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By Gaëlle OINOUNOU
The podcast currently has 19 episodes available.
Je l’ai rencontrée par hasard. Ou peut-être pas. Peut-être que c’était écrit, car j’interviewe très souvent ici des femmes incroyables, tout juste au moment où j’ai moi-même besoin d’entendre ce qu’elles ont à dire ; et que je ne suis pas si sûre de croire au hasard. Mais toujours est-il qu’au détour d’une soirée, elle est apparue. On s’est retrouvée ensemble sur un balcon
Elle, c’est Ève, dont le but dans la vie est très clair : vivre 120 ans en bonne santé. Voilà qui plante le décor de cet épisode, et aussi du style de vie de cette femme belle et talentueuse, qui a décidé de se construire sur mesure la vie dont elle rêvait. Passionnée depuis toujours par tout ce qui touche à la santé et au soin de soi, Ève est entrepreneuse multirécidiviste dans le secteur du bien-être et a en quelque sorte développé tout un écosystème autour de son sujet de prédilection. À ce jour, elle n’a pas moins de 6 casquettes, toutes au service de ses valeurs et de ses ambitions : elle est professeur de yoga, psychomotricienne, mannequin, podcasteuse, formatrice en création digitale et créatrice de contenu sur les réseaux. Repérée dans la rue à l’âge de 16 ans par une agence de mannequin, elle choisit néanmoins de faire 5 années d’études en psychomotricité, avant de laisser entrer le mannequinat dans sa vie. Le lien entre le corps et l’esprit la fascine et elle veut se donner toutes les chances d’en faire le cœur de son activité professionnelle. C’est en réalité son envie de penser autrement ce métier auquel elle se prédestinait, dans une approche holistique et de prévention, qui l’a faite atterrir sur les réseaux sociaux. Et tout le reste a suivi.
Avec Ève, on a parlé de bonheur, d’énergie vitale, d’être bien dans ses baskets et dans sa tête, de croquer la vie à pleines dents. On a parlé d’écoute honnête, profonde et sincère de soi, et de la connaissance de son propre fonctionnement comme de la clé pour prendre les bonnes décisions. On a parlé de planification, de maîtrise, de priorisation et aussi de passage à l’action. De mindset, et aussi de comment on navigue entre le verre à moitié plein et les pires scénarios catastrophe possibles. Ève m’a raconté la place immense du mouvement dans sa vie, la façon dont elle a appris à gérer ses émotions et comment elle prend soin de sa santé mentale dans une société dans laquelle ce n’est pas si facile. On a aussi discuté d’harmonie intérieure, d’apprendre à relativiser, de kiff, de bullshit et de rigolade.
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Rendez-vous sur Instagram sur @envol.paris, et si le coeur vous en dit, à laisser des avis et 5 étoiles sur APPLE PODCASTS. C'est précieux pour ENVOL !
Le sac est à la femme ce que la coquille est à l’escargot. C’est
Voici donc le sujet passionnant, pas si léger, pas si futile et
Et pour ce faire, j’ai nommé celle qui aime nous faire
Marie, ce qui l’anime par-dessus tout, c’est de transmettre et de
Et c’est donc ce que l’on a fait ; en tentant notamment de
Allez c’est parti ! Aujourd’hui avec Marie, on souffle dans vos ailes.
Alors écoutez bien attentivement. Déployez-les. Et envolez-vous !
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Elle aime regarder passer les inconnus dans Paris. Elle aime poétiser leurs faits et gestes, et leur imaginer mille vies. Elle est une magnifique raconteuse d’histoires qui chérit sa liberté bien plus que sa sécurité. Elle vivait une vie bien rangée, mais un jour a compris qu’il fallait basculer. Basculer pour recommencer à vibrer et être plus alignée. Basculer pour prendre son envol vers la vie dont elle avait inconsciemment toujours rêvé.
Elle, c’est Sarah, la créatrice du fabuleux compte Instagram French Bon Temps, dont les vibrations parisiennes vous emmènent pourtant bien au-delà de la capitale. Après une classe préparatoire et un parcours de plusieurs années dans la finance, en banque d’investissement, elle a senti qu’elle n’était plus à sa place, qu’elle se déconnectait peu à peu de cette réalité qui ne lui
Sarah, la créative, la flâneuse, l’amoureuse du beau. A accepté de
Avec Sarah, on a parlé de changement professionnel, mais aussi de l’impact que cette bascule implique pour les autres facettes de notre vie. On a parlé des meilleures façons de se reconnecter à soi-même et de valoriser ses zones de génie pour trouver son job idéal. De l’état de flow, des concepts de réussite et d’échec, des principales peurs qui empêchent une grande majorité des
Allez c’est parti ! Avec Sarah aujourd’hui, on souffle dans vos ailes.
