J’ai eu l’honneur de m’entretenir avec Isabelle Le Pain, professeure-chercheuse à l’Université de Sherbrooke, pour sa seule entrevue à ce jour.
C’est une femme passionnée, rigoureuse et profondément humaine, dont l’expérience de terrain en protection de la jeunesse continue de rayonner à travers ses travaux de recherche engagés.
Aujourd’hui, Isabelle ne travaille plus directement à la DPJ, mais elle demeure une alliée précieuse pour les intervenant·e·s de première ligne. Par sa recherche, elle vise à soutenir celles et ceux qui portent ce métier de cœur, souvent dans l’ombre, souvent sans reconnaissance suffisante.
🧠 Au cœur de l’épisode :
✨ Isabelle nous amène à réfléchir à la valeur du travail émotionnel : cette posture intérieure, souvent invisible, qui demande qu’on se donne... sans se perdre.
✨ Elle critique l’idéologie du “faire plus avec moins”, et milite pour des conditions de travail dignes et sécuritaires pour les professionnel·le·s du social.
✨ Elle rappelle que les diagnostics, les grilles, les chiffres ne captent jamais toute l’humanité d’un parcours.
✨ Et surtout, elle partage une image bouleversante : ce sont les enfants de la DPJ qui, au fil du temps, apprennent à reconnaître les fées.
🧚♂️ Celles qui sont entrées dans leur vie avec bienveillance, même brièvement, et qui ont laissé une trace lumineuse.
📘 Découvrez son travail de recherche :👉
https://journals.openedition.org/efg/21275?fbclid=IwY2xjawLRPkBleHRuA2FlbQIxMABicmlkETFmZWRrN000ZVVUTFpMRnR1AR7oXWOOiCrT5b8dObBb7m_gMBtHhYAttIo2Sbez-XKLJ5uyF2z30JBtYAXByg_aem_mNMNRXn3vEDMFvG0qdNg9w
🙏 Merci, Isabelle, pour ton authenticité, ton engagement, et pour avoir accepté de sortir de ta réserve pour livrer un message aussi lumineux que nécessaire.Tu es de celles qui élèvent la profession — et qui nous rappellent pourquoi elle est si précieuse.
Bonne écoute
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