Voici la suite de mon projet de drone avec une Raspberry Pi. La dernière fois, j’en étais resté à un prototype qui décolle, mais se retourne immédiatement et s’écrase. La conclusion ? Il manquait un système de régulation pour maintenir la structure à plat.

Aujourd’hui, je tente de mettre en place cette régulation. J’ai modifié mon programme en python dans la Raspberry Pi, en ajoutant un correcteur PID (proportionnel, intégrateur, dérivateur). Mais le réglage de celui-ci va me donner du fil à retordre ! Spoiler : il va y avoir de la casse…

-> Quelques explications sur le régulateur PID sur Wikipédia

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Je fête mes 10 ans de vidéo ! Et pour marquer le coup, j’ai voulu me lancer dans un projet audacieux : un drone, fait maison, à base de Raspberry Pi ! Cette réalisation étant complexe, elle fera l’objet de plusieurs vidéos, celle-ci étant le premier épisode. Je vais surtout vous parler du contrôle des moteurs, et vous montrer la fabrication. Au final, l’engin va-t-il décoller ? Pour le savoir, il n’y a plus qu’à regarder…

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Un lien vers un projet similaire, dont je me suis partiellement inspiré : https://www.instructables.com/The-Drone-Pi/

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On entend beaucoup de bêtises sur l'impact environnemental du numérique. Et un des derniers exemples en date vient même du gouvernement : il faudrait « débrancher son wifi » quand on n'est pas là, pour faire des économies d'énergie. Vraiment ? Comme ce genre de phrase prononcée sans la moindre réflexion a le don de m'énerver, j'en ai fait une vidéo ! Spoiler : l'impact est ridiculement faible…

Note sur la puissance d'émission du wifi : j'ai trouvé dans un article de presse le chiffre de 100mW maximum, sans plus de précision. J'ai supposé qu'il s'agissait de la PIRE, la puissance isotrope rayonnée équivalente (voir Wikipédia) et j'ai imaginé que l'antenne d'émission était parfaite, avec un gain de 0dB, ce qui dans la vraie vie a peu de chances d'arriver. Mais vu la faiblesse des puissances mises en jeu, le résultat sera de toutes façons peu élevé.

Cadeau : comment éviter d'abîmer la batterie de son téléphone

Sources utilisées dans cette vidéo :

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Suite de mon projet d'interrupteur sans fil : on aborde aujourd'hui la partie électronique et la fabrication. Évidemment, rien ne va se passer comme prévu ! Dans cette vidéo, je vous montre comment réaliser une alimentation sans transformateur, pour alimenter en basse tension les Arduinos. Aussi, nous verrons comment faire pour contrôler l'allumage d'une lampe avec un triac, en toute sécurité.

Hélas, malgré tous mes efforts, le montage ne rentre pas dans le mur. Donc j'ai dû revoir mes plans, et fabriquer une paire de boîtiers à usage général, qui peuvent communiquer jusqu'à 15 mètres sans obstacle !

Note à propos du rendement de l'alimentation (17:27) : mesurer la puissance en courant alternatif peut être un peu compliqué, si le courant et la tension ne sont pas en phase. Ce qui est le cas avec le type d'alimentation que j'utilise. Si on multiplie simplement la tension par le courant, sans tenir compte de ce fait, c'est la puissance dite apparente qu'on mesure. Elle est la somme de la puissance réellement consommée par l'appareil avec celle dite réactive, qui est réfléchie vers le réseau électrique (plus de détails ici). Mais la puissance réactive constitue une perte en soi, car elle doit être dissipée dans les câbles, à moins qu'un autre équipement plus "inductif" ne vienne la compenser. Donc, je me place dans le pire cas possible, où cette puissance est effectivement perdue.

-> Lien vers le code source

Vidéos mentionnées :

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« Je n'ai rien à cacher, moi. » C'est une phrase que j'ai souvent entendu, et qui pourtant m'énerve toujours autant ! Nous avons tous des choses à cacher, c'est une évidence. Alors, plutôt que de me lancer dans une longue liste de ce qu'on voudrait garder pour soi − et qui est très personnelle finalement − j'ai préféré vous montrer quelques exemples, pour faire tomber des idées reçues : la cryptographie empêche-t-elle vraiment la police de faire son travail ? Un VPN vous rend-il anonyme sur internet ?

