Sentir que plus rien ne va, qu’on a le vertige, qu’on hait notre entreprise, c’est des signes qu’on a probablement besoin de faire une pause, de se poser des questions et d’implanter des changements.

De l’autre côté de l’ambition saine, il y a l’ambition motivée par ce qu’on CROIT que devrait vouloir, par le besoin de se prouver et d’impressionner. Et c’est cette version qui a mené Véronique Ovando à décider de prendre une année sabbatique complète de son entreprise.

Dans l’entrevue d’aujourd’hui, on discute avec elle de radical self-care, de se choisir avant tout, même quand notre entreprise a encore besoin de notre présence pour rouler à son maximum.

Parce qu’au final, on ne travaille pas pour faire rouler l’entreprise, mais bien pour qu’ELLE puisse nous supporter quand on en a besoin.

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Engager les mauvaises personnes pour mon équipe, c’est une erreur que j’ai faite et refaite. Engager à la va-vite parce que j'ai pas le temps de me préparer: check. Engager le candidat le moins pire parce que je suis tannée de chercher: ben oui. Ne pas faire passer de test et me fier juste sur une entrevue: re-check.

Sauf que cette année, au moment d’engager ma première salariée, j’étais accompagnée de ma gestionnaire des opérations, Sarah Eubanks, et on a tout mis en place pour s’assurer de dénicher la perle rare et éviter les surprises (surtout après avoir signé le contrat).

Mais est-ce que ça a été un processus simple et sans défi? Absolument pas. Je l’ai invité sur le podcast aujourd’hui pour qu’on te parle de tout ce qui a été mis en place avant, pendant et après l’embauche, mais aussi de ce qu’on a appris dans le processus et ce qu’on va changer la prochaine fois.

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Tu as déjà songé à créer un petit produit parce que tu te dis que ce serait plus facile à vendre qu’une plus grosse formation? Je vais t’arrêter tout de suite, y’a toute une réflexion derrière la création et la stratégie de vente de ce genre d'offres.

Léa Vercellotti, mon invitée d’aujourd’hui, a réussi à mettre en place un système fondé sur YouTube et le email marketing pour réussir à générer de 15-30k euros par mois avec ses petits produits. Mais elle te met en garde: si tu te lances dans le low ticket sans stratégie pour vendre de façon automatique, tes produits risquent de rester sur leurs tablettes virtuelles.

Est-ce que ça veut dire que c’est pas pour toi? Absolument pas. Écoute l’entrevue pour découvrir les conseils de Léa pour réussir avec les petits produits, sans même y passer toutes tes journées à pitcher!

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Si tu veux faire du bold, du big ass, du grandiooose, t’as besoin de structure pis de mettre fin à l’habitude qui t’empêche d’atteindre cet objectif-là: te prendre à la dernière minute pour ton contenu pis ta production de projet.

Est-ce que c’est nécessaire de prévoir ton lancement 9 mois d’avance? Probablement pas. Mais est-ce qu’au contraire, décider que tu veux lancer ta formation dans 4 semaines est vraiment une décision alignée à “je veux toujours plus”, let’s be honest, pas pantoute.

C’est pas une surprise que faire les choses à la dernière minute, c’est pas une habitude ben ben efficace pour ta business, mais je souhaite avec l’épisode d’aujourd’hui te faire prendre conscience des impacts sur ta croissance, tes résultats, tes collaborations, ton contenu et même ta santé mentale.

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Ce que tu peux faire pour diversifier tes revenus: créer un nouveau produit, faire de l’affiliation, investir dans l’immobilier, investir en bourse… ou acheter des parts dans l’entreprise de quelqu’un d’autre!

Beaucoup d’entrepreneurs se voient devenir des investisseurs un peu plus loin sur leur parcours pour aider d’autres à percer, mais aussi parce que ça peut offrir un ROI à ne pas négliger. Sauf qu’honnêtement, je sais pas toi, mais pour moi le processus est archi-flou et particulièrement intimidant aussi.