Alors écoutez bien attentivement. Déployez-les. Et envolez-vous !
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Elle a décidé de dire tout haut ce que les femmes vivent tout bas. Elle a décidé que sa place dans ce monde était auprès d’elles, et elle les sert et les aime chaque jour à la hauteur de ce qu’elles sont. Elle a décidé de taper du poing sur la table pour rendre visibles leurs appels au secours et défendre leurs droits.
Elle a choisi le seul métier qui lui permettrait de rencontrer la vie à sa source et de se rapprocher de l’insaisissable. Elle a choisi ce métier par passion, et c’est ainsi qu’elle est devenue la sage-femme préférée des Français. Elle a choisi un métier de l’ombre, mais a fini par se retrouver en pleine lumière.
Elle, c’est Anna Roy. Et ce que je n’avais pas compris avant de la rencontrer, c’est qu’elle avait un plan pour les femmes depuis bien longtemps. Un plan guidé par sa soif de justice. Un plan qu’elle suit scrupuleusement depuis ce jour de Juin 2009 durant lequel elle a obtenu son diplôme en se promettant de les servir toute sa vie durant. Ce que j’ai compris aussi, c’est qu’Anna, avant, elle n’osait pas. Mais qu’aujourd’hui, et notamment grâce à l’arrivée sur cette terre de deux petits humains fantastiques, elle n’a plus peur. Elle n’a plus peur de dire ce qu’elle pense. Elle n’a plus peur de dire ce qu’elle a à dire. Elle n’a plus peur de se battre
Anna, c’est une Parisienne pure souche, amoureuse du Marais, qui a besoin de ses 15 000 pas par jour pour se sentir vivante, et surtout pour éclaircir ses idées et avancer dans ses combats. Elle a la bougeotte donc, tant au sens propre, qu’au figuré, et ce ne sont pas les projets qui lui manquent. Elle est sage-femme donc depuis dix ans, dont deux en libéral. Chroniqueuse dans la maison des Maternelles. Créatrice de deux podcasts, elle donne des cours aussi à des étudiants médecins et sages-femmes, et est l’autrice de treize livres.
Anna la culottée, la sensible, l’engagée, a accepté de passer derrière le micro d’Envol. Et cet épisode, comment vous dire, c’est un véritable hymne au femmes.
Ensemble, on a bien évidemment parlé du rôle capital que joue un accouchement dans la vie d’une femme, à quel point il peut la magnifier comme la déstabiliser. On a fait le bilan de la situation pour les sage-femmes, 3 ans tout pile après son appel lancé avec l’hashtag « je suis maltraitante », et elle m’a expliqué pourquoi elle avait quitté l’hôpital public pour finalement…y retourner. On a parlé du tourbillon médiatique au cœur duquel elle vit depuis, mais aussi de tous pleins d’autres sujets. Des sujets difficiles tels que les jugements qui pèsent sur les femmes, le tabou du suicide maternel et bien sûr sa découverte du post-partum et de ses difficultés, mais aussi d’aspects très positifs, et notamment en quoi cette période peut est un moment privilégié pour oser, pour s’écouter, opérer des changements et déployer ses ailes. Anna m’a aussi confié qu’elle était totalement accroc à l’adrénaline et qu’elle serait bien capable dans une vie future d’haranguer les foules, ce en quoi je ne doute pas une seconde. Bref, on a discuté de plein de choses très sérieuses mais aussi beaucoup rigolé.
Allez c’est parti ! Avec Anna aujourd’hui, on souffle dans vos ailes.
Alors écoutez bien attentivement. Déployez-les. Et envolez-vous !
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Elle est passée de la petite fille maladivement timide qui se cachait dans les jupes de sa mère, à une femme accomplie et super inspirante. Elle est passée d’employée dans l’entreprise familiale à CEO de sa propre marque. Elle est passée de novice à mentore. Elle, c’est Emilie. Elle est libre. Elle est cool. Elle est audacieuse. Et de sa baguette magique d’entrepreneure chevronnée et décomplexée, elle ose bousculer l’image d’un monde où chacun évoluerait dans son coin en se méfiant de la réussite des autres. Avec Émilie, tout est mouvement, partage et synergies. Et grâce à son énergie créative sans limites, elle s’est inventée une vie pro sur mesure, au service de ses besoins et de ses aspirations. Entre Paris et Bruxelles. Entre amies et famille nombreuse. Entre travail acharné et kiffs bien mérités. Pour Émilie, c’est “Work hard Play hard”, comme on dit.
