Jean-Richard Bloch a été l’un des plus importants intellectuels de son temps : des milliers de personnes se pressent dans les rues de Paris à son enterrement en 1947. Et pourtant, ce poitevin d’adoption est tombé dans l’oubli. Qui était Jean-Richard Bloch et par quel truchement de l’histoire sa mémoire est-elle si méconnue aujourd’hui ? 

Structure porteuse du projet : Médiathèque François-Mitterrand (Poitiers)

À l’écriture : Johanna Silberstein avec la complicité de Patrick Amand, Céline Blanchet, Anne-Marie Chaumont-Lisabois et Florent Palluault

À la voix : Johanna Silberstein, Aymeri Suarez-Pazos et Geneviève Blanchier-Lorant

À la direction d’acteur : Matthieu Roy

À la réalisation et au montage : Gery Courty, Podcastine

Crédits : Compagnie du Veilleur®

Remerciements à la Scène Maria Casarès

Pour aller plus loin : https://patrimoine.mediatheques-grandpoitiers.fr/

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Avec Epiphania, les artistes Aurélia Coulaty et Sol Hess proposent une promenade polyphonique et musicale dans l’écriture d’auteurs du XIX° siècle : Élisée Reclus, Pierre Loti & Marcelle Tinayre, trois personnalités voyageuses nées en Nouvelle-Aquitaine. La série Epiphania investit leurs textes par fragments sonores, témoignant de la relation intime et sensible qu’ils entretiennent avec le paysage. Ce troisième épisode est consacré à Marcelle Tinayre.

Structure porteuse du projet : LANGAGE-TOI

À l'écriture, à la réalisation et à la voix : Aurélia Coulaty

À la création sonore, à la musique et au montage : Sol Hess

Avec les voix de : Alain Quella-Villéger, Stéphanie Roumegous, Maïa Fargeas, Saba Coulaty-Gonzalez et des archivistes Justine Berlière, Hélène Formosa, Muriel Roussilles, Nicolas Giner, Nathalie Rivière et Pierre Courteix.

Remerciements : Alain Quella-Villéger, François Lopez, Archives départementales de la Corrèze, Archives municipales de Tulle, Fracas, et tous les participants.

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Avec Epiphania, les artistes Aurélia Coulaty et Sol Hess proposent une promenade polyphonique et musicale dans l’écriture d’auteurs du XIX° siècle : Élisée Reclus, Pierre Loti & Marcelle Tinayre, trois personnalités voyageuses nées en Nouvelle-Aquitaine. La série Epiphania investit leurs textes par fragments sonores, témoignant de la relation intime et sensible qu’ils entretiennent avec le paysage. Ce second épisode est consacré à Élisée Reclus.

Structure porteuse du projet : LANGAGE-TOI

À l'écriture, à la réalisation et à la voix : Aurélia Coulaty

À la création sonore, à la musique et au montage : Sol Hess, Podcastine

Avec les voix de : Didier Delahais, Aurélia Coulaty, Pauline Couteau, Sébastien Imbault et India Coulaty-Gonzalez

Remerciements : Didier Delahais, Nicolas Éprendre, Benoît Bodlet, Ronan Roussel, François Lopez, Radio libertaire, Fracas, et tous les participants.

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Avec Epiphania, les artistes Aurélia Coulaty et Sol Hess proposent une promenade polyphonique et musicale dans l’écriture d’auteurs du XIX° siècle : Élisée Reclus, Pierre Loti et Marcelle Tinayre, trois personnalités voyageuses nées en Nouvelle-Aquitaine. La série Epiphania investit leurs textes par fragments sonores, témoignant de la relation intime et sensible qu’ils entretiennent avec le paysage. Ce premier épisode est consacré à Pierre Loti.

Structure porteuse du projet : LANGAGE-TOI

À l'écriture, à la réalisation et à la voix : Aurélia Coulaty

À la création sonore, à la musique et au montage : Sol Hess

Avec les voix de : Sol Hess, Aurélia Coulaty, Alain Quella-Villéger, Laureline Mattiussi et Arthur-Louis Cingualte

Remerciements : Alain Quella-Villéger, François Lopez, Fracas, et tous les participants.

