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By Espacité
The podcast currently has 23 episodes available.
Avec 68 gares et 200 kilomètres de lignes de métro, le Grand Paris Express commence déjà à changer le paysage et le quotidien de nombreux franciliens. Ce nouveau métro traduit en partie la concrétisation du phénomène de métropolisation en tant que lieu de connectivité, mais aussi d’inter-territorialité.
Face à l’ambiguïté de certains termes et à l‘évolutivité des enjeux lorsqu’on évoque la métropolisation, un éclaircissement, et une ouverture s’imposent.
Pour en discuter, dans ce nouvel épisode de Faire les murs, Emilie Belval-Lavillonnière, reçoit Daniel Behar, géographe, professeur émérite à l’Ecole d’Urbanisme de Paris et membre de la coopérative Acadie.
Daniel Behar est spécialisé dans les questions de stratégie territoriale, de planification spatiale et de gouvernance, en particulier face aux enjeux de métropolisation des territoires.
On l’écoute apporter ici un éclairage spécifique sur la question francilienne concernant notamment les enjeux de métropolisation, les cycles des politiques d'aménagement du territoire et les évolutions des stratégies territoriales face à une société en mouvement permanent.
Daniel Behar éclaire grâce à son regard de géographe les tensions sociales et territoriales à l’œuvre. Dans ce podcast, il insuffle le recul nécessaire pour lever certaines incompréhensions dans le débat public.
En rappelant la complexité des dynamiques à l’œuvre, mais aussi leur soumission à des effets de cycles, Daniel Behar évoque le nécessaire accompagnement de la transition environnementale des territoires, et la non moins nécessaire lutte contre les écarts de développement entre les habitants des métropoles.
Géographe, professeur émérite à l’Ecole d’Urbanisme de Paris et membre de la coopérative Acadie, Daniel Behar revient dans cet épisode intitulé « La métropolisation au cœur des phénomènes de transition » sur un phénomène à la fois complexe et mouvant qui génère des effets aussi bien sociaux que territoriaux en s’inscrivant dans une temporalité longue.
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Premier poste de dépense des Français, le logement est aujourd’hui confronté à des enjeux économiques majeurs, que ce soit pour produire des logements abordables avec la hausse des coûts de construction, pour accéder au crédit ou pour financer les charges énergétiques. A ces enjeux économiques s’ajoute la confrontation avec les impératifs environnementaux, conduisant à limiter la consommation d’espace, et les évolutions des attentes des ménages en termes d’espace ou d’accès à la nature. Est-il possible de répondre aux besoins en logement des ménages tout en tenant l’objectif poursuivi dans le cadre de la loi Climat et résilience pour aller vers le Zéro Artificialisation Nette ?
Pour en discuter, dans ce nouvel épisode de Faire les murs, Géraldine Chalencon reçoit Hélène Denise, chargée de plaidoyer à la Fondation Abbé Pierre.
Chargée de plaidoyer à la Fondation Abbé Pierre, Hélène Denise est diplômée à la fois en architecture par l’école Paris-La Villette et d’un Master sur l’action humanitaire à l’Université Paris Est Créteil. Dans cet épisode, elle revient sur une étude publiée avec la Fondation pour la Nature et l’Homme intitulée : « Réussir le ZAN en réduisant le mal-logement, c’est possible », dont nous allons parler ensemble. Elle cherche à montrer en quoi le ZAN ne doit pas être un frein pour répondre aux besoins en logement mais, au contraire, une opportunité pour faire évoluer le modèle de développement actuel qui renforce les inégalités et aller vers le déploiement de nouvelles réponses aux besoins.
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Les copropriétés représentent environ 30% du parc de logements. Et alors que l’accession à la propriété reste un souhait très ancré chez les Français (environ ¾ des Français déclarent vouloir être propriétaires quand un peu plus de la moitié le sont), le modèle de la maison individuelle, encore plébiscité et autour duquel se sont aménagés nos territoires à la fin du XXème siècle, ne peut plus être la réponse. En particulier pour des raisons environnementales mais aussi économiques.
Si les copropriétés restent encore souvent décriées car associées à des formes urbaines collectives peu attractives ou encore à une gestion compliquée, nous avons envie de croire qu’elles sont bien le lieu du vivre-ensemble du XXIème siècle ; avec des réponses apportées aux enjeux d’économies foncières, de compacité de la ville ou encore de lien social. Nous vivons une époque où le « CO », COmmun, COllectif, COconstruction, COproproprié, doit reprendre le dessus.
La première édition d’Entre Guillemets, organisée par Espacité le 14 novembre 2023 à la Bellevilloise, a permis d’aborder l’ensemble de ces sujets au cours de trois tables rondes autour du thème « Copropriétés : comment mieux habiter le collectif ? ».
