Dans nos bulles : tous les podcasts

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Ceci est le podcast n°003 de la rubrique Invités de Dans nos bulles. Cette fois avec l’interview audio de Greg Lecoeur photographe naturaliste renommé né à Nice

Si au lieu de lire un article ou visionner la vidéo vous préférez l’audio, et choisissez de l’écouter plutôt que le lire (plus tard dans votre bain ou dans votre voiture, cet enregistrement a pour objectif d’échanger sur des sujets divers.

Et de mettre en valeur des personnalités que je trouve remarquables du monde de la plongée.

Aujourd’hui c’est au tour de Greg d’être reçu dans Dans nos Bulles… Il est photographe naturaliste et sous-marin. Connu depuis 2016 pour sa photo primée par le National Geographic, son cliché pris lors du sardine run en Afrique du sud en 2015, sa carrière a pris un tour résolument international. Fier de sa ville et amoureux de la Méditerranée au bord de laquelle il est né, il a pris de son temps (et on lui dit « merci » !) pour revenir sur ses débuts, son actualité, ses succès et des anecdotes sur ses voyages hors du commun.

Si vous avez envie de voir l’interview en vidéo, soyez curieux et après le podcast retrouvez l’article complet. Vous y retrouverez l’adresse de son site et où se procurer ses livres et ses photos.

Interview réalisée en zoom… Le son n’est hélas pas toujours optimum ! Avec nos excuses mais le contexte limite les possibilités d’interview en présentiel !

Retranscription de l’interview de Greg Lecoeur

Anne : Bonjour Greg et merci de participer à cette émission de Dans Nos Bulles. Ça me fait super plaisir, parce que tout le monde le sait, ce n’est vraiment pas un secret, on est ami de longue date. Tu es Niçois et en plus tu es un photographe de renom. Maintenant, tu es internationalement connu et, très fort, tu es connu à Nice. C’est ce qu’on a eu le plus de mal à faire finalement, parce que tu étais plus connu à l’étranger que chez nous. Donc rapidement, si tu veux bien, on va discuter un peu de tout et de rien. De ton actualité, mais surtout, j’aimerais qu’on revienne sur le début de ton engagement dans cette carrière. Parce qu’elle est quand même totalement atypique et hors norme !

Comment est-ce qu’un niçois, qui peut-être ne se destinait pas du tout à ça, est arrivé à la photographie du monde sous-marin, des animaux et cette envie de voyager et de faire de la plongée un peu partout aux 4 coins du monde ? Est-ce que tu peux nous en dire un petit peu plus sur toi ? 

Alors oui, bien sûr ! Bonjour et merci pour cet entretien. L’histoire, elle a commencé en fait il y a très longtemps. Tu sais que je suis originaire de Nice et, du coup, j’ai été un petit peu bercé entre la Méditerranée et le parc du Mercantour, donc la montagne. Depuis tout petit, j’ai eu cette attirance pour la nature, et la biologie marine a pris le dessus ! Après, j’ai grandi, j’ai une vie un petit peu comme tout le monde et j’ai travaillé avec mon père. Ensuite, j’ai créé ma propre société. 

Tout mon temps libre, je l’ai passé à des plongées et à naviguer. Un jour, j’ai décidé vraiment de franchir le pas et de vivre ma passion si tu veux. Ça a toujours été en moi, un petit peu comme un hobby, une grosse passion et j’ai décidé un jour de prendre le risque et de vivre cette passion jusqu’au bout et d’en faire mon métier. 

Tu n’es pas déçu depuis, j’imagine ?

Non,

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Ceci est le podcast n°002 de la rubrique Invités de Dans nos bulles. Cette fois avec l’interview audio de Christophe de Scuba-people

Si au lieu de lire un article ou visionner la vidéo vous préférez l’audio, et choisissez de l’écouter plutôt que le lire, cet enregistrement a pour objectif d’échanger sur des sujets divers, Et de mettre en valeur des personnalités que je trouve remarquables du monde de la plongée. 

