“La cane de Jeanne”, “Une jolie fleur”, “Les sabots d’Hélène” ou “Le chapeau de Mireille”… La moitié du répertoire de Georges Brassens (1921-1981) est dédié aux femmes qui ont jalonné sa vie. À commencer par Jeanne Planche, cette couturière de 30 ans son aînée, avec qui Brassens vit une longue liaison, impasse des Florimont, dans le 14ème arrondissement de Paris. Vient ensuite la chanteuse Patachou, qui lance Brassens sur les planches de son cabaret en 1952, puis Joha Heiman, la muse estonienne du poète, qu’il surnomme “püpchen” - “petite poupée”, en allemand - et qui repose désormais à ses côtés. À l’occasion du centenaire de la naissance de Georges Brassens, retour sur les femmes qui ont marqué son existence.