Elles parlent santé

Gynécologue au service de gynéco-obstétrique du CHU d'Angers, professeur Philippe Descamps fait le point sur un bon nombre d'idées reçues qui persistent autour du sujet du HPV (papillomavirus humain). Mal ou peu informées, les femmes sont déroutées lorsqu'elles apprennent qu'elle sont porteuses de ce virus alors qu'il est très bien pris en charge et surtout il existe des moyens de l'éviter. En réponse au précédent épisode d'Emmanuelle qui s'exprimait sur son parcours suite à son examen de frottis suspect, on écoute ce regard croisé spécial Juin Vert, le mois dédié au dépistage du cancer du col de l'utérus.

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Emmanuelle, 39 ans, a découvert qu’elle avait contracté le papillomavirus à la suite d’un frottis suivi d’un test HPV. Des résultats "qui se font attendre" au "pas de nouvelle, bonne nouvelle", du "comment ça s’attrape ? " au "comment on le transmet ?", Emmanuelle nous raconte les différentes étapes lorsqu'elle découvre sa maladie. Mais c'est surtout l'ignorance générale sur le HPV et l'aspect encore tabou de cette maladie qu'elle explique et contre lesquels elle lutte désormais en informant entourage et amies.

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Le mois dernier nous recevions Séverine qui est revenue sur la découverte de son cancer du sein il y a six ans et notamment le diagnostic. Nous accueillons aujourd'hui Aurélie, radiologue à Marseille, qui a accepté de venir nous donner son point de vue de médecin sur ce moment tant redouté par les patientes. Spécialisée en imagerie de la femme et en scénologie depuis plus de 20 ans, Aurélie est passionnée par son métier.
A travers son témoignage, on découvre l'autre côté du miroir : comment annoncer une mauvaise nouvelle ? Comment accompagner les patientes en détresse ou dans un état de sidération ? Les radiologues y sont-ils préparés ?
Un échange sincère sur le point de vue d'une professionnelle de santé qui nous livre sans détour son expérience et son ressenti.

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Un nouveau format pour cette nouvelle saison !  Chaque mois, vous retrouverez une de nos invitées précédentes qui, cette fois-ci, va nous emmener dans la salle d’examens. C'est Séverine, diagnostiquée d’un cancer du sein il y a 6 ans, qui démarre cette nouvelle saison en nous racontant comment elle a vécu et vit encore ses examens : de la toute première annonce aux suivis actuels. Mais ce n'est pas tout ! Vous retrouverez dans un prochain épisode le regard du professionnel de santé : peut-on atténuer le stress des examens ? comment s’y préparer ? Faisons rencontrer ces 2 mondes pour améliorer le vécu de ces moments tant redoutés...

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Sabrina attend son premier enfant quand on lui découvre une tumeur au palais. Il s'agit d'un cancer ORL rare. Quel lien avec Septembre turquoise, le mois dédié aux cancers gynécologiques ? Tout simplement parce que les premiers facteurs de risque dans les cancers ORL sont les HPV (papillomavirus humains) qui provoquent également le beaucoup plus connu cancer du col de l'utérus. Depuis treize ans, Sabrina a subi plus d'une dizaine d'opérations très lourdes qui ne l'empêchent pas de s'engager auprès d'autres patients grâce à son association Corasso. C'est avec un grand sourire et des yeux qui pétillent que Sabrina a accepté de nous raconter son histoire pour informer et contribuer à changer le regard sur les cancers de la tête et du cou. 

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Dans cet épisode, on vous parle du désir d’enfants. Si ça peut paraître évident pour le plus grand nombre, le couple peut parfois s’avérer infertile. Si on en connait pas forcément la cause, pour les femmes, l'horloge biologique tourne et avec elle les chances s’amenuisent. Heureusement, grâce aux progrès de la science, des solutions existent. Mais est-ce si simple ? Virginie, est l’heureuse maman de Louise et Gabriel, des jumeaux qu’elle a eu grâce a un don d’ovocytes obtenu à l’étranger. Elle nous raconte son parcours semé d'embuches, d'a-priori comme " c'est dans la tête" et autres méandres qui l'ont poussée à agir. 

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Christine est professeure de piano et croque la vie à pleines dents. Elle nous raconte comment elle a accusé le coup lorsqu'on lui a annoncé un cancer des ovaires à 43 ans. Elle va rebondir très vite, comme une évidence. Par la suite, Christine éprouvera un besoin profond de partager son expérience avec d'autres patientes et de les soutenir. Engagée auprès de l'assocation IMAGYN, l'association de patientes dédiée aux cancers gynécologiques, elle nous livre son histoire.

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Françoise est présidente de l'@AFLAR une association qui lutte contre les maladies musculo-squelettiques. Dans cet épisode, elle nous raconte comment elle a découvert son ostéoporose, sa lutte pour être convenablement diagnostiquée et son énergie hors norme pour lutter contre les idées reçues. Maladie répendue qu'elle qualifie de "maladie silencieuse et invisible" l'ostéoporose est loin d'être une fatalité. Des comportements et une hygiène de vie peuvent limiter l'arrivée decette maladie et ses conséquences parfois désastreuses sur la qualtié de vie des femmes. On écoute son histoire... 

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Emelyne a 17 ans lorsqu'elle est diagnostiquée d'un syndrome des ovaires polykystiques (SOPK). "La moitié de mon âge ! " comme elle aime le préciser aujourd'hui avec sourire. Mais cette maladie ovarienne ne l'a pas toujours faire rire : elle a vigoureusement impacté son quotidien comme beaucoup d'autres femmes. Et pourtant qui a déjà entendu parler de SOPK ? On écoute Emelyne qui va nous éclairer sur cet acronyme et nous embarquer dans sa vie de militante en faveur d'une reconnaissance de cette pathologie dont on parle si peu.

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 A l’occasion de la journée internationale des droits des femmes (8 mars)  Antoine Bara, dirigeant la société Hologic, un des leaders mondiaux dans la santé des femmes répond à nos questions. Pourquoi Antoine Bara ? Parce qu'à travers son analyse du baromètre Global Women's Health Index que la société Hologic dévoile chaque année, il évoque un enjeu majeur de santé publique : améliorer significativement la santé des femmes dans le monde et sauver des vies. 

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