Aujourd’hui c’est au tour de Christophe d’être reçu dans Dans nos Bulles… Il est l’animateur d’un média en ligne sur la plongée Scuba-people et vient d’être primé pour une magnifique photo dans le Guide de la Photographie sous-marine. Il a remporté le prix 2020 de la catégorie conservation.

Si vous avez envie de voir la photo, soyez curieux et après le podcast retrouvez l’article complet. 

Mais qui est aussi Christophe dans la vie, quelle place donne t’il à la photo ? 

Christophe est avant tout un voyageur, un plongeur, un nomade. Dans un autre article du blog il nous raconte d’ailleurs les 3 voyages qui l’ont le plus marqué… Il a géré un club de plongée à Oman, a bourlingué et s’est posé ensuite à Dubaï où il vit en famille et anime différents projets. C’est un « gros nounours », au grand coeur, à la personnalité chaleureuse et c’est un communiquant. Aucun doute! Il sait aussi être sérieux, vous convaincre, vous rallier à sa cause. Christophe fait aussi de la radio et je vous invite, vous qui aimez les podcasts à écouter sa Dive Bubble, où il développe des sujets passionnants… Passionné de photo, il souhaite désormais s’y consacrer plus pleinement. 

 

 

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Ceci est le podcast n°001 de la rubrique Environnement de Dans nos bulles. Parlons Plongée responsable.

Si au lieu de lire un article vous préférez l’audio, et choisissez de l’écouter plutôt que le lire, ce premier enregistrement a pour objectif d’échanger sur des sujets divers, notamment sur des sujets en lien avec l’environnement. Ici, revenons sur le comportement des plongeurs… 

Sous l’eau, en plongée, nous sommes de simples invités. C’est le B.A. BA pour les « plongeurs responsables »…

Mais tout le monde se comporte-il réellement comme tel ?

Et en fait la plongée est-elle réellement compatible avec le respect du milieu marin ?

Ce podcast que vous pouvez aussi écouter avec d’autres sur Itunes traite de ce sujet et vous invite à la réflexion… Etes-vous, faites-vous partie des plongeurs responsables, respectueux du milieu ? 

 

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Ceci est le podcast n°001 de la rubrique Initiation de Dans nos bulles.

Si au lieu de lire un article vous préférez l’audio, et choisissez de l’écouter plutôt que le lire, ce premier enregistrement a pour objectif de partager mes « petits conseils perso » en matière de respiration sous l’eau, un élément clef de l’initiation en plongée sous-marine.

Dans les briefings de plongée, lors des  baptêmes notamment, on entend souvent ces propos de la part des dive-masters, généralement dans un but de simplification et de pédagogie fort compréhensibles, et surtout pour rassurer le débutant : « respire, souffle, il est crucial de ne jamais retenir sa respiration, il faut souffler doucement, en continu ». 

Mais en quoi la respiration sous-marine est-elle si différente de la respiration terrestre ? En plongée comme sur terre, on respire toujours de l’air ? C’est non pas dans ce que l’on respire, mais plutôt dans la façon dont on le respire, que réside toute la différence. La respiration terrestre est généralement nasale, alors que la respiration sous-marine est uniquement buccale. Et ça, ça change tout. C’est ce sur quoi je vais revenir dans ce podcast, en y ajoutant mes recommandations. 

J’espère que vous aimerez ma voix… moi moyen, mais ce n’est pas très original de ne pas apprécier s’entendre… 

 

La Dive Bubble, podcast radio de scuba-people le magazine de plongée

Pour cette quatrième émission, Christophe du magazine de plongée Scuba-People a reçu sur les ondes de sa radio « Dansnosbulles » mais aussi Sophie Paloum du collectif “contre la pêche des requins à la Reunion” et Thomas Vignaud, Biologiste marin et expert requins. Une occasion de parler avec des passionnés, d’échanger avec des spécialistes. Pas question de laisser passer cela! 

