Je vous propose la suite de la correspondance de Guy Cidey à l’endroit de Jon Breslar en 1976 sur différentes hypothèses de l’Islamisation de Mayotte et les conséquences pendant la période des temps modernes des Sultans Batailleurs à la cession de l’île de Mayotte à la France. Guy Cidey relate également le peuplement d’Anjouan et de Majunga et bien sûr le peuplement de Mayotte.

Excellence Mahoraise promeut un nouveau regard sur Mayotte en effet un regard qui envisage et non qui dévisage.

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Je vous propose la suite de la correspondance de Guy Cidey à l’endroit de Jon Breslar en 1976 sur différentes hypothèses de l’Islamisation de Mayotte et les conséquences pendant la période des temps modernes des Sultans Batailleurs à la cession de l’île de Mayotte à la France. Une description de l’organisation sociale en chefferie (Fani et Bedja et Foundis et Mwalimou) est donnée à la fin de la correspondance.

Excellence Mahoraise promeut un nouveau regard sur Mayotte en effet un regard qui envisage et non qui dévisage.

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Je vous propose cette correspondance de Guy Cidey à l’endroit de Jon Breslar en 1976 sur différentes hypothèses de l’Islamisation de Mayotte et les conséquences pendant la période des temps modernes des Sultans Batailleurs à la cession de l’île de Mayotte à la France.

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Je vous propose cet interview d’anthologie de Jon Breslar avec Inzoudine concernant la lutte entre les Sorodats et Serrer-la-main.

A la fin de l’interview vous en saurez plus sur les différentes dimensions de la lutte fratricide et les réconciliations entre Mahorais :

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Je vous propose de revivre une ambiance d’un M’rengué traditionnel à Bouéni dans les 70 capturé par Jon Breslar.

Pour rappel, le M’rengué est un spectacle où s’affrontent à mains nues deux challengers sous la modération d’arbitres expérimentés. C’est une occasion où les hommes peuvent s’illustrer et gagner des positions sociales et l’admiration de la gent féminine sous une ambiance festive rythmée par les batteurs de tambour (ngoma) et autres chants de guerre.

Le M’rengué a plusieurs dimensions socio-politiques sous forme de combat singulier et rituel. Il est très répandu dans l’Océan Indien. Il est pratiqué en Afrique sub-saharienne, à Madagascar et à la Réunion.

Au brésil, la capoeira tire ses origines de cette pratique à la fois danse et discipline sportive et art de combat rituel.

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Bienvenue sur Excellence Mahoraise,

Je vous propose la suite de l’interview d’anthologie de Jon Breslar avec Inzoudine concernant le Shungu et la politique notamment les luttes entre les « Sorodats » et les « Serrer-la-main ».

La société Mahoraise traditionnelle a conservé deux caractéristiques essentielles et structurantes plausiblement apportées par les populations africaines : la matrilocalité et la matrilinéarité souvent hâtivement regroupées en une description sommaire du « matriarcat mahorais » qui ne rend pas compte de la complexité de l’organisation sociale.

Cette organisation est matrilocale en ce que chaque individu naît et habite chez sa mère (ou chez sa tante, ou chez sa grand-mère mais dans la ligne maternelle) et qu’il est donc défini par son village d’origine, c’est-à-dire par celui de sa mère.

C’est là qu’il a son statut social de natif (munyeji) et tous les droits politiques, sociaux et religieux qui lui sont attachés.

C’est là aussi qu’il trouve avec ses « conscrits » (wana wa hirimu) les liens de solidarité — devoirs et droits — liés au groupe d’âge (shikao), extrêmement important dans l’organisation sociale mahoraise.

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Je vous propose cet interview d’anthologie de Jon Breslar avec Inzoudine concernant les rapports conflictuels entre les habitants de M’zouasia et au sein des couples. Il ressort que les femmes de M’zouasia préfèrent les hommes venant de l’extérieur. Polémique assurée ! N’hésitez pas à partager vos remarques.

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Je vous propose ce conte magnifique capturé par Jon Breslar avec une formidable conteuse qui nous berce avec les déboires du M’faloumé et les Djinns.

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Je vous propose cet entretien de Jon Breslar avec Kamardine Daniel sur la pratique de l’Islam à Mayotte et ses conséquences dans la société traditionnelle.

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L’île de Mayotte est un haut lieu d’histoire et compte parmi ses habitants un grand nombre de Sharifs, les premiers arabes et persans venus islamiser Mayotte il y a plus de mille ans.

Un « Sharif » ou Chérif, chérifou ou Haïdara (chérifa, au féminin), ou charif (arabe : شريف Sharīf, pl. شرفاء Shurafāʾ), ou chorfa (en arabe maghrébin, donnant le mot أشراف, ʾašrāf, « nobles »), est un descendant de Mahomet par sa fille Fatima via l'un de ses deux petits-fils, Hassan et Hussayn.

Les Sharifs connus sous l'appellation « Charif » en malgache, sont les grandes familles de propriétaires terriens investis dans la culture du cacao et du café d'exportation. Quelques descendants ont occupé le poste de gouverneur sur les côtes Nord de Madagascar pendant la colonisation française. Mohammed V, roi du Maroc, a été exilé à Madagascar. Des femmes portent le prénom Charifa. Ces Chérifs malgaches sont résidents maintenant en Tunisie sous le nom de famille Chérif, une famille établie à Tunis.