Rive gauche, rive droite, de Saint Michel à Stalingrad, du marché des Capus au restaurant Al Morjane… Dans la rediffusion de ce quatrième épisode, Nathalie revisite le Bordeaux de Goucem en racontant son sens des affaires, ses talents culinaires et son incroyable appétit de vivre. 

Il y a une géographie du deuil et « À la vie, à la mort » s’est souvent délocalisé sur les lieux où vivaient les défunts. Car pour que le podcast soit vivant lui aussi, on a besoin de relief, de matière, de sons qui rappellent une vie. Ce quatrième épisode de l’histoire de Nathalie et Goucem était aussi le premier enregistré en extérieur (avec pas mal de vent dans le micro, désolé !).

Et c’est aussi l’épisode qui m’a donné l’idée de cartographier tous les enregistrements. Allez faire un tour sur les comptes instagram ou Linkedin de « À la vie, à la mort » et vous comprendrez !

💬 Je suis @ericlebraz et je réalise @alaviealamort.podcast, une série soutenue par la coopérative funéraire @sypres.cf. Le podcast qui réveille les morts raconte des vies exceptionnelles de personnes disparues à travers le témoignage de leurs proches.

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