Plongée tout en douceur dans la controverse, le polémique, bref : les débats sur le sport équestre, notamment à haut niveau. On a tous entendu parler d'hyperflexion, de muserolles trop serrées, de blessures à l'éperon, de problèmes en tout genre de matériel ou encore d'atrophies musculaires.
Cependant, il y a - de mon point de vue subjectif, bien sûr - un sujet qui pour moi, mériterait le centre de la scène, les pleins projecteurs, mais qui, je crois, est nettement moins discuté.
C'est la vie de ces chevaux de haut niveau, les 23 heures pendant lesquelles ils ne sont plus à l'entraînement.