David était en grand danger : son fils Absalom avait réuni une clique de malfaiteurs bien armés et avait tout pour supplanter son père ; à l’égard de la foi de David, ces ennemis n’avaient que railleries. Se moquaient-ils du roi ou aussi du Seigneur qu’il invoquait ? Aujourd’hui, surtout hors d’Europe, des croyants sont la cible de moqueries et de persécutions ; peut-être n’y en a-t-il jamais eu autant. Or David peut dormir, il se sait en sécurité, non pas à cause de ses soldats, mais à cause de l’Éternel qui veille sur lui. Avant même d’être libéré, il est convaincu que Dieu le secourra, lui répondra « de sa montagne sainte » : le mont Morija, où Salomon construira le Temple. (...)