Dans ce nouvel épisode de Faire les murs, nous partageons l’enregistrement de la troisième table ronde centrée sur la place de l’habitat collectif dans la ville, et sur la manière dont les projets façonnent l’espace urbain.
Sur quelles démarches et actions collectives s’appuyer pour faire ville ? Les copropriétés et leurs habitants peuvent-ils être à l’origine de dynamiques urbaines et sociales plus larges, à l’échelle d’un quartier par exemple ?
Comment s’appuyer sur les dynamiques développées à l’échelle des immeubles pour initier des transformations urbaines d’envergure ou nourrir le vivre-ensemble de la cité ?
Ce sont sur ces questions qu’échangent Patrick Dieudonné, Xavier Lavergne et Cédric Peinturier autour d’Emilie Belval-Lavillonnière, directrice générale déléguée d’Espacité.
Patrick Dieudonné est architecte. Il est directeur adjoint et maître de conférences en aménagement et urbanisme à l’Institut de Géoarchitecture (Université de Bretagne occidentale)
Xavier Lavergne est chef de projets habitat privé au sein de l’EPF d’Ile-de-France. Il intervient dans le cadre de l’ORCOD-IN Grigny 2
Cédric Peinturier est directeur de l’habitat de Brest Métropole
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Les copropriétés représentent environ 30% du parc de logements. Et alors que l’accession à la propriété reste un souhait très ancré chez les Français (environ ¾ des Français déclarent vouloir être propriétaires quand un peu plus de la moitié le sont), le modèle de la maison individuelle, encore plébiscité et autour duquel se sont aménagés nos territoires à la fin du XXème siècle, ne peut plus être la réponse. En particulier pour des raisons environnementales mais aussi économiques.
Si les copropriétés restent encore souvent décriées car associées à des formes urbaines collectives peu attractives ou encore à une gestion compliquée, nous avons envie de croire qu’elles sont bien le lieu du vivre-ensemble du XXIème siècle ; avec des réponses apportées aux enjeux d’économies foncières, de compacité de la ville ou encore de lien social. Nous vivons une époque où le « CO », COmmun, COllectif, COconstruction, COproproprié, doit reprendre le dessus.
La première édition d’Entre Guillemets, organisée par Espacité le 14 novembre 2023 à la Bellevilloise, a permis d’aborder l’ensemble de ces sujets au cours de trois tables rondes autour du thème « Copropriétés : comment mieux habiter le collectif ? ».
Dans ce nouvel épisode de Faire les murs, nous partageons l’enregistrement de la deuxième table ronde dédiée aux mécanismes de participation et d’action à l’œuvre dans les copropriétés.
Quels enseignements tirer des 50 dernières années sur la gestion des copropriétés ? Comment faire en sorte que le collectif favorise le bon entretien des immeubles, mais aussi anticipe les enjeux en termes de rénovation énergétique, qui sont à la fois environnementaux et patrimoniaux ? Quelles nouvelles modalités de mobilisation du collectif émergent aujourd’hui ? Quel apport des nouvelles formes de syndic, en particulier des syndics solidaires ? Quelle place et quel rôle des politiques publiques ?
Ce sont sur ces questions qu’échangent Sébastien Catel, Antoine Gueguen et Flavia Leone autour de Géraldine Chalencon, directrice opérationnelle au sein d’Espacité.
Sébastien Catel est du directeur Département Accession & Syndic Solidaire d’Unicil
Antoine Gueguen est chef du bureau de l’habitat durable de la Ville de Paris
Flavia Leone est chercheuse à l’Université Paris-Est Marne-la-Vallée
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Les copropriétés représentent environ 30% du parc de logements. Et alors que l’accession à la propriété reste un souhait très ancré chez les Français (environ ¾ des Français déclarent vouloir être propriétaires quand un peu plus de la moitié le sont), le modèle de la maison individuelle, encore plébiscité et autour duquel se sont aménagés nos territoires à la fin du XXème siècle, ne peut plus être la réponse. En particulier pour des raisons environnementales mais aussi économiques.
Si les copropriétés restent encore souvent décriées car associées à des formes urbaines collectives peu attractives ou encore à une gestion compliquée, nous avons envie de croire qu’elles sont bien le lieu du vivre-ensemble du XXIème siècle ; avec des réponses apportées aux enjeux d’économies foncières, de compacité de la ville ou encore de lien social. Nous vivons une époque où le « CO », COmmun, COllectif, COconstruction, COproproprié, doit reprendre le dessus.
La première édition d’Entre Guillemets, organisée par Espacité le 14 novembre 2023 à la Bellevilloise, a permis d’aborder l’ensemble de ces sujets au cours de trois tables rondes autour du thème « Copropriétés : comment mieux habiter le collectif ? ».
