Savoir qui nous sommes en Christ est une expérimentation quotidienne. Que cela soit par le biais de la Parole ou de la prière, notre identité en Christ est une priorité. Elle nous permet de rester focalisés sur notre premier amour.

L’amour exige un engagement. Il n’est ni une mode passagère, ni une tendance. Mais savoir aimer est un art qui s’apprend avec Christ. Dans la vie tout à un prix. Qu’on le veuille ou non, c’est une réalité. Nous ne parlons pas ici de finance, mais bien de coût.

Dieu est amour. Dieu nous aime tant qu’Il a donné Son Fils unique comme nous l’indique la Parole de Dieu dans l’épitre de Jean au chapitre 3 au verset 16, mais comprenons-nous ce que cela signifie véritablement ?

Connaître notre identité en Christ est un point vital dans la vie d’un chrétien, lui permettant de passer de l’enfant de Dieu chancelant dans sa marche au disciple mature.

La Parole dit que nous sommes morts au péché, mais comment se peut-il alors que, pour certains d’entre nous, nous pensions encore que nous sommes esclaves du péché et nous voyons comme pécheur ? Cette semaine Leslie continue son message de la semaine dernière.

Trop souvent les enfants de Dieu se voit comme vivant pleinement dans le péché ou être des pêcheurs. Ils sont pris dans des cycles qui paraissent sans fin. Comment briser le processus du péché ?

Bien souvent, bien, bien, bien souvent, trop bien souvent nous avons cette facilité à demander constamment à Dieu de faire telle ou telle chose, ferme ceci, cela, donne, prends, apporte, etc. Mais question : Qui sert qui ?

Sommes-nous un chrétien, un enfant de Dieu ou un disciple ? Qu’est-ce qui fait la différence ? Que devrions-nous avoir plus que tout dans notre vie ? Trois choses dont nous ne pouvons ni ne devons nous passer.

Il y un concept troublant et souvent, nous pourrions penser que cela se contredit. Pourtant, ici se cache un secret. Demandez et vous recevrez : oui. Mais nous ne devons pas mélanger le quoi du qui. Mais de quoi parlons-nous ?

Être réellement libre, est-ce possible ? La Parole nous dit que oui, mais peu de chrétien comprennent de quelle liberté nous parlons ici.