 

 

Une crise requins à la Réunion?

« S’il existe une crise à la Réunion, pas sûr qu’il s’agisse d’une crise requins, dit en préambule, Christophe le créateur et animateur de Scuba-People ». Le débat est posé. Des paroles qui font écho à mon interview du passionnant Jean-Bernard Galvez, plongeur, scientifique, passionné et engagé dans cette cause et la défense des requins.

Un sujet que j’ai découvert assez récemment et qui , croyez- moi sur paroles, laisse perplexe. Des mesures de pêche récurrentes, à proximité de plages touristiques, organisées pour permettre le surf et l’accès soi disant sécurisé au littoral. En attirant les requins près des dites plages ? En pêchant tout et n’importe quoi, en particulier, le requin-tigre en pleine raréfaction, en lieu et place du bouledogue… Euh comment dire? 

Ecoutez donc les témoignages de Sophie et Thomas, édifiant! 

Le Podcast radio de Scuba-People

Alors j’ai eu envie de partager ce Podcast de l’émission de radio de Christophe en le remerciant ici de m’y avoir conviée, car il est important de faire connaître ce sujet si important pour la biodiversité. 

Nous vous invitons donc à vous faire votre opinion sur le sujet, avec cette émission aussi instructive que passionnante, à écouter sans modération !! Merci Christophe! Merci Scuba-People ! 

 

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Ceci est le podcast n°001 de la rubrique Invités de Dans nos bulles  : rencontre avec Jean-Bernard Galvès, spécialiste des requins à la Réunion

Mais qui est Jean- Bernard Galvès?

Un spécialiste des requins. Un passionné. Un amoureux de la nature et de la mer.

Une personnalité engagée, qui fait parfois débat, précisément pour cet engagement.

Il est aussi le porte parole d’associations elles aussi engagées « Le Collectif des associations Sea Shepherd, Aspas, Longitude 181, Sauvegarde des requins, One Voice, Tendua, Vagues et Requin Intégration ».

Il vit à la Réunion, une île meurtrie par des attaques de requins bouledogues

Pour Dans nos bulles, Jean- Bernard Galvès revient sur son engagement dans la défense des requins à la Réunion

Il nous livre des anecdotes touchantes. Et se confie en toute sincérité, en nous faisant partager avec passion son engagement, ses connaissances, son expertise.

 

Retranscription de l’interview de Jean-Bernard Galvès

Et pour ceux qui n’aiment pas les PODCASTS mais préfèrent lire… Voici ma retranscription intégrale de cette interview :

Quelques mots  avant de commencer l’entretien…

« Pardonnez-moi, car je ne suis pas journaliste du tout ! Même si je suis dans la communication, ce n’est pas mon job. Je suis juste une passionnée de plongée et je suis amie avec François Repecaud qui m’a mise en contact avec Jean-Bernard Galvès. Je le remercie vraiment beaucoup d’avoir ménagé cette entrevue, parce que je suis quand même assez flattée de l’avoir en vidéo. 

Mon petit blog est pour l’instant très modeste, mais j’avais envie de faire justement une petite rubrique podcast pour intéresser un peu plus les gens. Parce que l’écrit c’est bien, mais les gens lisent de moins en moins et, du coup, ça a quand même tout son intérêt. 

Voilà, alors je vous pose mes questions, et puis après c’est à vous de développer comme vous le souhaitez. On se donne 20 ou 25 minutes si ça vous va ?

Oui, comme vous voulez. »

Anne : Allez on attaque ! En quelques mots, Jean-Bernard Galvès, vous êtes une référence dans le monde des requins. De la préservation de l’écosystème marin par le biais de toutes vos actions au service des requins.

Est-ce que vous pouvez d’abord vous présenter et nous faire part de votre parcours en tant qu’individu, que plongeur et que personne engagée en faveur de l’environnement ?