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À travers les voix des habitantes et habitants du territoire de La Rochefoucauld ainsi que celles de spécialistes, jeunes et moins jeunes, François de la Rochefoucauld, l’auteur des Maximes se révèle… Son histoire fait se croiser le XVIeme et le XXIeme siècle, mêlant les questions que toutes et tous se posent sur la condition humaine et les relations qui nous lient les uns aux autres !

Structure porteuse du projet : Communauté de communes La Rochefoucauld Porte du Périgord 

À l’écriture : Myriam Hassoun et Léa Grange

À la voix : Sandrine Coldeboeuf, les élèves de l’école primaire de La Rochefoucauld, Michèle de La Rochefoucauld, Eric Amaury Zion, Alain Brunn, Myriam Hassoun, Johann Charrois.

À la réalisation : Myriam Hassoun et Léa Grange

Au montage : Myriam Hassoun et Léa Grange, Podcastine

Remerciements : Chloé Jussaume (Coordinatrice culturelle à la CdC La Rochefoucauld Portes du Périgord), Sandrine Coldeboeuf (bibliothécaire des Maximes à La Rochefoucauld), les élèves de l’école primaire de La Rochefoucauld et leurs institutrices, Michèle de La Rochefoucauld, Eric Amaury Zion (libraire du Trait d’Union à La Rochefoucauld), Alain Brunn (inspecteur général de l'éducation, du sport et de la recherche), Johann Charrois.

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Pseudonymes est une série de 4 podcasts à la découverte de poétesse de la Belle Époque.

Rachilde, Rosemonde Gérard, Jean Balde et Cora Laparcerie, découvrez quatre écrivaines et poétesses reconnues de la Belle Époque, puis effacées du champ littéraire. Intrigantes, audacieuses, louves ou comédiennes, leurs vies et leurs œuvres témoignent des négociations nécessaires pour exister dans un univers alors essentiellement masculin. Dernière rencontre : Marie Cora Laparcerie, dite Cora Laparcerie.

Crédits -  Islert Camille - Communication, Festival international des écrits de femmes, Saint-Sauveur-en-Puisaye, octobre 2023.

Écriture, réalisation et voix : Ingrid Bertol

Structure porteuse du projet : Micro-Folie Cadaujac

Références livresques - document d'accompagnement

Cora Lapercerie - Richepin. J'aime. Edition Fasquelle, 1924

Tony d’Ulmès, “Cora Laparcerie”, article dans Le Passe-Temps et le Parterre réunis, 16 juillet 1899.

https://collections.bm-lyon.fr/PER00318409?pageOrder=2

Cora Lapercerie - Richepin. Amour redoutable et divin. Edition Fasquelle, 1950

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Pseudonymes est une série de 4 podcasts à la découverte de poétesse de la Belle Époque.

Rachilde, Rosemonde Gérard, Jean Balde et Cora Laparcerie, découvrez quatre écrivaines et poétesses reconnues de la Belle Époque, puis effacées du champ littéraire. Intrigantes, audacieuses, louves ou comédiennes, leurs vies et leurs œuvres témoignent des négociations nécessaires pour exister dans un univers alors essentiellement masculin. Troisième rencontre : Jean Balde, de son vrai nom Jeanne Marie Bernade Allemand, née à Bordeaux en 1885, morte à Latresne en 1938

Écriture, réalisation et voix : Ingrid Bertol

Structure porteuse du projet : Micro-Folie Cadaujac

Crédits - Modulation voix, ElevenLabs

Références livresques - document d'accompagnement

Balde, Jean, Âme d'artiste, Paris, Eugène Fasquelle, 1908

Balde, Jean, La Vigne et la Maison, Paris, Plon, 1929.

Balde, Jean, Une maison au bord du fleuve. Souvenirs bordelais, Bordeaux, Delmas, 1937 ; réédition Bordeaux, Le Festin, 2014

Balde Jean. Le Goéland, Bordeaux, Le Festin, 2015.

Balde, Jean, Reine d’Arbieux, Paris, Plon, 1928.

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Pseudonymes est une série de 4 podcasts à la découverte de poétesse de la Belle Époque.

