Dieu assortit sa septième action d’une terrible menace : « cette fois, je vais envoyer tous mes fléaux contre ton cœur, contre tes serviteurs et contre ton peuple... » (14). Jusque-là, Dieu a frappé avec des fléaux violents, mais pas mortels. Les Égyptiens ont pu s’en sortir, en creusant pour trouver de l’eau potable lorsque le Nil était en sang. Les grenouilles, moustiques et mouches venimeuses ont disparu, sans conséquences trop graves. Les cinquième et sixième fléaux ont été plus sérieux : du bétail est mort, engendrant de grosses pertes économiques. (...)