Actuellement, je vis à la Réunion. J’ai 65 ans et j’ai commencé à plonger et à découvrir les requins dans les années 1970, quand j’avais 15 ans à Djibouti. Donc à l’époque, c’était pour la pêche et j’aimais pêcher le requin. Par la suite, petit à petit, dans la chasse sous-marine et dans la plongée où j’ai de plus en plus côtoyé ces animaux. Voilà ! Donc une certaine pratique de ces bestioles, il y a déjà pas mal d’années, ce qui m’a servi par la suite dans des reportages des missions scientifiques. Quand il y a eu cette crise du requin à la Réunion, il y a des associations qui sont venues me demander d’intervenir pour essayer d’empêcher les stupidités le massacre qui allait en découler.

De Diversign à Worldshaper, retour en quelques lignes sur l’histoire d’un projet un peu dingue au service de l’environnement!

LA FAMILLE 

Il y a quelques années, au cours d’un repas de famille, l’un de nous a lancé :

« Et si on passait notre niveau 1 de plongée ?« 

Chez nous, on est toujours partants pour ce genre de défis : premier niveau validé en quelques mois (le second ensuite…) et dans la foulée, on a enchaîné avec nos premières vacances de « vrais plongeurs », en Thaïlande. D’une certaine manière, on n’en est jamais vraiment revenus… Plonger est une expérience unique, difficile à raconter. Plonger, c’est changer de corps, de décor, de dimension et de monde aussi.

Le revers de la médaille, c’est que le plongeur est également aux premières loges d’un spectacle terrifiant : celui de la dégradation des fonds marins, des tonnes de déchets engloutis et des espèces menacées, de plus en plus rares à croiser dans la majorité des sites de la planète.

LA COMMUNAUTE

La situation est grave mais pas désespérée, et elle ne le sera pas tant qu’il y aura des gens, comme nous, convaincus que la pente peut encore être remontée. C’est en tout cas NOTRE crédo.

C’est de là qu’est venue l’idée de constituer une communauté « d’écolo’ptimistes » sur les réseaux sociaux.

Si vous êtes curieux, cliquez ici : 

 

Facebook – Instagram

 

L’emblème de #DiverSign, comme son nom l’indique à ceux qui sont un peu anglophones, est le signe qui, dans le langage des plongeurs, signifie que tout va bien. Le fameux « ok » ! Un signe résolument optimiste… Un cercle aussi, une belle image !

Rapidement, des dizaines, puis des centaines d’internautes ont posté sur Facebook, des photos de #DiverSign prises aux quatre coins du monde. Moins d’un an plus tard, la communauté regroupe déjà des milliers de membres, qui jouent le jeu et propagent le message !!

ALORS merci, merci, merci, merci !… 

 

 

#DIVERSIGN ET WORLDSHAPER

Être concernés, c’est bien, être utiles c’est mieux ! Et en matière de protection de l’environnement comme ailleurs, le nerf de la guerre c’est l’argent.

Tout le monde ou presque a le coeur sur la main et la main à la poche, mais il n’est pas toujours pas possible de s’engager financièrement.

En revanche, acheter quelque chose d’utile en sachant qu’une partie de l’argent versé servira à une belle action, ça facilite l’engagement.

C’est ce qu’on s’est dit,  il y a un peu moins d’un an, toujours en famille, quand on a lancé #DiverSign :

 

Une marque de vêtements et accessoires principalement dédiés aux plongeurs et clubs de plongée, avec l’idée de reverser 50% de bénéfices à des associations et des actions en faveur de la protection des mers et des océans.

Au fil des mois, la team s’est agrandie, des copains ont rejoint la famille (Jean-Mi, Pascal et… bibi!) : Nathalie, Sophie, Marion, Valérie, Morgan…

De là est venue l’idée de créer une deuxième gamme de vêtements, moins ciblée « plongée », pour toucher le plus grand nombre.

