Bonjour et bienvenue pour ce podcast audio de Fréquence Médicale. Aujourd'hui, nous abordons le sujet du lupus érythémateux disséminé, une maladie chronique pour laquelle les traitements ont fait beaucoup de progrès.
Cependant, certains symptômes, tel que la fatigue, restent difficiles à traiter et l’activité physique adaptée pourrait être l'un des moyens de les prendre en charge.
 
Nous sommes avec Mme Gladys Mbemba, atteinte d’un lupus depuis de nombreuses années, qui est également patiente-experte diplômée de l’Université des Patients – Sorbonne Université.

Elle a créé un compte instagram « @chroniquement_votre » pour sensibiliser et échanger entre malades sur l'impact que peut avoir la maladie chronique sur le quotidien, mais également sur le « pouvoir d’agir ».

• Bonjour Gladys Mbemba, 
  Vous avez une maladie lupique traitée depuis plusieurs années. Quand et pourquoi est-ce que l’on vous a prescrit une activité physique adaptée ?
• Est-ce que c’est votre médecin qui vous l’a proposé ? Sinon comment l’avez-vous découverte ?
• Une fois que cette activité physique adaptée vous a été prescrite, comment est-ce que cela s’est mis en place, en pratique ?
• Et pendant combien de temps avez-vous pu faire une activité physique adaptée ?
• En cas de prescription, est-ce que l’activité physique adaptée peut être remboursée ?
• Qu’est-ce que l’activité physique adaptée a changé dans votre vie ? Quels ont été les bénéfices ?
• Est-ce que cela a changé quelque chose pour votre maladie lupique ?
• Vous nous avez parlé de l’impact sur votre fatigue, un problème fréquent au cours des maladies auto-immunes. Est-ce que l’activité physique adaptée a eu également un impact sur la fatigue que vous ressentiez ?
• Dans le cadre de votre activité physique adaptée, est-ce qu’il arrive que vous ne puissiez pas faire une activité et comment cela est-il pris en compte ?
• L’activité physique adaptée est un concept ancien mais c’est une mise en pratique récente et beaucoup de médecins ne la connaissent pas. Comment est-ce que vous leur expliqueriez ce qu’ils peuvent en attendre ?
• Quelle est votre conclusion ?

Bonjour et bienvenue pour ce podcast audio, Fréquence Médicale, sur la néphropathie lupique. C'est une des atteintes d’organes les plus craintes au cours de l’évolution d’un lupus érythémateux disséminé, à tel point que son dépistage est systématique. Le PNDS lupus 2024 a redéfini les éléments critiques de sa prise en charge.

Nous sommes avec le Pr Noémie Jourde-Chiche, néphrologue et chercheuse à l’Hôpital de la Conception, à Marseille et spécialiste du lupus. Nous allons voir les évolutions du PNDS sur la prise en charge de la néphropathie lupique.

• Un nouveau PNDS lupus a été publié début 2024, est-ce que cela a modifié le bilan de la néphropathie lupique et sa classification ?
• Récemment, on a promu le Treat-to-target dans le lupus systémique, est-ce que cela s’applique aussi à la néphropathie et quels sont les objectifs ?
• Cette stratégie Treat-to-target dans la néphropathie modifie-t-elle l’escalade thérapeutique, c’est-à-dire que c’est la pris en charge de l’atteinte rénale qui guide le traitement ?
• Tout ceci suppose une surveillance stricte ce qui pose la question de rebiopsier les malades et si oui, quand la biopsie est-elle légitime ?
• Avez-vous une conclusion ou un message ?

Bonjour et bienvenue pour ce podcast audio, Fréquence Médicale, sur le lupus érythémateux disséminé est une maladie chronique hétérogène, le principal risque est la survenue d’une atteinte de différents organes en cas de mauvais contrôle. À ce titre la question se pose de savoir si on peut réellement parler de « petit lupus ».

Nous sommes avec le Pr Zahir Amoura, interniste, chef de service de médecine interne à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris, un service qui est également centre national de référence sur le lupus, et nous allons voir les évolutions de la stratégie thérapeutique dans cette maladie.

