Si l’eau est source de vie, elle est aussi source de conflit, et de profit. L’accaparement de l’eau par des intérêts privés est une réalité, relève une commission d’enquête parlementaire. Au premier rang de ces intérêts privés, ceux des multinationales de l’agroalimentaire. Danone, Nestlé, ou Limagrain font main basse sur l’or bleu, au détriment des populations et des écosystèmes.

Face à ce business de l’eau, la résistance s’organise. De l’Auvergne au Mexique, de la Limagne aux Vosges, des mouvements de lutte affirment le droit à l’eau pour tous et réclament le contrôle citoyen de la ressource.

Invité-e-s :

- María de Jesús Patricio Martínez (Marichuy), porte-parole du Congrès National Indigène du Mexique

- Julia ARNAUD, interprète et membre des Femmes de la Sexta

- Laurent CAMPOS, porte-parole du collectif Eau Bien Commun 63

- Yves REVERSEAU, président de Puy-de-Dôme Nature Environnement