Un jour ou l’autre, elle arrive, sans prévenir. Elle s’infiltre dans nos vie de femmes. Un jour, c’est la fatigue qui colle à la peau. Le lendemain, un coup de chaud un peu étrange. Rien de spectaculaire, comme un léger glissement. Discret mais déroutant. Et elle, c’est la périménopause.

Cette transition touche la majorité des femmes entre 40 et 50 ans. Jusqu’à huit ans de fluctuations hormonales, parfois sans signes avant-coureurs, parfois avec des symptômes qui imposent leur loi.

Pourtant, ce n’est pas une maladie, plutôt un grand huit hormonal qui secoue un peu et redessine la manière d’habiter son corps.

Et pour Léonore, tout a commencé par une évidence impossible à ignorer.

Liens:

https://www.hirslanden.ch/fr/corporate/description-pathologies/troubles-menstruels.center.html/120/kompetenzen/praevention.html

https://www.onedoc.ch/fr/gynecologue-obstetricien/clarens/pcsj7/dr-pierre-antoine-pradervand

https://www.minds-ge.ch/ressources/liberee-delivree-menopausee

Etude WHI : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12117397/

Protagonistes:

Avec le Dr Pierre-Antoine Pradervand, spécialiste en gynécologie et obstétrique affilié aux cliniques Hirslanden. Merci à Léonore (prénom d’emprunt) pour son témoignage.

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Il y a des services hospitaliers où les patients passent.
Et d'autres où ils reviennent. Parfois pour des mois. Parfois pour des années.

L’oncologie fait partie de ceux-là.
Un service à part, où l’on soigne, où l’on accompagne, où l’on apprend à connaître.
Le patient, ses proches. Sa trajectoire.

C’est un épisode un peu différent. Pour une fois, j’ai tendu le micro à des soignantes. Deux infirmières qui, chaque jour, vivent cette médecine qui n’est plus seulement curative, mais continue. Et la première voix que vous allez entendre, c’est celle d’
Hédia Loukil, infirmière au Pôle d’oncologie de la Clinique Hirslanden Lausanne.

Protagonistes:

Merci à Hédia, infirmière au Pôle d’oncologie et Leïla, infirmière spécialiste clinique en oncologie, de la Clinique Hirslanden Lausanne.

Liens:

https://www.hirslanden.ch/fr/clinique-cecil/centres-et-instituts/pole-d-oncologie-lausanne.html

→ Etude “Tendances mondiales en matière d'incidence, de mortalité, de charge et de facteurs de risque du cancer précoce entre 1990 et 2019” https://bmjoncology.bmj.com/content/2/1/e000049

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Chez certaines personnes, le corps grandit mais pas tout à fait droit. La colonne dévie, elle s’enroule, se tord, souvent sans douleur. Et parfois, sans même qu’on le remarque.  

C’est ce qu’on appelle une scoliose idiopathique. Une déformation de la colonne vertébrale qui touche environ 3 à 4 % des enfants et adolescent·es en Suisse.  Une grande partie d’entre eux vivent longtemps sans symptômes notables. Mais parfois, avec les années, cette scoliose peut évoluer. S’aggraver. Devenir douloureuse, voir handicapante.

C’est l’histoire d’Alessandra, 54 ans. La courbe de sa colonne vertébrale a été découverte presque par hasard, à l’adolescence.  

Avec la Docteure Amani Belouaer, spécialiste en neurochirurgie au Neuro-centre, Centre du Dos (Hirslanden Lausanne).

Merci à Alessandra pour son témoignage.

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Chaque année en Suisse, près de 20 000 personnes sont hospitalisées pour une maladie cardiaque. Et parmi elles, de plus en plus bénéficient de techniques mini-invasives pour réparer les valves du cœur, notamment la valve mitrale. Longtemps, ce type d’intervention passait par une sternotomie, une ouverture du thorax tout aussi éprouvante qu’impressionnante. Mais tout ça c’est presque de l’histoire ancienne, aujourd’hui on privilégie une approche mini-invasive, par une petite incision latérale. Résultat moins de douleurs et une récupération plus rapide.  

Quand Ursula a vu apparaitre les premiers symptômes, elle n’imaginait pas le parcours qui l’attendait.  

Merci à Ursula pour son témoignage et au Dr Thierry Aymard, spécialiste en chirurgie cardiaque et thoracique à la Clinique du Cœur pour son expertise

Lien :

https://www.hirslanden.ch/fr/clinique-cecil/centres-et-instituts/clinique-du-coeur.html

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Imaginez que votre corps commence à se dérégler sans raison apparente.
Fatigue, irritabilité, troubles de la concentration, des yeux étranges, une humeur vacillante, et un quotidien qui déraille.
Et si la trouble-fête n’était autre qu’une petite glande nichée dans le cou : la thyroïde ?

En Suisse, entre 1 et 4 % de la population est concernée par une hyperthyroïdie, une pathologie plus fréquente chez les femmes, aux symptômes souvent flous et mal interprétés.

C’est ce qui est arrivé à Clara*. Elle pensait faire un burn-out… mais son corps, lui, disait tout autre chose.

*prénom d’emprunt

Merci au Professeur Maurice Matter, spécialiste FMH en chirurgie viscérale avec une sous-spécialité en chirurgie endocrine à la Clinique Cecil.

Merci à Clara pour son témoignage

Liens : 

https://www.hirslanden.ch/fr/corporate/description-pathologies/hyperthyroidie.html

Le témoignage de Danaé Correvon :
https://www.24heures.ch/podcast-sante-entre-parentheses-vivre-avec-le-cancer-a-30-ans-294691118997

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Chaque année en Suisse, 2 à 5% des patients opérés développent une infection du site opératoire.  