Après des études de stylisme à Bruxelles, puis quatre années passées dans la mode à Paris, Emilie rentre à Bruxelles pour intégrer l’entreprise de son père au sein de laquelle elle reste 10 ans en tant que directrice marketing et communication. Et puis…sa première fille, Théa, naît. Un 1er novembre. Et puis…comme souvent dans la vie, d’une grande émotion naît un grand chamboulement. Un nouvel élan. Et c’est donc dans la foulée, un mois plus tard, que son entreprise naît elle aussi. Un 1er décembre donc. Et puis…Comme ces deux naissances s’entremêlent si joliment, Émilie décide que les deux nouveaux amours de sa vie porteront le même nom. Thea jewelry, c’est une marque de bijoux personnalisables qui célèbre les mots et la vie. Une bien belle étoile au milieu de la galaxie Emilie, qui s’enrichit au fil des ans d’un podcast, de dizaines de lives Instagram. De missions de coaching et de mentoring. Et surtout de l’organisation, avec sa partner in crime Clio, d’un concept de speed-metings entre entrepreneures nommé « Let’s share our rollercoster », dont le dernier a été sould out en 24 heures.
Émilie, c’est une chef d’entreprise. Une slasheuse. La femme dont toutes les casquettes se sont un jour enfin retrouvées alignées par le même fil rouge grâce à une rencontre qui a éclairé sa vie et révélé la mission qu’elle poursuivait déjà sans s’en rendre compte : celle de transmettre, et d’accompagner les autres à déployer leurs ailes pour se révéler. Le « why » qui guide aujourd’hui
Alors, celle dont le deuxième prénom aurait certainement dû être « rollercoaster » ou « never give up ». Celle qui persiste et signe à dire qu’on ne perd jamais, mais qu’on apprend toujours. Celle qui ne brille jamais autant que lorsqu’elle évolue en-dehors de sa zone de confort, et qui rêve d’un monde où l’on puisse toutes
Ensemble, on a évidemment parlé des montagnes russes émotionnelles de l’entrepreneuriat, de la rencontre inopinée qui a donné du sens à tout ce qu’elle entreprend aujourd’hui, de l’importance de dire la vérité sans se cacher derrière des succès chiffrées, de sa vision de la réussite et de la compétition, de l’importance du réseau lorsque l’on se lance, du concept de la superwoman et de la place des femmes dans un monde plutôt masculin, mais aussi de Beyoncé, des Enfoirés et de match Tinder.
Que vous soyez entrepreneure ou pas, cet épisode vaut le détour car c’est en réalité une masterclass d’humilité et d’humanité.
Allez c’est parti ! Avec Emilie aujourd’hui, on souffle dans
Alors écoutez bien attentivement. Déployez-les. Et
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Cela ne vous aura pas échappé : c’est la rentrée ! Certains d’entre vous ont déjà repris le chemin du travail, d’autres pas encore mais c’est pour bientôt…et d’autres encore n’ont pas vraiment fait de pause. Mais dans tous les cas, le mois de septembre est un mois particulier car il est la
C’est pourquoi je vous propose cet épisode Bonus. Il est un peu spécial parce que vous connaissez déjà mon invitée : elle est la fabuleuse femme en vol de l’épisode 11 : Sophie Trem. Dans l’épisode précédent, on a notamment parlé de la méthode en 5 points clés qu’elle a mise en place pour réactiver sa bonne humeur, qui sont la posture, la respiration, la pensée positive, l’instant présent et l’acceptation. L’idée dans cet épisode Bonus, c’est d’appréhender ces éléments via un angle très concret, avec des astuces pratico-pratiques à mettre en place dès maintenant. Le but : booster notre rentrée, et en être l’actrice principale, plutôt que de nous faire embarquer dans un tourbillon qu’on ne maîtrise pas. Je suis sûre que vous voyez exactement de quoi je parle…
Avec Sophie, on a parlé entre autre, de posture mentale, des vêtements qu’on porte, de plage horaires libres dans l’agenda, de la relation passé/ présent/ futur, des mots à bannir de notre quotidien, d’entrepreneuriat, de pétages de câbles, de chaussettes et de casseroles. Oui le panel de discussion est très large comme vous pouvez le constater, du plus philosophique au plus terre-à-terre.
