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💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
Des performances en chute libre? C'est la faute à Rousseau ou à peu près tout ce qui peut vous dédouanner. Petit florilège
📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
Pour ce 57ème épisode, faisons un pas de côté pour réaliser un exercice cathartique afin d'énumérer les meilleures excuses en cas de contre-performance d'un compte SEA. Sans avoir la présemption de ne pas y avoir succombé (quelque fois), il ne s'agit pas d'un classement. Certaines sont recevables; d'autres moins. A vous de juger
* La faute à l'algorithme: A force de faire de son algorithme l'alpha et l'omega de toute la performance SEA, Google subit parfois ce juste retour de baton. Pour l'annonceur/l'agence, si les performances ne sont pas à la hauteur, c'est la faute de l'algorithme qui aurait fait n'importe quoi. Et comme personne n'y comprend rien et qu'il est black box, tout le monde s'accorde à peu près sur cet argument. A 'linverse pour Google, l'algorithme ne peut pas se tromper et c'est forcément dû à la mauvaise donnée injecter ou un mauvais tracking. Duel de croyants donc
* La faute à la saisonnalité: Quand les campagnes échouent, c'est grosso modo la faute du consultant; quand elles réussissent, c'est grâce à la saisonnalité. Pile tu perds, face je gagne. Histoire vecue. Alors que fondamentalement la logique de la saisonalité pourrait être appliquée dans le sens exactement inverse afin de justifier des contre-performances. Comment espérer vendre des doudounes au mois d'août. Bref, soyons juste et appliquons le prisme de la saisonnalité, qui est effectif, à l'ensemble de l'analyse des campagnes
* La faute au produit: Autant il est possible d'être rentable avec un bon produit et des mauvaises campagnes SEA; autant l'inverse ne me semble pas tout à fait vrai. Aussi bon que soit le consultant, il ne peut pas faire de la magie. Sans product market fit; time to market; et avantage concurrentiel, difficile de faire des merveilles avec un produit. Exemple: seules les banques en ligne qui ont maintenu une approche fil rouge avec les prime de bienvenue sont encore là
* La faute aux concurrents: C'est le totem d'immunité absolu. Si votre CPC ou votre CPL se dégrade, l'argument du retour de la concurrence fait souvent mouche. Parfois à raison, mais parfois aussi à tort. Car cela peut tout simplement être la résultante d'autres facteurs: baisse de la compétitivité de vos produits; tunnels moins efficaces; changement de la stratégie d'enchères; évolution du spectre sémantique...
* La faute à l'agence: Le fusible idéal sur lequel rejetter la contre-performance. Alors que fondamentalement une relation doit se construire à 2 et beaucoup d'annonceurs pensent qu'une fois le devis signé, leur rôle s'arrête là: quid des informations business à partager; des audiences à fournir; des creas à produire; du tracking à déposer... Les agences peuvent aussi être tentées d'utiliser cet argument du fusible sur le ton: " c'est la faute du consultant X". On ne s'en sort plus
Nos amis du SEO ont aussi leurs lots d'excuse préférées: dernière update de Google; cannibalisation du SEA; CMS non SEO friendly... mais c'est une autre histoire
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* La faute à la saisonnalité: Quand les campagnes échouent, c'est grosso modo la faute du consultant; quand elles réussissent, c'est grâce à la saisonnalité. Pile tu perds, face je gagne. Histoire vecue. Alors que fondamentalement la logique de la saisonalité pourrait être appliquée dans le sens exactement inverse afin de justifier des contre-performances. Comment espérer vendre des doudounes au mois d'août. Bref, soyons juste et appliquons le prisme de la saisonnalité, qui est effectif, à l'ensemble de l'analyse des campagnes
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* La faute aux concurrents: C'est le totem d'immunité absolu. Si votre CPC ou votre CPL se dégrade, l'argument du retour de la concurrence fait souvent mouche. Parfois à raison, mais parfois aussi à tort. Car cela peut tout simplement être la résultante d'autres facteurs: baisse de la compétitivité de vos produits; tunnels moins efficaces; changement de la stratégie d'enchères; évolution du spectre sémantique...
* La faute à l'agence: Le fusible idéal sur lequel rejetter la contre-performance. Alors que fondamentalement une relation doit se construire à 2 et beaucoup d'annonceurs pensent qu'une fois le devis signé, leur rôle s'arrête là: quid des informations business à partager; des audiences à fournir; des creas à produire; du tracking à déposer... Les agences peuvent aussi être tentées d'utiliser cet argument du fusible sur le ton: " c'est la faute du consultant X". On ne s'en sort plus
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