Remarque : J'ai voulu cette vidéo plutôt orientée grand public. Ainsi, j'ai choisi volontairement de ne pas parler de TOR, car son utilisation rend la navigation sur internet plus compliquée, du fait que bon nombre de sites le bloquent.

Les sources que j'ai utilisées ou que je mentionne dans la vidéo :

Je débute un nouveau projet : la fabrication d'un système d'interrupteur sans fil. Dans ce premier épisode, nous allons étudier le fonctionnement d'un système de codes changeants, similaire à celui évoqué dans la vidéo précédente sur les clés de voiture.

À l'aide de GNUradio, une clé RTL-SDR et un YARD Stick One, je vous fais la démonstration de l'allumage d'une lampe commandé par ondes radio, en 433MHz, avec ces fameux codes à usage unique. Un préalable à l'épisode suivant, où nous verrons la partie électronique de la réalisation.

-> Le dépôt avec les codes sources des blocs utilisés

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Après vous avoir montré qu'il est possible d'ouvrir une voiture avec une simple clé radio et un ordinateur, voici les explications détaillées. Nous allons analyser le signal de la clé d'un véhicule à l'aide d'un RTL-SDR, et tenter de le reproduire avec un YARD Stick One, un autre dongle qui permet d'émettre. Nous jetterons aussi un coup d'œil à l'électronique, et verrons quelle parade sécuritaire a é;té mise en place par les constructeurs automobiles pour rendre le piratage plus compliqué.

Note : d'après la documentation du circuit électronique de la clé, le codage radio utilisé est de type Manchester. Or, avec le YARD Stick One, j'ai choisi de considérer qu'on a affaire à du NRZ, beaucoup plus simple. J'avais en effet pas mal d'erreurs de réception sinon. Cela ne change rien pour la réémission, car je n'attache pas d'importance au contenu des codes. On peut donc considérer qu'on a affaire à du NRZ à un débit binaire double de celui du Manchester.

Note 2 : Parfois, le YARD manquait le premier bit du message, décalant tout d'un bit. Le préambule devenait alors 5555..., comme on peut le voir lors du premier essai, et la suite était changée.

-> Lien vers GQRX

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La suite ici : https://peertube.tiennot.net/w/4BbXJhYMV8i1LLmst5K55X

Comment pirater une clé de voiture ? Aujourd'hui, je vous fais la démonstration du déverrouillage d'un véhicule à l'aide d'une simple clé radio. En effet, les clés de voiture émettent en 433 MHz, une bande de fréquence accessible sans licence particulière.

La technique est simple : il suffit de récupérer le signal de la clé, et de le réémettre à l'identique. Enfin, en théorie, car il y a quelques subtilités. Comme ça ferait trop long pour une vidéo d'une minute, je vous les explique dans un épisode plus classique à venir.

-> La clé radio que j'ai utilisée

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Après avoir découvert les technologies RFID et NFC, et après avoir appris comment communiquer avec la carte bancaire, aujourd'hui on joue aux pirates ! Même s'il n'est pas possible de cloner une carte en sans contact, je vous montre une attaque techniquement possible, quoiqu'un peu compliquée à mettre en œuvre. Elle se nomme attaque par relais, et ressemble à une autre bien connue des informaticiens, appelée man-in-the-middle.

Avec mon antenne faite maison, j'ai aussi tenté d'écouter à distance une transaction bancaire, malheureusement sans succès. Mais à l'aide d'un dongle RTL-SDR, je vais tout de même vous montrer quelques choses intéressantes sur le NFC.

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-> La page pour la fabrication de l'antenne.

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Crédit du pirate de la miniature : iconicbestiary / Freepik

Il y a peu, j'ai tenté de fabriquer une télécommande infrarouge avec une LED, une Arduino Nano et quelques autres composants. Seulement, mon prototype ne fonctionnait pas correctement : je devais m'approcher à quelques centimètres de l'écran pour que ça marche. Grâce à un commentaire publié par un internaute, j'ai pu comprendre où je m'étais trompé, et corriger mon bricolage. Je vous explique tout ça dans cette vidéo bonus !

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