• Est-ce qu’il y a des nouveautés dans le PNDS 2024 concernant la classification du lupus ?
• Le lupus est une maladie très hétérogène et certains parlent de « petit » lupus. Est-ce qu’il y a des critères qui permettent de définir un bon pronostic pour lupus cutanéo-articulaires ?
• Si on prend l’exemple d’un lupus avec des manifestations articulaires et quelques lésions cutanées, comment va s’organiser la surveillance du lupus et selon quelle périodicité ?
• Comment peut-on éviter le passage d’un lupus cutanéo-articulaire vers une forme avec atteinte d’organe potentiellement grave ?
• Quelle est votre conclusion sur le concept de « petit lupus » ?

Bonjour et bienvenue pour ce podcast audio, Fréquence Médicale, sur les atteintes cutanées dans le lupus : interprétation et stratégie thérapeutique (PNDS 2024). La peau est un des organes le plus souvent touché et le risque d’évolution vers une autre atteinte d’organe n’est pas univoque

Nous sommes avec le Dr François Chasset, dermatologue et immunologiste clinique, à l’hôpital Tenon, à Paris et membre du Groupe d’Étude des Maladies Systémiques en Dermatologie (EMSED), et nous allons voir comment interpréter les lésions cutanées lors de la prise en charge du lupus.

• Quelle sont les différentes formes de lupus cutané susceptibles d’être rencontrées en pratique clinique ?

• Comment faire la différence entre lupus cutané et lupus systémique avec atteinte cutanée et quelles sont les formes de lupus cutané à surveiller car susceptible d’évoluer vers un lupus systémique ?

• Quelles sont les stratégies thérapeutiques entre les 3 formes de lupus cutané et quels sont les objectifs ?

• Avez-vous une conclusion ou un message ?

Rendez-vous incontournable de l’oncologie du sein, le SABCS (San Antonio Breast Cancer Society) clôt une année d’avancées remarquables dans la lutte contre cette maladie en plein changement

Parmi les avancées du SABCS, il y a l’étude NATALEE sur l’intérêt du ribociclib, un anti-CDK 4/6 dans le traitement adjuvant du cancer du sein RH+ à risque intermédiaire. Les premiers résultats avaient été présentés à l’ASCO 2023. Les données présentées au SABCS 2023 sont ceux obtenues après un suivi plus long qui permet de mieux appréhender l’efficacité de cette molécule.

Nous avons interviewé le Dr Fanny Le Du, oncologue au CHU de Rennes pour avoir son analyse de cette étude majeure.

Rendez-vous incontournable de l’oncologie du sein, le SABCS (San Antonio Breast Cancer Society) clôt une année d’avancées remarquables dans la lutte contre cette maladie en plein changement

Parmi les avancées du SABCS, il y a l’étude INAVO sur l’intérêt nouvel inhibiteur PI3 kinase dans les cancers du sein métastatiques RH+ en 2ème ligne. Une voie de recherche robuste pour des cancers qui posent problème.

Nous avons interviewé le Pr Gilles Freyer, oncologue au CHU de Lyon pour avoir son analyse de cette étude majeure

Le lupus érythémateux disséminé est une maladie chronique qui nécessite un traitement au long cours, dont l’observance est l’élément majeur du pronostic, mais il est souvent compliqué, et parfois inquiétant à suivre.

Nous sommes avec Mme Johanna Clouscard, présidente de l’association Lupus-France et le Dr Laurent Chiche, médecin interniste, à l’hôpital Européen de Marseille, et spécialiste du lupus.

• Le bon suivi du traitement est indispensable au contrôle de la maladie lupique. Quels sont les problèmes que les malades peuvent rencontrer pour un suivi régulier de ce traitement ?

• Un des médicaments pivot du lupus est l’hydroxychloroquine, mais certains malades ont du mal à le suivre par crainte des effets secondaires. Comment gérer ce problème ? ?

• Le traitement du lupus est, prolongé. Est-ce que les malades sont suffisamment informés sur les enjeux et les modalités de leur traitement ?

• Comment améliorer la communication médecin-patient ?

• Comment maintenir le lien médecin-malade entre 2 consultations ?