Dans cet épisode, je vous emmène rencontrer Albertine, on s’est connu lorsque j’étais en colocation avec sa mère quand j’habitais en collectif dans les combrailles (ref à la prologue) et que j’ai tenté longtemps d’interviewé. Nos emplois du temps ont fini par matché en Avril dernier lorsque nous étions toutes les deux dans le sud. Sur fond de vagues et de rires d’enfants, nous faisons des aller retour sur son parcours entre les  campagnes et les villes. On décortique le flow de sa vie et les regards qu’elle porte sur ces différentes expériences. Cet épisode est le dernier de la saison 1, il nous invite à voyager, à danser, à se questionner sur nos rapports à nos territoires d’enfances, d’aujourd’hui et de demain… Bonne écoute !

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Dans cet épisode, j’ai (enfin) le plaisir de rencontrer des habitant.e.s du Jardin des Passages. Un lieu dont j’ai entendu parler depuis bien longtemps, situé près d’Aurillac dans le Cantal. Iels sont tellement connu.e.s que leur planning se remplit toujours très vite et pour cause, leur projet donne envie… C’est un “lieu de répit pour des personnes ayant besoin de se ressourcer, de déconnecter de la vie quotidienne dans un milieu qui se veut le plus safe et inclusif possible”. Et pour y avoir séjourné un week-end, notamment pour les rencontrer, je peux vous dire que ce qui fait sa douceur, c’est bien grâce à elleux. Pour ce temps de confidence vous découvrirez en première partie Loe et Chouk, en deuxième partie Maden et Poppy.

Si vous avez envie de les rencontrer, d’y passer, voici leurs contacts :

• Leur insta - Jardin des passages

• Leur mail - [email protected]

Vous pouvez aussi adhérer à l’association via le lien présent sur leur page instagram.

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Dans cet épisode, j’ai (enfin) le plaisir de rencontrer des habitant.e.s du Jardin des Passages. Un lieu dont j’ai entendu parler depuis bien longtemps, situé près d’Aurillac dans le Cantal. Iels sont tellement connu.e.s que leur planning se remplit toujours très vite et pour cause, leur projet donne envie… C’est un “lieu de répit pour des personnes ayant besoin de se ressourcer, de déconnecter de la vie quotidienne dans un milieu qui se veut le plus safe et inclusif possible”. Et pour y avoir séjourné un week-end, notamment pour les rencontrer, je peux vous dire que ce qui fait sa douceur, c’est bien grâce à elleux. Pour ce temps de confidence vous découvrirez en première partie Loe et Chouk, en deuxième partie Maden et Poppy.

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Dans cet épisode, nous allons à la rencontre de nos adlephes queer des Monts du Lyonnais à Saint-Martin-en-haut. C’est donc non loin du Rhône que plusieurs collectifs dont le MRJC, ont organisé il y a un an, leur première marche des fiertés. Au cœur de toute cette émulsion, deux groupes qui se sont formés spontanément on bien voulu prendre le temps d’échanger... sur leurs vies actuelles et passés en territoires ruraux, leurs allers retours avec la ville, l’évolution des parcours queer au fil du temps, leurs militantismes à travers épreuves et les victoires vécues ensemble ou séparément. 

Cet épisode est en deux parties : 

• Pour ce premier échange, nous retrouvons Benjamin, Véronique et Clément;

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Dans cet épisode, nous allons à la rencontre de nos adlephes queer des Monts du Lyonnais à Saint-Martin-en-haut. C’est donc non loin du Rhône que plusieurs collectifs dont le MRJC, ont organisé il y a un an, leur première marche des fiertés. Au cœur de toute cette émulsion, deux groupes qui se sont formés spontanément on bien voulu prendre le temps d’échanger... sur leurs vies actuelles et passés en territoires ruraux, leurs allers retours avec la ville, l’évolution des parcours queer au fil du temps, leurs militantismes à travers épreuves et les victoires vécues ensemble ou séparément. 