Pour Patricia Filiatrault, c’était une idée un peu sur un coup de tête qui a mené à un partenariat de feu qui lui a permis de se “rembourser” en moins d’un an. Mais est-ce qu’ajouter plus est toujours la bonne solution?

Écoute cette discussion à coeur ouvert sur l’ambition, l’anxiété et la passion.

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Pour être bold, effrontée et unstoppable, t’as besoin de non seulement croire dur comme fer en ton projet, mais tout autant en toi. Mais comment tu fais pour bâtir cette confiance et finalement arrêter de procrastiner les grosses actions que ton âme a tellement envie de prendre?

C’est un peu l’oeuf ou la poule: pour avoir de la confiance en toi, tu dois prendre des actions. Mais pour prendre des actions, tu dois avoir confiance en toi? Well, oui et non. Tu peux commencer à te pratiquer avec des plus petites habitudes qui vont bâtir ta confiance une petite décision à la fois et dans cet épisode, je te partage les 8 qui ont eu le plus gros impact sur mon mindset au quotidien.

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On pourrait croire que s’associer avec un autre entrepreneur pour lancer une entreprise pourrait simplifier notre liste de tâches et notre vie, mais c’est sans considérer les défis qui viennent avec un partenariat permanent.

Quand on travaille avec une autre personne, on la découvre sous un nouvel angle, on doit ajuster nos propres habitudes pour prendre en compte celles de l’autre et on doit SURTOUT avoir une vision claire et commune d’où on va pour ne pas faire foncer la business dans un mur.

Dans cet épisode, je discute avec Julie Fabre et Julia Coudert de I don’t think I feel pour qu’on explore les dessous de l’entrepreneuriat à 2, en plus de leurs stratégies pour faire durer leur entreprise dans le temps.

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Que ce soit pour supporter une amie ou pour diversifier tes revenus sans devoir créer plus de produits, faire de l’affiliation pour d’autres c’est une stratégie qui peut rapporter gros (si bien planifiée).

C’est comme n’importe quoi: si tu fais ça à moitié, t’as la moitié des résultats. Mais y’a moyen de maximiser tes efforts et t’assurer d’avoir un ROI maximum.

Dans cet épisode, je te partage comment je bâtis mes promotions affiliées, avec comme étude de cas ma dernière promotion pour le logiciel ThriveCart, et je te partage d’autres idées que j’ai testées pour trouver ce qui fonctionne pour toi!

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Est-ce que parce que tu choisis d’aider les autres dans la vie, parce que tes clients viennent à toi avec un problème, tu n’auras jamais droit à la richesse? C’est malheureusement un discours qu’on entend énormément chez certains activistes et professionnels de la santé (sauf les médecins… eux ils y ont droit étrangement).

Les ordres professionnels ont, entre autres, la responsabilité de s’assurer que les services aux patients passent avec le profit des professionnels, mais c’est souvent au détriment des rêves et ambitions de leurs membres, surtout ceux qui ont la fibre entrepreneuriale.

Cette semaine, je reçois Lorianne Lacerte pour qui se contenter d’une grosse clinique pas rentable, c’était absolument pas acceptable. On discute ensemble de comment jouer le jeu de l’entrepreneuriat en suivant les règles de son ordre, mais en trouvant des façons créatives d’en faire bénéficier sa vie personnelle aussi.

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On m’a invité à une soirée de networking à Paris en mai dernier, et ça a tourné en voyage improvisé de 2 semaines où j’ai eu révélation après révélation pour moi et mon entreprise.

Pis en plus des 6 prises de conscience que je te partage dans cet épisode, j’ai réalisé que j’ai besoin de faire au moins 1 voyage d’affaires par année pour me sortir de mon quotidien et changer de perspective sur qui je suis et les décisions que je prends.

Je te partage donc les changements apportés à mon mindset et comment malgré ma relation saine avec l’argent et le succès, je me suis découvert une bunch de pensées limitantes qui traînaient encore dans les tiroirs.

C’est l’heure du grand ménage!

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