Dans ce nouvel épisode de Faire les murs, nous partageons l’enregistrement de la première table ronde dédiée à la manière dont on conçoit l’habitat collectif aujourd’hui pour mieux répondre à la demande tout en tenant compte des exigences environnementales et économiques.
Quelles solutions architecturales et programmatiques pour rendre le collectif désirable ? C’est sur cette question qu’échangent Sonia Dinh, Rabia Enckell et Hélène Reinhard autour de Lisa Barruet, cheffe de projets au sein d’Espacité.
Sonia Dinh est chercheuse, doctorante en aménagement / urbanisme et sociologie. Ses travaux portent sur la Fabrique des espaces partagés dans le logement collectif privé.
Rabia Enckell est architecte, dirigeante de Courtoisie Urbaine, agence de conception participative des espaces à co-vivre.
Hélène Reinhard est architecte, gérante de SOL Architecture et Présidente de l’association des Architectes-conseils de l’Etat.
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Après quarante ans de contractualisation, comment la politique de la ville a-t-elle failli à résoudre les problématiques d’exclusion en place dans les quartiers prioritaires ? Les violences urbaines consécutives à la mort de Nahel Merzouk ont marqué, dans le débat public, l’échec de l’ensemble des politiques publiques concernant les quartiers prioritaires au titre de la politique de la ville (QPV). Pourtant, la mise en œuvre des contrats de ville en 2014 valorisait un objectif ambitieux d’intégration des QPV dans leur environnement, d’articulation des politiques spécifiques et du droit commun, ainsi qu’un rôle majeur de la participation citoyenne et de la concertation. Qu’en est-il près d’une décennie plus tard ? Quels sont les enjeux pour la nouvelle contractualisation et la période à venir ?
Nicolas Rio est l’auteur d’une thèse en science politique soutenue en 2015 et portant sur la place de la prospective dans la gouvernance et les institutions locales. En 2017, il co-fonde avec Manon Loisel la structure Partie Prenante, qui accompagne les collectivités dans leurs démarches de prospective et d’accompagnement territorial. Après la publication de plusieurs travaux de recherche sur la place de la participation citoyenne dans les politiques de renouvellement urbain et le développement d’une riche expérience de terrain grâce aux missions de Partie prenante, il revient avec nous sur les questions de concertation et de dynamiques d’acteurs dans la politique de la ville.
Quel constat poser vis-à-vis de quarante ans de politique de la ville au lendemain des violences urbaines ayant marqué les quartiers prioritaires au début de l’été 2023 ? Quels changements attendre de l’imminente nouvelle étape de contractualisation de la politique de la ville ? Que peut la prospective dans la mise à l’agenda de ces enjeux, qu’ils soient économiques, sociaux ou écologiques ?
C’est à l’ensemble de ces questions que Nicolas Rio, co-fondateur de Partie Prenante, et Emilie Belval-Lavillonnière, directrice générale déléguée d’Espacité, apporteront des éléments de réponse dans ce nouvel épisode de Faire les murs.
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La question foncière est centrale vis-à-vis des problématiques d’accès au logement et, plus avant, à la propriété de celui-ci. Inspirés du mouvement étasunien des Community Land Trusts, les organismes de foncier solidaire (OFS) ont vocation à proposer une propriété spécifique du logement reposant sur une dissociation du bâti 3et du foncier matérialisé par un bail réel solidaire (BRS). Non lucratif, proposé à des ménages sous condition de ressources, le modèle a vocation à développer un parc d’accession sociale à la propriété durablement abordable. Il esquisse alors l’opportunité du recyclage et du partage de la valeur du foncier dans un parc abordable, particulièrement utile dans la poursuite de l’objectif de zéro artificialisation nette (ZAN).
Vincent Le Rouzic est diplômé de la chaire d’économie urbaine de l’Essec et du département de géographie de l’ENS Ulm. Il conduit par la suite une thèse de doctorat dans le cadre d’un contrat Cifre, au sein de l’agence Espacité, de 2014 à 2017. Celle-ci porte sur les organismes de foncier solidaire face au défi du logement abordable. Une fois sa thèse soutenue, il occupe les fonctions de directeur des études de la Fabrique de la Cité puis devient en 2023 directeur de projet stratégie et innovation au sein d’EpaMarne-EpaFrance, établissements publics d’aménagement de l’est francilien.
Comment fonctionne, en pratique, la mise en œuvre du modèle OFS/BRS ? Comment le BRS renouvelle-t-il la notion de propriété ? Ce nouveau modèle peut-il poursuivre les innovations apportées par les dispositifs d’accession sociale à la propriété précédents ? Quels autres modèles à l’étranger peuvent nous inspirer ? Comment le modèle OFS-BRS peut-il contribuer à l’objectif du ZAN ?
