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Share Desfragmentations feat. Arno Bertina, Auteur, Saison 14 - Episode 1"La littérature comme mode d'exploration du réel"
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Desfragmentations feat. Arno Bertina, Auteur, Saison 14 - Episode 1"La littérature comme mode d'exploration du réel"
Arno Bertina est auteur. Il écrit des livres.
Depuis une vingtaine d’années, rien que cela.
De la littérature blanche comme on dit. Je l’ai découvert en
particulier avec « Je suis une aventure », un drôle et piquant roman sur l’identité, toujours à inventer, à réinventer encore, toujours à découvrir.
Situation après situation.
L’identité comme un road movie ?
Absolument.
Dans "Je suis une aventure", il utilise la figure du tennisman Roger Federer qui fait une dépression après quelques échecs répétés. Personnellement,
je n'aime pas le sport et la figure de Federer me laisse totalement froid, même déprimé. Et pourtant j’ai positivement adoré le roman. Pourquoi ?
Parce qu’Arno Bertina est un écrivain de la liberté qui donne une place considérable à la transformation, à la réinvention de soi. A l’agency comme on dit quand on est
un anthropologue distingué.
Avec lui, pendant quelques heures, nous prenons la route narrative de l’identité. Une route de liberté et de magie avec un véhicule littéraire ; l’écriture qui explore
et dévoile qui nous sommes, toujours en mouvement, toujours narratif et nouveau, que ce soit pour les autres ou à nous-même.
Aux antipodes de la littérature qui aliène avec des étiquettes et si on utilisait la littérature comme mode libératoire d'exploration de soi et du réel ?
🗣 On en cause ?
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By Lamé FrançoisArno Bertina est auteur. Il écrit des livres.
Depuis une vingtaine d’années, rien que cela.
De la littérature blanche comme on dit. Je l’ai découvert en
particulier avec « Je suis une aventure », un drôle et piquant roman sur l’identité, toujours à inventer, à réinventer encore, toujours à découvrir.
Situation après situation.
L’identité comme un road movie ?
Absolument.
Dans "Je suis une aventure", il utilise la figure du tennisman Roger Federer qui fait une dépression après quelques échecs répétés. Personnellement,
je n'aime pas le sport et la figure de Federer me laisse totalement froid, même déprimé. Et pourtant j’ai positivement adoré le roman. Pourquoi ?
Parce qu’Arno Bertina est un écrivain de la liberté qui donne une place considérable à la transformation, à la réinvention de soi. A l’agency comme on dit quand on est
un anthropologue distingué.
Avec lui, pendant quelques heures, nous prenons la route narrative de l’identité. Une route de liberté et de magie avec un véhicule littéraire ; l’écriture qui explore
et dévoile qui nous sommes, toujours en mouvement, toujours narratif et nouveau, que ce soit pour les autres ou à nous-même.
Aux antipodes de la littérature qui aliène avec des étiquettes et si on utilisait la littérature comme mode libératoire d'exploration de soi et du réel ?
🗣 On en cause ?