Si la plupart de ces infections sont maîtrisées, certaines prennent une tournure inattendue, transformant les suites d’une intervention chirurgicale en un véritable parcours du combattant.

Dans cet épisode, nous allons découvrir l'histoire exceptionnelle, et heureusement rare, d'Alain* dont le chemin post-opératoire a été jalonné de multiples complications.

Tout avait pourtant bien commencé avec une première prothèse de hanche posée il y a une vingtaine d’année. 

*prénom d’emprunt

Merci au Professeur Olivier Borens, spécialiste en chirurgie orthopédique et traumatologie de l'appareil locomoteur
Et à *Alain pour son témoignage

Liens :  

https://www.hirslanden.ch/fr/clinique-bois-cerf/centers/bone-and-motion-center.html

https://www.bag.admin.ch/bag/fr/home/strategie-und-politik/nationale-gesundheitsstrategien/strategie-noso--spital--und-pflegeheiminfektionen/noso-in-den-spitaelern/grundlagen/bericht-epidemiologie-hai.html

https://www.hpci.ch/surveillance/infections-du-site-opératoire

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Se nourrir rime souvent avec plaisir : un moment de réconfort et de partage. Mais pour certaines personnes, manger peut devenir une épreuve du quotidien. Brûlures, remontées acides ou aigreurs d’estomac. Le reflux gastro-œsophagien, c’est souvent ça : se sentir mal après avoir mangé.

En Suisse, cette pathologie toucherait plus de 20 % de la population. Et lorsqu’elle devient chronique, elle peut devenir très handicapante en altérant le sommeil, l’alimentation, bref la qualité de vie ! 

Jean-Luc lui l’avait en partie perdue. A 51 ans, cela faisait 10 ans qu’il subissait des crises de reflux de plus en plus intenses.

Protagonistes:

Merci au Docteur Philippe Mathys, gastroentérologue à la Clinque Cecil

Et à Jean-Luc pour son témoignage

Liens :  

https://www.hirslanden.ch/fr/clinique-cecil/actualites-et-medias/centre-des-maladies-digestives-lausanne.html

https://www.hirslanden.ch/fr/corporate/description-pathologies/reflux-gastrique.html

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C’est un plaisir de vous retrouver pour ce 28e épisode, le premier de cette 4ème saison. Et oui, déjà ! J’en profite d’ailleurs pour vous remercier pour votre fidélité. Pour démarrer ce nouvel opus, nous allons aborder un sujet encore largement tabou mais qui concerne pourtant une grossesse sur cinq en Suisse : les fausses couches. Encore beaucoup d’idées reçues, de pudeur et de culpabilité entourent cet événement pourtant multifactoriel.

Amandine (prénom d’emprunt) voulait des enfants depuis longtemps, mais la vie étant pleine de détours et de surprises, ce n’est qu’à l’âge de 42 ans qu’elle a pu se lancer dans ce projet avec son compagnon. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que les choses sont allées vite !

Protagonistes:
Avec la Dre Maria Pagnozza, spécialiste en gynécologie et obstétrique à la Clinique Cecil
Merci à Amandine (prénom d’emprunt) pour son témoignage

Liens:
https://www.hirslanden.ch/fr/corporate/description-pathologies/fausse-couche.html
http://www.profa.ch
https://www.24heures.ch/conge-en-cas-de-deces-perinatal-apres-sa-fausse-couche-elle-veut-aider-les-autres-parents-219286606129

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C’est un épisode un peu spécial que vous écoutez aujourd’hui, il est enregistré en public, à la Clinique Bois-Cerf : Le mois de novembre rime depuis quelques années avec movember, ce mouvement qui vise à sensibiliser sur les problématiques de santé typiquement masculines, notamment les cancers, comme celui de la prostate. Et c’est ce dont nous allons parler aujourd’hui. Enfin nous allons plutôt évoquer ce qui gravite autour de la maladie, comment la vie se redessine après l’annonce de la maladie. Quelles conséquences pour les interactions sociales, le travail mais aussi la vie sexuelle souvent impactée par cette maladie. 

Pour en parler avec nous ce soir, j’accueille : 

Leila Manfé, infirmière spécialiste en oncologie et soins palliatifs (Clinique Bois-Cerf)

Le Dr Alfredo Velardi, spécialiste en psychiatrie et psychothérapie

Etienne Roduit qui témoignera de son expérience tout comme  Yves Menoud qui est aussi Président de l’association Prosca. 

Merci à eux pour leur témoignage

Liens : 

https://www.prosca.ch

https://www.hirslanden.ch/content/dam/clinique-bois-cerf/downloads/fr/centres/centre-de-la-prostate-/Brochure_CentreDeLaProstate%20.pdf

https://www.liguecancer.ch/a-propos-du-cancer/les-differents-types-de-cancer/le-cancer-de-la-prostate

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Des picotements ou des engourdissements dans les doigts, surtout la nuit ou le matin au réveil, c’est peut-être les signes d’un syndrome du tunnel carpien. Cette affection courante touche de 1 à 3% de la population, majoritairement des femmes ! Elle est aussi l’une des principales interventions en chirurgie de la main puisqu’en Suisse, on en pratique quelques 20 000 chaque année.

Mélanie est journaliste, un métier où écrire sur son clavier avec les doigts engourdis devient vite très handicapant. Elle nous raconte son expérience dans ce 26e épisode de Entre parenthèses.

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