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Or
Dans cet épisode de ToastnTalk, on parle d’un refuge discret mais puissant : l’écriture.
Pas celle qu’on montre, mais celle qu’on gribouille dans un carnet au fond du lit, ou sur une note de téléphone à 3h du matin. Écrire pour poser ce qui déborde, pour respirer, pour ne pas exploser.
On discute de ce que ça change de mettre des mots sur ses maux, de ce qu’on découvre sur soi quand on se relit, et de cette drôle de question : faut-il écrire pour soi, ou pour être lu ?
On parle aussi des lettres qu’on n’enverra jamais, des journaux intimes oubliés, de l’écriture comme exutoire, et de cette inspiration qui semble n’apparaître que dans le chaos.
Parfois, écrire, c’est se parler à soi-même quand on ne sait plus comment s’écouter.
Dans cet épisode de ToastnTalk, on parle d’un refuge discret mais puissant : l’écriture.
Pas celle qu’on montre, mais celle qu’on gribouille dans un carnet au fond du lit, ou sur une note de téléphone à 3h du matin. Écrire pour poser ce qui déborde, pour respirer, pour ne pas exploser.
On discute de ce que ça change de mettre des mots sur ses maux, de ce qu’on découvre sur soi quand on se relit, et de cette drôle de question : faut-il écrire pour soi, ou pour être lu ?
On parle aussi des lettres qu’on n’enverra jamais, des journaux intimes oubliés, de l’écriture comme exutoire, et de cette inspiration qui semble n’apparaître que dans le chaos.
Parfois, écrire, c’est se parler à soi-même quand on ne sait plus comment s’écouter.