter.
Ce n’est pas un problème. Il faut y aller. Je ne savais pas que c’était résistant comme ça. Ce n’est pas fragile. Et le son, ça change tout. Quand le son…
On ne sait pas si le son est bon, mais ça n’a pas d’importance.
Si le son qui sort et qui me va, que j’aime, il faut y aller, il faut jouer. Il faut jouer fort. Je ne dis pas de pousser l’ampli, je dis de jouer fort sur la basse avec les cordes. »
By Johann BerbyIl y a des rencontres qui te marquent. Des personnes dont le parcours te fait dire : « C’est possible. Tout est possible. » Marc, 67 ans, fait partie de ces personnes. Ce n’est pas juste l’histoire d’un élève qui apprend la basse. C’est l’histoire d’un homme qui, grâce à la musique, a retrouvé la confiance perdue, l’envie d’aller vers les autres et de ne plus jamais se cacher. Son témoignage est une véritable leçon de vie, une leçon de courage et de passion. Prêt à te prendre une dose d’inspiration pure ?
—->>>> Chez GROOVE LIKE A PIG® on adore la musique. Alors partage cet article sur les réseaux sociaux afin qu’il puisse aider, et encourager d’autres amateurs de basse motivés à progresser ! 🙂
Pour regarder la video de Témoignage mentorat musical basse de Marc depuis ton application YouTube, clique ici.
Si tu penses que l’âge est un obstacle pour apprendre la musique, tu vas prendre une grosse claque. La première chose que Marc a lâché, c’est cette idée reçue.
« Je pense que les peurs, c’est difficile de les mettre de côté, » dit-il. « Déjà, je boirais un petit café avec la personne ou j’essaierais de lui dire comme ce que m’a dit mon pote : ‘Essaye, tu verras bien. Et puis, si ça ne marche pas, tu feras autre chose.
L’âge n’a aucune importance. Le cerveau, il est capable d’apprendre’ « .
Son message est d’une clarté déconcertante : tu n’es pas « trop vieux », tu n’es pas « pas assez doué ».
On t’a juste mal expliqué les choses. Le cerveau est une machine incroyable qui ne demande qu’à apprendre.
Pour Marc, apprendre la basse, ça a été une révélation.
Il a découvert que c’était bien plus que de la technique.
C’était une porte vers la confiance en soi. « Quand sur les photos, vous êtes tout le temps derrière, on vous habituait. En fait, c’est une manie que j’ai ». « Et là, c’est la confiance d’être sur une scène, devant ou de jouer, d’assumer le son, même quand ça ne va pas.
Cette assurance qui se construit tout doucement.
Jouer de la basse, ça, ça m’a permis aussi d’être plus à l’aise avec les gens ».
Tu te rends compte de la puissance de ce qu’il dit ? La basse est un outil pour te sentir bien, pour te connecter aux autres. Pour ne plus jamais te cacher derrière les autres sur une photo.
Marc ne cherchait pas juste à devenir un meilleur bassiste, il cherchait à se reconnecter avec le monde.
« Depuis que je joue ça, ça me donne une clé pour rentrer en relation avec les gens. Ou c’est les gens qui viennent vers moi, ou on parle de musique. Et donc plus de plaisir.
Mon plaisir est aussi dans la relation ».
« C’est un biais pour pouvoir entrer en relation et découvrir des musiciens, tout un tas de gens ».
L’instrument est un prétexte. Un pont vers l’autre. Une invitation à l’échange. Et pour Marc, cette découverte a été la plus belle de toutes.
Si tu devais retenir une seule chose du témoignage de Marc, c’est cette punchline : « Il ne faut pas avoir peur de sa basse.
Il ne faut pas avoir peur de l’escarter. Ce n’est pas un problème.
Il faut y aller ». « Il faut jouer fort. Je ne dis pas de pousser l’ampli, je dis de jouer fort sur la basse avec les cordes ».
Arrête d’être timide.
Laisse ton groove s’exprimer.
C’est le seul moyen de transformer ton jeu et de libérer l’incroyable musicien qui sommeille en toi.
Le témoignage de Marc est une preuve vivante que la passion n’a pas d’âge et que la musique peut être un puissant levier de développement personnel.
Si Marc a pu le faire, toi aussi tu peux y arriver. Il a lâché les doutes, ouvert son cœur à la musique, et a retrouvé la confiance qu’il cherchait.
Et si tu prenais le même chemin ?
u es prêt à groover comme un cochon ?
Bienvenue dans l’aventure GROOVE LIKE A PIG®.
Bonne créativité, Bon groove, Bonne musique.
GROOVE LIKE A PIG®
——->>>>>>> Est-ce que cet article t’a été utile ? Dis-le-moi dans les commentaires ! 🙂
Pour aller plus loin
Tu es libre de rejoindre l’Université GROOVE LIKE A PIG® dans lequel nous avons des cours dédiés à l’improvisation, les cours sont structurés, organisés et dans le bon ordre. Tu pourras avancer à ton rythme, étape par étape.
Blog BassistePro.com – Cours de musique
APPRENDRE LA MUSIQUE AVEC DES PROS PASSIONNÉS
École de musique GROOVE LIKE A PIG® : groovelikeapig.com
La Plus Grosse Communauté Francophone des Musiciens Motivés et Bienveillants qui Veulent Passer au Niveau Supérieur.
Je pense que les peurs, c’est difficile de les mettre de côté.