Rachilde, Rosemonde Gérard, Jean Balde et Cora Laparcerie, découvrez quatre écrivaines et poétesses reconnues de la Belle Époque, puis effacées du champ littéraire. Intrigantes, audacieuses, louves ou comédiennes, leurs vies et leurs œuvres témoignent des négociations nécessaires pour exister dans un univers alors essentiellement masculin. Deuxième rencontre, Rosemonde Gérard, de son vrai nom, Louise Rose Étiennette Gérard.

Écriture, réalisation et voix : Ingrid Bertol

Structure porteuse du projet : Micro-Folie Cadaujac

Crédits - "L'amour tel qu'on le parle" interprété par Suzy Solidor avec le Trio Laurent-Rualten, disque 78 tours Odéon n° 166.814,  7 juillet 1934
Musique de Tiarko Richepin, paroles de Rosemonde Gérard

Remerciements - ALCA, Villa Arnage, Musée et Maison d'Edmond Rostand.  http://www.arnaga.com/

Références livresques - document d'accompagnement

Gérard, Rosemonde, Les Pipeaux, Paris, Alphonse Lemerre, 1889

Gérard, Rosemonde, L’Arc-en-Ciel, Paris, Eugène Fasquelle, 1926

Gérard, Rosemonde, Les Muses françaises, Paris, TriArtis, 2024 

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Pseudonymes est une série de 4 podcasts à la découverte de poétesse de la Belle Époque.

Rachilde, Rosemonde Gérard, Jean Balde et Cora Laparcerie, découvrez quatre écrivaines et poétesses reconnues de la Belle Époque, puis effacées du champ littéraire. Intrigantes, audacieuses, louves ou comédiennes, leurs vies et leurs œuvres témoignent des négociations nécessaires pour exister dans un univers alors essentiellement masculin. Première rencontre, Rachilde, de son vrai nom, Marguerite Eymery.

Écriture, réalisation et voix : Ingrid Bertol

Structure porteuse du projet : Micro-Folie Cadaujac

Crédits - France Culture, Marguerite Eymery dite Rachilde, Homme de Lettres 1860-1953 (rediffusion du 9 mai 2009), par Françoise Estèbe et Christine Robert

Références livresques - Pour le document d'accompagnement

Rachilde, Le Meneur de louves, G. Crès et Cie. 1926

Rachilde, À mort. Edition Monier et Cies, 1886.

Rachilde, Pourquoi je ne suis pas féministe, La Part Commune. 2024 

Noël Santon, La poésie de Rachilde, Le Rouge et le Noir, 1928.

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Née à Saigon de parents fonctionnaires de l'Empire colonial, Marguerite Duras vivra jusqu'à ses dix-huit ans de nombreux déplacements entre l'Indochine et la Guyenne métropolitaine. Les textes choisis et les entretiens montrent chez l'adolescente cette errance et un désir d'ancrage qui marqueront profondément l'écrivaine.

À l’écriture : Violaine de Villers & Jackie Bui

À la voix : Violaine de Villers, Jackie Bui

À la réalisation : Violaine de Villers & Jackie Bui

Structure porteuse du projet : Association internationale Marguerite Duras

Au montage : Violaine de Villers, à la technique Zacharie Carroll

Crédits : Jean Mascolo, ayant-droit de l’oeuvre de Marguerite Duras. Marianne Alphant, Le bon plaisir de Marguerite Duras. Violaine de Villers, Ma petite misère. Jean Marc Turine, Le Ravissement de la parole. Et des extraits des enregistrements audio effectués lors des Biennales de l'Association internationale Marguerite Duras - A.I.M.D

Remerciements : Aux membres du Conseil d’Administration et amis de l’ A.I.M.D. A la direction et le personnel enseignant du Collège Lucien Sigala de Duras. A Graham Riach, compositeur des extraits de L’Amertume du Bonheur. A Laurence Mekhitarian, pianiste interprète du Concert donné pour le centenaire de M.D. au château de Duras

Le lien d’écoute du podcast accompagné de son Générique textuel, comprenant toutes les références mobilisées, est à retrouver sur le site https://www.margueriteduras.org

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