J’espère que cet épisode vous boostera !
Allez c’est parti ! Avec Sophie aujourd’hui, on souffle dans vos ailes.
Alors écoutez bien attentivement. Déployez-les. Et envolez-vous !
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Si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à me partager vos retours sur Instagram sur @envol.paris, et si le cœur vous en dit, à laisser des avis et 5 étoiles sur APPLE PODCASTS. C'est précieux pour ENVOL. Vous pouvez aussi retrouver Sophie sur son compte @theotherartofliving ainsi que l'ambiance des Good Mood Class sur le compte @thegoodmoodclass!
Il paraît que la France est le pays de la mauvaise humeur. Ma précieuse invitée du jour, elle, n’en a que faire des étiquettes, bien au contraire : elle a décidé de faire des good vibes son moteur au quotidien. Un jour, elle a compris qu’elle était la seule maîtresse de sa propre réalité. Un jour, elle a pris conscience du fait qu’elle avait le pouvoir de faire bouger les lignes de son destin à tout moment. Un jour, elle s’est retrouvée en possession de pouvoirs infinis, et ses rêves sont devenus réalité.
Celle qui, à la manière d’Obélix, a dû tomber dans une grande marmite pleine d’énergie quand elle était petite. Celle à qui on disait déjà au lycée d’arrêter de rêver trop grand, mais qui a toujours chercher à le faire quand même et à qui la vie a prouvé qu’elle avait raison. Celle que l’on appelait déjà Chief Good Mood officer avant même qu’elle ne crée les Good Mood Class. Celle qui dit à qui veut bien l’entendre que rien n’arrive jamais par hasard et que tout se passe toujours comme cela devait se passer. Sophie, la boule d’énergie, la spirituelle, la plus déterminée des entrepreneures, a accepté sans hésitation de passer derrière mon micro.
Allez, c’est parti ! Avec Sophie aujourd’hui, on souffle dans vos ailes.
Alors écoutez bien attentivement. Déployez-les. Et envolez-vous.
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Elle a décidé de raconter pour survivre. Elle a décidé de raconter pour transmettre. Elle a décidé de raconter parce qu’elle croit l’intime universel et qu’elle a pensé : « si mon récit peut aider ne serait-ce qu’une seule personne, alors il en vaut la peine ». Elle, c’est Amélie. La warrior mama de Shéérazade, née extrême prématurée à 26 semaines de grossesse alors qu’elle ne pesait que 800 grammes.
Il y a deux ans, alors qu’Amélie est déjà maman solo d’un grand garçon et qu’elle est en poste dans une boîte qu’elle adore, elle rencontre Hamza et ensemble, ils décident d’avoir un bébé. Magnifique petit être humain qui décidera malheureusement de pointer le petit bout de son nez après seulement 5 mois et demi de grossesse. L’angoisse
C’est en équilibre sur son fil au-dessus du vide qu’Amélie commence à partager son histoire sur Instagram à une communauté grandissante qui se reconnaît dans son message, qui croit elle aussi dans le fait que l’amour triomphe de tout, quelle que soit la nature de l’épreuve, quelle que soit l’histoire des héros qui se battent. Une communauté qui a envie de porter ce message au quotidien grâce à des produits qu’Amélie pourrait créer : le signe qu’elle attendait depuis longtemps pour se lancer dans l’entrepreneuriat. « Allez l’Amour », c’est donc aujourd’hui aussi le nom de sa propre marque.
Alors, celle qui a fait de l’amour son combat pour la vie et qui n’hésite jamais à se mouiller pour défendre les causes qui lui tiennent à cœur. Celle qui vit au milieu des livres et des œuvres d’art, et dont la plume nous hérisse les poils et nous tire les larmes. Celle qui pas n’a pas peur de laisser parfois son meilleur profil de côté pour nous montrer la vraie vie derrière son écran. Celle qui voudrait vivre toute sa vie au soleil, dans la chaleur des invincibles étés et des vagues qui caressent les jambes. Amélie, la battante, l’authentique, l’amoureuse de l’amour et des mots, a accepté de passer derrière mon micro, pour mon plus grand bonheur vous vous en doutez bien.