C’est autour de ces questions que Vincent Le Rouzic, directeur de projet stratégie et innovation à EpaMarne-EpaFrance, et Géraldine Chalencon, directrice opérationnelle au sein d’Espacité, échangent au cours de ce nouvel épisode de Faire les murs.
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Dans ce nouvel épisode de Faire les murs, Géraldine Chalencon reçoit Pierre Madec, économiste à l’Observatoire Français des Conjectures Economiques de Sciences Po et enseignant à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Premier poste de dépense des Français, le logement est aujourd’hui confronté à des enjeux économiques majeurs, que ce soit pour produire des logements abordables avec la hausse des coûts de construction, pour accéder au crédit ou pour financer les charges énergétiques. A ces enjeux économiques s’ajoute la confrontation entre les impératifs environnementaux, conduisant à limiter la consommation d’espace, et les évolutions des attentes des ménages en termes d’espace ou d’accès à la nature.
Investi dans la recherche en sciences économiques sur les thématiques de la politique du logement, de l’inflation, du pouvoir d’achat depuis une dizaine d’années, et impliqué dans des travaux de prospective sur le sujet, Pierre Madec est notamment co-auteur de l’ouvrage Les crises du logement avec Jean-Claude Driant, paru en 2018. Dans cet épisode, il évoque avec nous les récentes évolutions du marché du logement, les outils de régulation mise en œuvre pour répondre aux différentes problématiques comme le Bail réel solidaire ou l’encadrement des loyers, mais aussi la place de l’anticipation et de la prospective dans la prise de décision.
Au-delà des impacts de la conjoncture, quel regard porter sur les effets des politiques du logement des dernières années ? Quelles solutions mettre en œuvre pour contenir la hausse des prix ? Comment produire du logement adapté aux nouveaux besoins des ménages ? Comment anticiper les enjeux de demain ?
Apprenez-en plus en écoutant le dernier épisode de Faire les murs.
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Dans ce nouvel épisode de Faire les murs, Emilie Belval-Lavillonnière accueille Christine Leconte, architecte-urbaniste, présidente du Conseil National de l’Ordre des architectes.
Alors que les enjeux climatiques et de biodiversité viennent interroger notre manière de faire la ville, Christine Leconte défend une vision de l’architecte résolument engagée, force de conseil auprès des parties-prenantes comme des pouvoirs publics dans la recherche de réponses innovantes aux défis du siècle.
« 80% du bâti de 20250 existe déjà ». 87% des architectes déclarent également avoir travaillé en 2020 sur des projets de rénovation, loin de l’image traditionnelle de l’architecte qui ne construit que du neuf.
Autour d’un plaidoyer paru en 2022 « Habitat, ville, territoires : l’architecture comme solution », la profession s’affirme lucide et volontariste pour définir un nouveau rapport à la construction et un urbanisme moins porté par l’individualisme. Quelles solutions l’architecture peut-elle porter ? Quelles évolutions voit-on chez les jeunes professionnel.le.s ? Comment cette parole est-elle défendue par le CNOA ?
Retrouvez cet échange en écoutant l’épisode 15 de notre podcast.
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Les copropriétés dégradées ont tristement fait l’actualité en décembre dernier lors d’un incendie à Vaulx-en-Velin : elles constituent aujourd’hui une question importante dans les politiques publiques de l’habitat et du renouvellement urbain. Après avoir évoqué avec Eva Simon lors d’un précédent épisode les recherches conduites par le PUCA autour des copropriétés et les enseignements à en tirer pour la fabrique d’une ville durable, Faire les murs s’intéresse aujourd’hui aux parcours résidentiels des habitants des copropriétés dégradées.
Maître de conférences en science politique à l’université Sorbonne Paris Nord, Rémi Habouzit s’intéresse aux trajectoires de relogement des habitantes et habitants des quartiers prioritaires. Après un doctorat à l’Université Paris-Saclay concluant un parcours singulier, démarré par une formation d’assistant social et poursuivie en sociologie de l’action publique, ce sociologue du logement poursuit des travaux autour des rapports sociaux à la propriété. A ce titre, il s’apprête à publier un ouvrage tiré de sa thèse sur les conséquences du relogement pour les habitantes et habitants des copropriétés dégradées de Clichy-sous-Bois.
Avec Géraldine Chalencon, directrice opérationnelle d’Espacité, il revient ainsi sur l’un des enjeux de l’action publique dans les copropriétés dégradées, celui du relogement des ménages qui ne peuvent pas rester dans leur logement, afin d’interroger celle-ci à la lumière des enjeux de fonctions sociales de la propriété qui contribuent aux trajectoires résidentielles de toutes et tous. Bonne écoute !
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