Le 6 décembre 2012, Nadine Aprin-Poetto découvre le corps inanimé de son mari, Jean Aprin, dans un hangar situé au milieu des vignes du village varois de La Roquebrussanne. Inquiet de la présence de rôdeurs, l'homme de 48 ans s'était rendu la veille au soir sur l'exploitation viticole familiale, située à quelques kilomètres de leur habitation. Tout porte à croire qu'il s'agit d'un meurtre crapuleux. Seulement, l'enquête va bientôt basculer.

Trois semaine après la découverte du corps de la victime, son propre fils se présente à la gendarmerie pour faire une terrible révélation : lui et sa mère seraient en réalité les assassins. L'adolescent de 16 ans, dont les propos sont rapportés dans Enquêtes Criminelles, déclare avoir aidé sa mère Nadine a supprimer le père de famille car ce dernier était un époux violent. Pire, il serait également à l'origine du décès de son petit frère survenu en 2002. Mais en réalité, Jean Aprin n'a rien du bourreau décrit par sa famille, loin de là. L'enquête va mettre à jour une incroyable machination orchestrée par la mère de famille. Réal : Yoann Cambefort

Le magazine de référence "Enquêtes Criminelles" a désormais sa version podcast. Chaque semaine, Jean-Marie Goix vous raconte une affaire emblématique qui fait ou qui a fait la une de l'actualité.

Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le 6 décembre 2012, Nadine Aprin-Poetto découvre le corps inanimé de son mari, Jean Aprin, dans un hangar situé au milieu des vignes du village varois de La Roquebrussanne. Inquiet de la présence de rôdeurs, l'homme de 48 ans s'était rendu la veille au soir sur l'exploitation viticole familiale, située à quelques kilomètres de leur habitation. Tout porte à croire qu'il s'agit d'un meurtre crapuleux. Seulement, l'enquête va bientôt basculer.

Trois semaine après la découverte du corps de la victime, son propre fils se présente à la gendarmerie pour faire une terrible révélation : lui et sa mère seraient en réalité les assassins. L'adolescent de 16 ans, dont les propos sont rapportés dans "Enquêtes Criminelles", déclare avoir aidé sa mère Nadine a supprimer le père de famille car ce dernier était un époux violent. Pire, il serait également à l'origine du décès de son petit frère survenu en 2002.

Mais en réalité, Jean Aprin n'a rien du bourreau décrit par sa famille, loin de là. L'enquête va mettre à jour une incroyable machination orchestrée par la mère de famille. Réal : Yoann Cambefort

Le magazine de référence "Enquêtes Criminelles" a désormais sa version podcast. Chaque semaine, Jean-Marie Goix vous raconte une affaire emblématique qui fait ou qui a fait la une de l'actualité.

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Le 28 juillet 2014, à Roquebrune-Sur-Argens, dans le Var. Il est 7 heures du matin lorsqu'une femme appelle en panique les gendarmes de Saint-Tropez. Elle vient de découvrir le corps sans vie de son amie Bernadette Benaym : elle git dans une mare de sang sur la terrasse de son immense villa. La victime a été poignardée à plusieurs reprises avant d'être égorgée.

Qui a tué la riche veuve de 67 ans ? Aurait-elle été la cible d'un cambriolage ? L'hypothèse est séduisante, d'autant que dans la région, une autre femme fortunée vient d'être assassinée, avant d'être dépouillée. Seulement, cette piste ne va pas faire long feu. À bien y regarder, dans la maison de Bernadette, rien n'a été fouillé et encore moins volé. Alors qui pouvait lui en vouloir au point de lui trancher la gorge ? Réalisation : Valentine Crosse et Sylvain Louineau

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Le 28 juillet 2014, à Roquebrune-Sur-Argens, dans le Var. Il est 7 heures du matin lorsqu'une femme appelle en panique les gendarmes de Saint-Tropez. Elle vient de découvrir le corps sans vie de son amie Bernadette Benaym : elle git dans une mare de sang sur la terrasse de son immense villa. La victime a été poignardée à plusieurs reprises avant d'être égorgée.

Qui a tué la riche veuve de 67 ans ? Aurait-elle été la cible d'un cambriolage ? L'hypothèse est séduisante, d'autant que dans la région, une autre femme fortunée vient d'être assassinée, avant d'être dépouillée. Seulement, cette piste ne va pas faire long feu. À bien y regarder, dans la maison de Bernadette, rien n'a été fouillé et encore moins volé. Alors qui pouvait lui en vouloir au point de lui trancher la gorge ? Réalisation : Valentine Crosse et Sylvain Louineau

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Cap d'Antibes, sur la Côte d'Azur. La nuit tombe doucement ce 1er novembre 1992 quand le calme de ce quartier résidentiel est brusquement brisé. Éric de Vriendt circule à vélo lorsqu'il est renversé par une voiture. Projeté au sol, le cycliste est inconscient et saigne abondamment de la tête. Le chauffard, lui, s'est volatilisé.

Il est conduit au bloc où il subit plusieurs interventions chirurgicales avec succès. Hospitalisé, l'homme reçoit la visite quotidienne de sa compagne Geneviève Montillet.

En janvier 1993, alors que l'affaire s'apprête à être classée faute d'éléments, l'enquêteur reçoit un coup de téléphone de la compagnie d'assurance lui réclamant une copie de la procédure de l'accident mortel sur la personne d'Éric de Vriendt. Seul problème, la police n'a pas été prévenue du décès. Geneviève Montillet est rapidement convoquée pour s'expliquer. Selon elle, son mari n'aurait pas survécu à une fausse route, encore affaibli par son accident. Pire encore, elle aurait prévenu la famille d'Éric seulement après l'avoir fait incinérer. Et si l'homme ne s'était pas étouffé ? Était-il réellement en état de quitter l'hôpital après son accident ? Et pourquoi Geneviève n'a-t-elle pas prévenu la famille de son décès ?