Ensemble, on a parlé de la façon dont on peut transformer une épreuve en force. De la vie. De la mort. De l’écriture comme une thérapie. Et bien sûr, de l’amour. De l’amour comme un combat, mais surtout comme la clé du vivre-ensemble. On a aussi parlé du regard qui change, suite à un événement aussi traumatique que la potentielle perte d’un enfant, sur les autres mais aussi sur soi-même. De la façon dont on apprend à dépasser ses peurs pour se lancer dans l’entrepreneuriat. De la bienveillance dont on doit faire preuve pour tenter de réapprendre à aimer un corps qui nous a lâché alors qu’on le tenait pour acquis, pour vivre avec une cicatrice de césarienne que l’on déteste, mais qui en même temps porte en elle toute l’essence du combat mené et de la puissance des femmes.
Allez c’est parti ! Avec Amélie aujourd’hui, on souffle dans vos ailes.
Alors écoutez bien attentivement. Déployez-les. Et envolez-vous.
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C’est l’histoire d’une femme qui, à l’aube de la cinquantaine, libéra la parole de toute une génération. C’est l’histoire d’une femme qui, à travers une émission de radio, rassembla chaque jour des millions d’auditrices, les transformant en une chaîne invisible capable de défier la solitude et la domination masculine. C’est l’histoire d’une femme qui pensa que c’était le moment pour elles toutes de profiter du formidable élan de vie d’une société en pleine mue, pour enfin prendre la place qu’elles méritaient. C’est l’histoire d’une femme à l’origine d’une révolution, d’une déflagration, qui déchaina les passions et fit comprendre à beaucoup d’autres qu’elles pouvaient enfin maîtriser leur destin. Une femme surnommée « La dame de cœur », qui était prête à tout pour venir en aide à celles qui en avaient besoin. C’est l’histoire fabuleuse de Menie Grégoire.
Mais c’est aussi l’histoire de sa petite-fille Adèle, dont la personnalité a été imprégnée à tout jamais de l’amour de cette grand-mère incroyable et flamboyante, et qui a vécu ce tourbillon de célébrité à ses côtés. C’est l’histoire d’Adèle qui décida un jour, de raconter l’épopée de l’héroïne de son enfance, dans un livre captivant nommé « L’heure des femmes ». Un livre qui unit les destinées de femmes sur cinq décennies. Des sœurs. Des amies. Des collègues. Des mères. Des filles. Des voisines. Des inconnues. Des femmes dont les vies s’entremêlent au gré des époques et qui malgré leurs différences, parviennent à se tendre la main.
Les femmes, Adèle aime beaucoup en parler dans ses livres, et elle n’en est pas à son coup d’essai puisque c’est le 7ème qu’elle publie. L’écriture fait partie intégrante de sa vie. Tout comme la mode, et les bons restos, puisqu’elle est rédactrice en chef mode, food et déco chez Gala, et ex-rédactrice en chef du Elle. Ce qui nous donne d’autant plus à penser que les femmes de cette famille ont en commun la passion des magazines féminins et l’envie de vivre leur vie à 100 à l’heure.
Alors, celle qui écrit comme on respire et qui saurait reconnaitre l’odeur du papier neuf des librairies à des kilomètres à la ronde. Celle qui n’avait jamais pensé écrire l’histoire de sa grand-mère alors même qu’elle passe son temps à dire à ses fils : « comme dirait ma grand-mère ». Celle qui nous embarque comme personne au cœur des fashion weeks, dans un mélange de paillettes et d’humour irrésistible. Celle qui nous livre régulièrement les meilleurs street styles de tout Paris. Adèle, la talentueuse, la créative, l’amoureuse des mots, a accepté de raconter son dernier roman à mon micro. Et je peux vous dire que ça vaut le détour.
Avec Adèle, on a parlé des conditions de vie d’un grand nombre de femmes dans les années 70, bien loin du Mai 68 avec les fleurs dans les cheveux que l’on a tendance à imaginer, et puis de ce qui a concrètement changé pour nous, depuis ce temps si proche, et en même temps si lointain. On a parlé des sujets tabous sur lesquels Menie a levé le voile, et de ce couvercle qui s’ouvre sur la parole des femmes à certaines périodes de l’histoire pour ensuite, très souvent se refermer comme si de rien n’était. On a parlé d’ignorance, de solitude, de liens, d’amour, d’entraide et Adèle m’a redit à quel point sa grand-mère avait été un modèle de force, de liberté et d’espoir pour elle, mais aussi pour toute une génération de femmes, dont certaines se sont vues pousser des ailes si grandes qu’elles ont eu le courage de tourner la page d’une vie qui ne les rendait pas heureuse…et de carrément quitter leur mari : ah ben j’avais prévenu que l’émission de Menie avait été une déflagration dans les foyers !
