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Or


Avocat au barreau de Toulouse, Mathieu Rousselot a fondé son propre cabinet spécialisé en droit pénal et routier. De ses expériences dans des cabinets parisiens jusqu’à sa stratégie de visibilité, il incarne la nouvelle génération d’avocats entrepreneurs.
Mathieu Rousselot exerce au barreau de Toulouse, avec une double compétence en droit pénal et droit routier. Sa pratique couvre un large spectre d’affaires : des infractions pénales générales (violences, trafic, etc.) jusqu’au droit pénal des affaires (fraude, escroquerie, abus de confiance) mais est aussi avocat en droit routier (conducteurs dans des cas d’alcoolémie, d’usage de stupéfiants au volant, de perte ou suspension de points, et accompagne la récupération de permis.)
Lorsqu’il se lance à Toulouse, Mathieu Rousselot ne connaît personne. Il quitte Paris, où il a étudié et collaboré après avoir remporté un concours d’éloquence à Montpellier qui lui avait ouvert les portes d’un prestigieux stage. Rien ne le prédestinait pourtant au droit : en début de parcours, il rêvait de journalisme sportif. C’est un procès observé en troisième année de droit qui change tout. L’intensité de l’audience, la puissance de la plaidoirie : il comprend alors qu’il sera avocat pénaliste.
Timide de nature, il trouve dans l’éloquence une forme d’expression qui le dépasse. C’est aussi ce goût de la parole qui le conduit vers le pénal, une matière où le contact humain, l’oralité et la stratégie s’entremêlent. Ses premières expériences sur des dossiers médiatisés, comme l’affaire Bygmalion ou le procès Pastor, lui apprennent la rigueur extrême du pénal des affaires et façonnent sa manière de travailler.
Véritable nerf de la guerre, la vision de Mathieu Rousselot est claire : un avocat doit être un commercial : « Le commercial rejoint l’humain ».
Être avocat, c’est aussi savoir rassurer, expliquer, accompagner et se rendre visible.
Ses conseils aux jeunes avocats :
L’avenir ? Une équipe minimaliste, peut-être un collaborateur ou un stagiaire, mais pas davantage : il tient à préserver le contact direct avec ses clients. Quant au plafond de développement, il sait qu’au-delà de 100 à 150 k de chiffre d’affaires, il faudrait déléguer. Il n’est pas certain de vouloir sacrifier l’équilibre qu’il a construit.
Le parcours de Mathieu Rousselot démontre qu’un jeune avocat peut construire un cabinet solide sans réseau, grâce à :
Un exemple inspirant pour tous ceux qui souhaitent lancer leur cabinet d’avocat, même en repartant de zéro.
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
By Louis GaillotAvocat au barreau de Toulouse, Mathieu Rousselot a fondé son propre cabinet spécialisé en droit pénal et routier. De ses expériences dans des cabinets parisiens jusqu’à sa stratégie de visibilité, il incarne la nouvelle génération d’avocats entrepreneurs.
Mathieu Rousselot exerce au barreau de Toulouse, avec une double compétence en droit pénal et droit routier. Sa pratique couvre un large spectre d’affaires : des infractions pénales générales (violences, trafic, etc.) jusqu’au droit pénal des affaires (fraude, escroquerie, abus de confiance) mais est aussi avocat en droit routier (conducteurs dans des cas d’alcoolémie, d’usage de stupéfiants au volant, de perte ou suspension de points, et accompagne la récupération de permis.)
Lorsqu’il se lance à Toulouse, Mathieu Rousselot ne connaît personne. Il quitte Paris, où il a étudié et collaboré après avoir remporté un concours d’éloquence à Montpellier qui lui avait ouvert les portes d’un prestigieux stage. Rien ne le prédestinait pourtant au droit : en début de parcours, il rêvait de journalisme sportif. C’est un procès observé en troisième année de droit qui change tout. L’intensité de l’audience, la puissance de la plaidoirie : il comprend alors qu’il sera avocat pénaliste.
Timide de nature, il trouve dans l’éloquence une forme d’expression qui le dépasse. C’est aussi ce goût de la parole qui le conduit vers le pénal, une matière où le contact humain, l’oralité et la stratégie s’entremêlent. Ses premières expériences sur des dossiers médiatisés, comme l’affaire Bygmalion ou le procès Pastor, lui apprennent la rigueur extrême du pénal des affaires et façonnent sa manière de travailler.
Véritable nerf de la guerre, la vision de Mathieu Rousselot est claire : un avocat doit être un commercial : « Le commercial rejoint l’humain ».
Être avocat, c’est aussi savoir rassurer, expliquer, accompagner et se rendre visible.
Ses conseils aux jeunes avocats :
L’avenir ? Une équipe minimaliste, peut-être un collaborateur ou un stagiaire, mais pas davantage : il tient à préserver le contact direct avec ses clients. Quant au plafond de développement, il sait qu’au-delà de 100 à 150 k de chiffre d’affaires, il faudrait déléguer. Il n’est pas certain de vouloir sacrifier l’équilibre qu’il a construit.
Le parcours de Mathieu Rousselot démontre qu’un jeune avocat peut construire un cabinet solide sans réseau, grâce à :
Un exemple inspirant pour tous ceux qui souhaitent lancer leur cabinet d’avocat, même en repartant de zéro.
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