Salut !

Bienvenue dans ce nouvel épisode de mon podcast Filmothèque. J’y reçois des gens de mon entourage pour leur faire parler des films qu’ils et elles aiment et de leur relation avec le cinéma.

Pour ce quatrième épisode j’ai reçu Mathis ! On s’est connus il y a presque dix ans en bossant dans la restauration et on a rapidement commencé à parler cinéma. Cinéphile depuis sa plus tendre enfance, il a fini par comprendre qu’il avait envie d’écrire les films, au delà de les regarder.

Entre différents sujets, on a parlé de remakes de films et des suites héritages, d’adaptations. Pol, qui était l’invité du second épisode, s’occupait de la technique du podcast et s’est joint à la conversation quand on aborde ces sujets d’ailleurs. On a repris la conversation après avoir arrêté l’enregistrement et j’ai décidé de relancer l’enregistrement car on repartait sur le même sujet. J’espère que l’épisode vous plaira, n’hésitez pas à me faire des retours que ce soit ici ou sur instagram.

La musique d’intro et d’outro s’appelle Cold Seas et est issue de la banque de sons gratuite de Moby.

Salut !

Bienvenue dans ce nouvel épisode de mon podcast Filmothèque. J’y reçois des gens de mon entourage pour leur faire parler des films qu’ils et elles aiment et de leur relation avec le cinéma.

Pour ce troisième épisode j’ai reçu Joanna. Si aujourd’hui elle est entre autres animatrice radio, elle a fait un cursus scolaire autour du cinéma. Un intérêt pour le cinéma qu’elle a cultivé au fil de sa vie et qui l’accompagne encore aujourd’hui, malgré l’emploi du temps qu’impose la vie d’adulte.

Ensemble on a parlé entre autres de l’importance de la curiosité dans la cinéphilie ou encore de comment un film peut être une image de la société au moment de sa sortie. J’espère que l’épisode vous plaira, n’hésitez pas à me faire des retours que ce soit ici ou sur instagram.

La musique d’intro et d’outro s’appelle Cold Seas et est issue de la banque de sons gratuite de Moby.

Salut !

Bienvenue dans ce nouvel épisode de mon podcast Filmothèque. J’y reçois des gens de mon entourage pour leur faire parler des films qu’ils et elles aiment et de leur relation avec le cinéma.

Pour ce deuxième épisode j’ai reçu Pol. On s'est rencontrés en bossant ensemble à la radio pendant un an, une année pendant laquelle on a lié une amitié en plus de parler cinéma. Dès que je lui ai parlé de ce projet de podcast, il s'est proposé pour passer au micro de Filmothèque.

Ensemble on a parlé entre autres du premier film qu’il a vu au cinéma ou encore des classiques qu’il a découvert pendant le confinement. J’espère que l’épisode vous plaira, n’hésitez pas à me faire des retours que ce soit ici ou sur instagram.

La musique d’intro et d’outro s’appelle Cold Seas et est issue de la banque de sons gratuite de Moby.

PS : J’ai activé la transcription mais je suis pas sûr de mon affaire, j’ai tout laissé en automatique.

Salut !

Ca faisait des lustres que j’avais envie de faire un podcast sans réussir à être satisfait de mes idées. Il y a quelques jours, j’ai eu la révélation en pleine insomnie : j’ai envie d’inviter des gens pour leur faire parler des films qu’ils et elles aiment ou ont aimé au fil de leur vie et, de manière générale, de leur relation avec le cinéma.

Pour ce premier épisode j’ai reçu Léo, un ami à la tête d’une association de courts métrages avec qui on parle de cinéma à chaque occasion depuis des années. C’est grâce à lui que j’ai eu l’occasion de remettre les pieds sur un tournage et, quand on s’est vus autour d’un verre et d’une crêpe pour parler de prochains tournages, j’en ai profité pour lui proposer d’être le premier invité de Filmothèque.

Ensemble on a parlé entre autres de son premier contact avec le cinéma, des films qui l’ont marqué depuis ou encore du fait de voir beaucoup de films. J’espère que l’épisode vous plaira, n’hésitez pas à me faire des retours que ce soit ici ou sur instagram.

La musique d’intro et d’outro s’appelle Cold Seas et est issue de la banque de sons gratuite de Moby.

PS : J’ai activé la transcription mais je suis pas sûr de mon affaire, j’ai tout laissé en automatique.