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Or
* Un épisode réalisé avec le concours des Dr Michèle Levy-Soussan et Benjamin Rohaut *
Longtemps, on a considéré qu’on cessait de vivre au moment du dernier soupir : quand on “expirait”. Puis c’est l’arrêt des battements du cœur qui a déterminé le décès. Depuis la première greffe cardiaque, une alternative est venue tracer la frontière entre la vie et la mort : la ligne de l’électroencéphalogramme plat. Mais plutôt qu’un interrupteur, la mort ne serait-elle pas plutôt un processus ? Un passage, fait de continuité et d’incertitudes ?
Si la médecine cherche de longue date comment déterminer le moment de la mort ; les personnes qui vivent et accompagnent la fin de vie cherchent : les mots. Les mots qui apaisent, donnent du sens, relient les vivants et les morts.
Dans cet épisode, nous vous invitons à explorer la frontière fluide et mouvante entre la vie et la mort, guidé⸱es par la médecine narrative. Car raconter son histoire de vie peut être une forme de soin pour ceux qui partent, comme pour ceux qui restent ; qu’ils soient proches, ou soignant⸱es.
Voici les références citées dans cet épisode, et nos recos pour continuer d’apprendre :
Sur la frontière floue entre la vie et la mort
Sur la médecine narrative
De Rita Charon :
Sur la mise en récit de la maladie et de la mort
Sur la place des morts dans nos vies
Crédits
Merci du fond du cœur à vous, soignant⸱es ou soignés, qui nous avez confié votre parole. À vous qui nous écoutez, vous pouvez à votre tour nous envoyer vos idées et vos témoignages en vous rendant sur notre site : lesermentdaugusta.com
Le Serment d’Augusta est un podcast co-produit par Sorbonne Université, la Fondation APHP, et l’institut du Cerveau, avec le soutien de la Fondation Sorbonne Université.
Concept et écriture : Olympe de Gê et Emmanuel Flamand-Roze
Réalisation : Élisa Grenet
Musique : James Eleganz
Avec la participation de la journaliste Stéphanie Estournet.
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
* Un épisode réalisé avec le concours des Dr Michèle Levy-Soussan et Benjamin Rohaut *
Longtemps, on a considéré qu’on cessait de vivre au moment du dernier soupir : quand on “expirait”. Puis c’est l’arrêt des battements du cœur qui a déterminé le décès. Depuis la première greffe cardiaque, une alternative est venue tracer la frontière entre la vie et la mort : la ligne de l’électroencéphalogramme plat. Mais plutôt qu’un interrupteur, la mort ne serait-elle pas plutôt un processus ? Un passage, fait de continuité et d’incertitudes ?
Si la médecine cherche de longue date comment déterminer le moment de la mort ; les personnes qui vivent et accompagnent la fin de vie cherchent : les mots. Les mots qui apaisent, donnent du sens, relient les vivants et les morts.
Dans cet épisode, nous vous invitons à explorer la frontière fluide et mouvante entre la vie et la mort, guidé⸱es par la médecine narrative. Car raconter son histoire de vie peut être une forme de soin pour ceux qui partent, comme pour ceux qui restent ; qu’ils soient proches, ou soignant⸱es.
Voici les références citées dans cet épisode, et nos recos pour continuer d’apprendre :
Sur la frontière floue entre la vie et la mort
Sur la médecine narrative
De Rita Charon :
Sur la mise en récit de la maladie et de la mort
Sur la place des morts dans nos vies
Crédits
Merci du fond du cœur à vous, soignant⸱es ou soignés, qui nous avez confié votre parole. À vous qui nous écoutez, vous pouvez à votre tour nous envoyer vos idées et vos témoignages en vous rendant sur notre site : lesermentdaugusta.com
Le Serment d’Augusta est un podcast co-produit par Sorbonne Université, la Fondation APHP, et l’institut du Cerveau, avec le soutien de la Fondation Sorbonne Université.
Concept et écriture : Olympe de Gê et Emmanuel Flamand-Roze
Réalisation : Élisa Grenet
Musique : James Eleganz
Avec la participation de la journaliste Stéphanie Estournet.
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