Alors c’est parti ! Avec Adèle aujourd’hui, on souffle dans vos ailes.
Ecoutez bien attentivement. Déployez-les. Et envolez-vous !
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Vous ne le savez peut-être pas, mais aujourd’hui, nous sommes en pleine semaine du Podcasthon: 7 jours pendant lesquels plus de 300 animateurs et animatrices de podcasts se mobilisent pour mettre en valeur le monde associatif, et je suis ravie qu’ENVOL y participe avec la mise en avant d’un lieu révolutionnaire dédié aux femmes, créé par mon invitée du jour. Allez, je vous présente la fabuleuse femme en vol numéro 8!
Elle n’est pas tout à fait Française. Plus vraiment libanaise. Elle est en quelque sorte, une citoyenne du monde. Elle, c’est Ghada Athem. Aussi douce que puissante. Aussi lumineuse que déterminée. Unique petite fille au milieu de trois frères, Ghada nait et grandit au Liban. Bonne élève et lectrice assidue, elle comprend très vite que l’école détient les clefs de sa liberté. Lorsque la guerre éclate, elle s’expatrie en France pour commencer ses études dans le seul domaine qui pour elle, continue d’avoir du sens alors que tout s’écroule : celui de la santé. Puis la magie de la naissance la happe tout entière et elle devient gynécologue-obstétricienne, plongeant dans le même temps en plein cœur de la vie et de l’intimité des femmes et des familles.
Chef de service à la maternité des Bluets, puis dans l’armée, Ghada accepte finalement le rôle de chef de service de la maternité de Saint Denis. C’est à ce moment-là, lorsqu’elle se confronte aux violences faites aux femmes, exacerbées par un contexte de grande précarité, que germe l’idée d’un nouveau modèle de soins holistiques, un parcours de prise en charge globale unique en son genre et qu’elle décidera de créer elle-même en 2016, sous le nom de Maison des femmes. La Maison des femmes, c’est un modèle nouveau qui accompagne les femmes vulnérables et victimes de violences, en leur proposant des parcours de soins globaux qui n’existe nulle part ailleurs : tous les services dont elles ont besoin sont à disposition et facilement accessibles sur place : des soignants, des ostéopathes, mais aussi des policiers, des juristes, des artistes. La Maison des femmes, c’est un lieu de soins, mais dans lequel on a envie d’entrer, et dont les couleurs vives tranchent avec l’austérité de l’hôpital auquel il est accolé. La Maison des femmes, c’est un lieu tout aussi utile que l’hôpital, mais qui ne ressemble pas à un hôpital. La Maison des femmes, c’est une innovation. C’est une révolution qui met la femme au centre. Un lieu d’écoute dans lequel on s’occupe de choses dont le reste du monde se fout. Une « safe place » où la gaité, la joie et le partage font tenir debout ensemble.
Celle à qui la guerre dans son pays natal a donné des ailes pour la vie. Celle qui a choisi d’exercer un métier au cœur de la vie des femmes et des familles, et qui se bat pour leurs droits depuis maintenant 40 ans. Celle qui a eu à cœur de créer un endroit coloré et chaleureux dans lequel les femmes se sentiraient accueillies et écoutées. Celle qui aurait rêvée d’être Marie Curie pour révolutionner le monde, mais qui a quand même trouvé le moyen de le faire à sa manière. Ghada, l’engagée, l’endurante, la chef d’entreprise aguerrie, a accepté cette conversation avec moi.
Avec Ghada, on a parlé de l’indépendance économique des femmes, de leurs droits à prendre des décisions pour elles-mêmes et à disposer de leurs corps, et de leur place dans la société. On a discuté de la difficulté d’être parent, de l’école d’aujourd’hui et de l’éducation des petits garçons comme un enjeu de taille pour s’extirper du modèle patriarcal. Et puis on a aussi loué l’importance de célébrer les victoires et de faire la fête ensemble lorsqu’on est une équipe soudée.
Allez, c’est parti ! Avec Ghada aujourd’hui, on souffle dans vos ailes.
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