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Cap d'Antibes, sur la Côte d'Azur. La nuit tombe doucement ce 1er novembre 1992 quand le calme de ce quartier résidentiel est brusquement brisé. Éric de Vriendt circule à vélo lorsqu'il est renversé par une voiture. Projeté au sol, le cycliste est inconscient et saigne abondamment de la tête. Le chauffard, lui, s'est volatilisé.

Il est conduit au bloc où il subit plusieurs interventions chirurgicales avec succès. Hospitalisé, l'homme reçoit la visite quotidienne de sa compagne Geneviève Montillet.

En janvier 1993, alors que l'affaire s'apprête à être classée faute d'éléments, l'enquêteur reçoit un coup de téléphone de la compagnie d'assurance lui réclamant une copie de la procédure de l'accident mortel sur la personne d'Éric de Vriendt. Seul problème, la police n'a pas été prévenue du décès. Geneviève Montillet est rapidement convoquée pour s'expliquer. Selon elle, son mari n'aurait pas survécu à une fausse route, encore affaibli par son accident. Pire encore, elle aurait prévenu la famille d'Éric seulement après l'avoir fait incinérer. Et si l'homme ne s'était pas étouffé ? Était-il réellement en état de quitter l'hôpital après son accident ? Et pourquoi Geneviève n'a-t-elle pas prévenu la famille de son décès ?

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Mercredi 20 septembre 2017, dans le quartier chic de Wimbledon, au sud de Londres, de la fumée noire s'échappe d'un jardin et dégage une odeur pestilentielle. Alertés, les pompiers découvrent un homme en train de brûler les restes d'un corps humain.

Il s'appelle Ouissem Medouni. Il est Français et vit dans ce quartier cossu avec sa compagne Sabrina Kouider, leurs deux enfants et une jeune fille au pair, Sophie Lionnet. Mais étrangement, cette dernière manque à l'appel. Sabrina affirme qu'elle a quitté la maison deux jours plus tôt sans explication. En France, les parents de la jeune fille sont inquiets : leur fille ne donne plus aucun signe de vie.

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Mercredi 20 septembre 2017, dans le quartier chic de Wimbledon, au sud de Londres, de la fumée noire s'échappe d'un jardin et dégage une odeur pestilentielle. Alertés, les pompiers découvrent un homme en train de brûler les restes d'un corps humain.

Il s'appelle Ouissem Medouni. Il est Français et vit dans ce quartier cossu avec sa compagne Sabrina Kouider, leurs deux enfants et une jeune fille au pair, Sophie Lionnet. Mais étrangement, cette dernière manque à l'appel. Sabrina affirme qu'elle a quitté la maison deux jours plus tôt sans explication. En France, les parents de la jeune fille sont inquiets : leur fille ne donne plus aucun signe de vie.

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Le 20 décembre 2012, le corps d'Aurélie Barbot, 29 ans, gît sur le pas de la porte de sa cuisine, une balle dans la tête. Rapidement, l'ex-mari d'Aurélie, Sébastien Beaugendre, va se trouver dans le collimateur des enquêteurs. Car depuis qu'elle avait décidé de divorcer quelques mois plus tôt, Sébastien supportait mal l'idée d'être séparé de ses trois enfants. Le père de famille, passionné par les armes, aurait-il commis l'irréparable ?

D'après les proches d'Aurélie qui témoignent dans "Enquêtes Criminelles", cela ne fait aucun doute. Selon eux, Sébastien Beaugendre était violent, il avait même menacé à plusieurs reprises de tuer son ex-compagne. Seulement, face aux enquêteurs, l'homme jure qu'il n'a commis aucun meurtre. Plus troublant encore, son fils aîné raconte que ce matin-là, vers 7 heures, il a entendu quelqu'un vociférer des menaces de mort contre sa mère. Et la voix qu'il a entendue est celle d'une femme. Alors, qui est cette mystérieuse personne ? Pourquoi menaçait-elle Aurélie ? Et l'a-t-elle tuée ? Les gendarmes commencent à douter car un corbeau s'accuse du meurtre et signe ses lettres d'un énigmatique "Madame G.". Réalisation : Stéphanie Burlot.

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Le 20 décembre 2012, le corps d'Aurélie Barbot, 29 ans, gît sur le pas de la porte de sa cuisine, une balle dans la tête. Rapidement, l'ex-mari d'Aurélie, Sébastien Beaugendre, va se trouver dans le collimateur des enquêteurs. Car depuis qu'elle avait décidé de divorcer quelques mois plus tôt, Sébastien supportait mal l'idée d'être séparé de ses trois enfants. Le père de famille, passionné par les armes, aurait-il commis l'irréparable ?

D'après les proches d'Aurélie qui témoignent dans "Enquêtes Criminelles", cela ne fait aucun doute. Selon eux, Sébastien Beaugendre était violent, il avait même menacé à plusieurs reprises de tuer son ex-compagne. Seulement, face aux enquêteurs, l'homme jure qu'il n'a commis aucun meurtre. Plus troublant encore, son fils aîné raconte que ce matin-là, vers 7 heures, il a entendu quelqu'un vociférer des menaces de mort contre sa mère. Et la voix qu'il a entendue est celle d'une femme. Alors, qui est cette mystérieuse personne ? Pourquoi menaçait-elle Aurélie ? Et l'a-t-elle tuée ? Les gendarmes commencent à douter car un corbeau s'accuse du meurtre et signe ses lettres d'un énigmatique "Madame G.". Réalisation : Stéphanie Burlot.

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