Dans le lupus érythémateux disséminé, le traitement a fait beaucoup de progrès au cours de ces 30 dernières années, pourtant l’hydroxychloroquine reste un traitement pivot
Nous sommes avec le Pr Zahir Amoura, interniste, chef de service à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris, un service qui est également centre national de référence sur le lupus, et nous allons voir les évolutions de la stratégie thérapeutique dans cette maladie.
- Quelle est l’importance de l’hydroxychloroquine dans le traitement de la maladie lupique ? Est-ce réservé aux formes modérées ?
- L’hydroxychloroquine est un traitement utilisé depuis de nombreuses années et qui a pourtant encore mauvaise réputation auprès de certains malades. Quelles sont ses vraies complications ?
- Et les autres complications, comme les colorations cutanées ?
- Donc un traitement très prolongé par l’hydroxychloroquine. Comment peut-on minimiser ses toxicités ? Et peut-on reprendre ce traitement après son arrêt ?
- Et par quoi peut-on remplacer l’hydroxychloroquine lorsqu’elle doit être arrêtée ?
- Beaucoup de spécialités confrontées aux maladies auto-immunes, reviennent actuellement sur l’utilisation des corticoïdes. En est-il de même dans le lupus, maintenant que l’on dispose de traitements plus efficaces ?
- Avez-vous une conclusion ou un message ?
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