On a brainstormé  ensemble plusieurs fois, en mangeant des gâteaux ou en prenant des apéros… toujours gages d’inspiration 😉 !

 

 

Jusqu’au jour de la révélation !!

Nous avons tous, un fond de dressing, que nous rachetons régulièrement.

WorldShaper, en plus de ce qui existait déjà dans la première version beaucoup plus restreinte de la gamme #DiverSign, c’était ça! 

–    Une boutique en ligne de vêtements « basiques »  (le fameux fond de dressing), mais tendances et esthétiques…

–    Une boutique qui dédie 50% de ses bén...

Habitante de Nice, habitante du monde! Un slogan? Une réalité?

J’aime cette idée, même si je vous l’accorde elle fait un peu cliché! Je n’ai d’ailleurs pas vraiment tranché…

Je crois que je suis profondément française, de Nice, et que nos origines sont souvent inexorablement les plus fortes. J’ai de nombreux amis expatriés et je crois que le besoin de rentrer « chez soi », « là d’où on vient », finit irrémédiablement par vous saisir un jour. 

Mais…

Quand on voyage, on compare, on regarde ce qui se fait de bien ailleurs, comment vivent les autres, ce qui est mieux dans leur mode de vie, dans leur habitat, leurs traditions… On se remémore ce qui est positif chez nous aussi… Pour moi, la chance que l’on a de vivre où l’on vit, d’avoir ce que l’on a, d’aimer, d’être aimé par les siens, d’être entouré comme on l’est surtout, pour ceux qui ont ce bonheur.

Quand on voyage on a forcément une vision plus large des choses, plus juste du monde. On imagine plus, on voit. Le beau, le moins beau. Le gai, le triste. 

Quand on voyage, dans certains types de destinations bien sûr, on voit aussi ce que la nature a de meilleur à nous montrer, à nous offrir. Car la Nature, c’est magique, et c’est le plus souvent gratuit… entendez par là, la Nature est généreuse, elle, et les spectacles qu’elle offre sont toujours des cadeaux qu’il faut savoir savourer et apprécier à leur juste valeur.

Quand on voyage, on fait bien sûr et surtout, de belles rencontres. Des personnes bien différentes en général de celles que l’on côtoie chez soi. Des moments généralement hors du temps, hors du rush, du stress, du quotidien. Des moments privilégiés, qu’on prend le temps d’apprécier, et qui, du coup, restent gravés à jamais. J’avoue avoir eu très tôt un engouement particulier pour la Thaïlande et ses habitants si accueillants (je vous invite au passage à lire cet excellent article sur les 1000 choses à faire en Thaïlande)…

Se considérer comme habitante du monde, pour moi, c’est un concept, qui devrait tous nous guider. Cela recouvre bien des notions, celle du respect d’abord, le respect des autres, celui de notre environnement, de la Nature, de notre belle planète, que l’on massacre pourtant collectivement consciencieusement (pollution, industrialisation, pêche ou chasse excessive, déforestation, et j’en passe…). Encore un cliché? Cette fois je ne crois pas. A nous d’être individuellement en alerte, d’être responsables chez nous comme ailleurs, humbles, et avec les bons gestes, même dans les endroits où ils apparaissent les plus dérisoires. C’est ce en quoi je crois.

Alors ce petit article m’est venu, juste pour vous engager à une réflexion individuelle… Et vous, êtes- vous aussi « habitant » du monde?

 

Un petit diaporama… en musique!

Des vues de chez nous (nombreuses) et de nos voyages, la compilation de mes photos de couvertures FB en fait, accumulées sur 10 ans, une bonne synthèse!

 

 

 

Ou version galerie photos, en silence!

 

 

 

Bon le compte est fait, j’en suis à 29!

Tant de choses à voir, à visiter, à explorer… et si peu de temps pour le faire!!

Et vous? Envie de faire votre propre carte, cliquez ICI!

 

 

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