Comme je disais, déjà, je boirais un petit café avec la personne ou j’essaierais de lui dire comme ce que m’a dit mon pote : ‘Essaye, tu verras bien. Et puis, si ça ne marche pas, tu feras autre chose.’
L’âge n’a aucune importance. Le cerveau, il est capable d’apprendre.
Maintenant, je suis bien placé pour savoir, je bouquine pas mal aussi.
Et on peut apprendre des tas de choses.
On peut apprendre à lire des notes, on peut apprendre à jouer, on peut apprendre à mémoriser des notes sur un manche, on peut apprendre à trouver un équilibre.
Et puis, ça vaut vraiment le coup parce que cette expérience de jouer avec d’autres gens, mais pas forcément tout seul, ce n’est pas forcément intéressant toujours, mais de jouer avec d’autres gens, il faut le ressentir et il faut essayer.
Ça m’est arrivé d’être conseiller pour ça parce que moi, j’ai mis du temps avant d’y aller, mais je serais bien capable de décider quelqu’un à y aller aussi.
L’âge, on s’en fout. Ce n’est pas plus compliqué à mon âge que pour quelqu’un qui a une quinzaine d’années. »
« T’as bien fait de venir. T’as bien fait de rouler, de prendre ton bateau. C’était génial.
Je voulais te rencontrer. Je suis très heureux de t’avoir rencontré en vrai.
Je t’ai vu en Zoom pas mal de fois, mais ça n’a rien à voir.
Et surtout, ce n’était pas pour taper la discute, ce qu’on a pu faire aussi, mais c’est de pouvoir…
L’enseignement, il est là, c’est physique et puis ça bosse. Il faut passer par là.
C’est un moment unique. Dommage. Essayer d’en trouver une autre, mais dommage.
En tout cas, dommage si c’est encore là, si c’est latent, si cette passion-là, elle vous grignote un peu, il faut ouvrir, il faut lâcher les chevaux. »
« Pour ce qui est de la musique ou de la basse, une basse, on peut en trouver.
On vient d’en parler il y a cinq minutes avec Johann, des basses Marcus Miller, même d’occasion, ou bien des…
Moi, j’ai une basse que je n’ai pas payée très cher.
Il faut un petit ampli, il y a moyen.
On peut avoir beaucoup de plaisir et beaucoup de bonheur avec cet instrument-là.
C’est une expérience aussi unique pour quelqu’un qui est toujours un petit peu… »
« Vous savez, moi, je suis très grand, donc 1,95 mètre, je le dis parce que tout le monde s’en fout, mais quand sur les photos, vous êtes tout le temps derrière, on vous y habituait.
En fait, c’est une manie que j’ai.
Et là, c’est la confiance d’être sur une scène, devant ou de jouer, d’assumer le son, même quand ça ne va pas.
Cette assurance qui se construit tout doucement. Jouer de la basse, ça, ça m’a permis aussi. J’ai d’autres passions, mais ça, ça permet d’être plus à l’aise avec les gens. »
« Quand j’ai commencé la basse, au tout début, évidemment, j’écoute de la musique, mais là, j’ai recommencé à écouter de la musique parce qu’en cherchant la basse dedans, dans chaque morceau, dans chaque album, j’ai commencé à vraiment m’ouvrir, beaucoup plus m’ouvrir sur toutes sortes de musiques.
En tout cas, c’est ce qui me concerne.
Je tournais un peu toujours autour des mêmes et j’ai découvert tout un tas d’univers, que ce soit le rock, le blues, le funk, le chanteur français, même les musiques trad.
C’est cette ouverture-là qui m’a permis mon engagement dans le choix de cet instrument-là. »
« Je joue quelques fois dans des petits concerts, dans des repas où il y a pas mal de gens.
Et depuis que je joue ça, ça me donne une clé pour rentrer en relation avec les gens.
Ou c’est les gens qui viennent vers moi, ou on parle de musique. Et donc plus de plaisir. Mon plaisir est aussi dans la relation.
J’ai trouvé une forme de combine de jouer de la musique, ce qui permet, quand je joue correctement, d’intéresser les gens.
C’est un biais pour pouvoir entrer en relation et découvrir des musiciens, tout un tas de gens. Ça, le plaisir, pour moi, c’est là aussi.
J’ai déjà envie de jouer un morceau d’Eddie Nashville de Ruben Ford qu’on se prend depuis quatre jours.
J’ai envie de le jouer vraiment bien et j’ai envie de jouer dans un groupe des musiques que j’aime beaucoup.
Pour l’instant, je ne trouve pas de musicien, sans doute parce que je ne cherche pas correctement, que Johan m’a donné des pistes sur les musiques que j’aime, vraiment.
Là, je joue des morceaux que j’aime beaucoup, des morceaux que j’ai connus, que je connais ou que je découvre, mais c’est souvent des musiques qui ne correspondent pas tout à fait à mes goûts. »
« Donc, j’ai envie de rentrer dans un groupe, si c’est possible, et jouer ces morceaux-là. Là, ça serait vraiment génial. Clarté. Plus fort.
Il ne faut pas avoir peur de sa basse. Il ne faut pas avoir peur de l’escarter.
Ce n’est pas un problème. Il faut y aller. Je ne savais pas que c’était résistant comme ça. Ce n’est pas fragile. Et le son, ça change tout. Quand le son…
On ne sait pas si le son est bon, mais ça n’a pas d’importance.
Si le son qui sort et qui me va, que j’aime, il faut y aller, il faut jouer. Il faut jouer fort. Je ne dis pas de pousser l’ampli, je dis de jouer fort sur la basse avec les cordes. »