En montagne avec JPG

Pic noir et camponotes

Imaginez-vous vers 1200 m d’altitude, en plein étage montagnard, dans une belle hêtraie sapinaie.

Et là, dans le tronc d’un sapin, à deux mètres du sol, il y a un grand trou.

Votre attention a d’abord été attirée par une accumulation de copeaux de bois au pied de l’arbre. Puis en relevant les yeux vous avez vu ce trou.

Un trou important : 20 cm de large, 30 à 40 cm de haut, et profond jusqu’au milieu du tronc.

Et au fond, apparaissent à nue des galeries verticales, qui étaient creusées dans le bois et qui sont maintenant à ciel ouvert.

Parfois on peut même encore observer la présence de grosses fourmis circulant à l’entrée de ces galeries.

Et bien il s’agit d’un trou creusé par un pic noir, pour lui permettre d’attraper ces fourmis, les camponotes, et de s'en nourrir.

Je vais vous raconter un peu leur histoire à chacun, du point de vue des fourmis, du point de vue de l’arbre et du point de vue du pic.

Vous trouverez des informations sur mes séjours et randonnées en montagne en allant sur mon site :

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Aujourd’hui nous allons parler de l’étagement de la végétation en montagne.

Vous avez certainement remarqué que on ne rencontre pas les mêmes plantes ni les mêmes arbres selon l’altitude où l’on se trouve. En effet la végétation se répartit en bandes altitudinales que l’on appelle les étages.

Je vais d’abord vous expliquer l’origine de ce phénomène. Puis nous verrons qu’il y a cinq étages qui sont répertoriés dans les Alpes, depuis les simples collines jusqu’aux plus hauts sommets. Nous allons les décrire, nous allons les explorer.

Je vous invite donc à monter avec moi jusqu’au cinquième étage, sans ascenseur !!

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Lorsque l’on me demande de définir la marche nordique en une phrase, je réponds souvent « c’est une marche dynamique qui se pratique avec des bâtons sur lesquels on appuie avec les bras pour aider à la propulsion ». Et j’ajoute « ainsi les bras contribuent à l’effort autant que les jambes, on devient quadrupède ».

C’est une discipline qui séduit de plus en plus de pratiquants passionnés. Elle s’adresse à tous, sportifs ou non sportifs. Elle saura satisfaire ceux qui sont en recherche d’une activité physique d’extérieur douce et juste pour le corps. Elle saura aussi répondre aux exigences des athlètes en recherche d’entrainement intense et de dépassement de soi.

Sa pratique apporte beaucoup de plaisir et beaucoup de sensations étonnantes. C’est pour cela qu’on en fait.

Elle apporte également beaucoup de bienfait pour le corps, pour le mental et nous allons les décrire.

Pour toutes ces raisons elle mérite largement qu’on en parle. Et elle a parfaitement sa place dans ce podcast sur la montagne puisque on peut la pratiquer avec bonheur sur les terrains nordiques de moyenne montagne.

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La marmotte est l’un des symboles de la nature montagnarde. Sa silhouette dodue, ses attitudes cocasses, les cabrioles de ses petits, l’utilisation de ses mains pour manger, sa fréquente station debout, apportent une belle note de fantaisie et rendent la montagne encore plus attrayante. Dans cet épisode, je vais vous parler de la vie de la marmotte, autour de son terrier, en famille, au sein d’une colonie.

Les lacs de montagne sont des éléments majeurs des paysages d'altitude. Ils attirent les randonneurs, les photographes, les pêcheurs. Ils sont des lieux de rêverie, de méditation, d'observation. Mais ce sont aussi des écosystèmes merveilleux, fragiles, où la vie se maintient grâce à une adaptation et une créativité sans limite. C'est de ces sentinelles du monde vivant qu'il est question aujourd'hui.

Je suis Accompagnateur en Montagne. Et je suis confiné ! Pour l'instant, plus d'escapades en altitude, plus d'excitation matinale au départ d'une randonnée, plus d'émotion en arrivant au sommet. Et surtout plus le plaisir de partager ces expériences avec vous ! Or c'est là l'essence de mon métier.

C'est de ce beau métier dont je parle dans cet épisode.