Cet épisode est en deux parties, pour ce deuxième échange, nous retrouvons Maud, Liam et Leon

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Dans cet épisode, j’ai eu le plaisir de poser mes valises pendant une semaine en terre creusoise. Cela faisait plusieurs mois que j’attendais cette rencontre avec Oz, maon contact principale ici et ses colocateurices: Elena, Sam et Pierre.

Comme une pause hors du temps, je me suis laissé.e porté par les activités et propositions de mes hôtes tout au long de la semaine : cours de langue des signes, escalade, café queer, conférence gesticulé sur la sexualité, balade, discussion au coin du feu.

Et puis ce qui m’a fait venir ici c’est le projet de Oz et Sam - celui de créer un espace pour accueillir et faire du soin mais aussi de vivre en collectif hors du temps et de contraintes capitalistes.

Alors, pour cet épisode, je leur donne la parole en binôme et je vous laisse les découvrir à travers cet échange.

*echinops (en grec : « qui ressemble à un hérisson ») : c’est une plante piquante, similaire au chardon, qui pousse en Creuse et à d’autres endroits dans le sud de la France, qui fait une fleur violette.

Cet été 2023 nous avons fait un tour des mairies du secteur, certaines sont partantes pour accueillir le projet ! Dans l’idéal on aimerait bien être 4 à 6 personnes, en mixité choisie queer*, pour chercher le terrain et créer ce projet, et être encore plus à s’installer ! Selon l’espace et les envies, différentes mixités seront possibles. Alors on a fait un flyer (dispo par mail) , à diffuser à foison dans la commu, et un document de présentation plus détaillé pour cels que ça intéresse (la curiosité est bienvenue !).

*par queer on entend en dehors des normes de genre et/ou de sexualités, donc sans personne cis hétéro.

Si vous voulez leur écrire pour plus de renseignements ou leur envoyer de la force, voici leur mail : [email protected]!

On vous partage une partie de leur flyer de présentation dans les prochaines slides de présentation de l’épisode...

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Dans cet épisode, on est en Auvergne, dans le village de Cunlhat, et plus précisément au Repère des Terres. C’est la première fois que je me mets en lien avec un collectif entier pour faire un épisode. [...] Parmis elleux, 4 ont bien voulu témoigner afin de nous partager leur parcours et leur projet.

Le focus ici c’est la dynamique et les personnes investies dans le collectif du Repère des Terres de part la temporalité du projet. En effet, l’enregistrement date d’il y a un an et iels étaient au début de la rénovation du lieu où iels aspirent à faire vivre leur projet associatif. La cohésion de leur collectif est palpable, car au-delà d’avoir construit ce projet sans homme cisgenre, iels travaillent surtout le terrau de leur existence commune…

Pour cette écoute, on vous invite à prendre une chaise pour nous rejoindre en extérieur, sur fond de chantier et de débroussaillage !

“A l'origine du Repère des Terres il y a un collectif de jeunes gentes ayant envie de s'installer à Cunlhat dans le Livradois pour faire de l'agriculture, des animations pédagogiques, de l'artisanat et des ateliers artistiques.

Dans un premier temps nous souhaitons acheter une maison commune à Vironne. Cette maison sera ouverte sur le hameau avec un atelier de conserverie, une salle de résidence artistique, une salle de réunion, une cuisine collective et un atelier de mécanique. Elle comprendra aussi une partie habitation, avec des chambres et un dortoir destinés à loger les personnes qui participeront aux activités de l'association.”

Pour suivre les aventures du repères des terres, participer à un chantier, inscrivez vous à leur mailing list :

[email protected] et pour les soutenir, voici leur page Hello Asso:

https://www.helloasso.com/associations/le-repere-des-terres

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Bony c’est une amie et le lieu où je l’ai rencontré c’est Polymorphe Corp. - une association installée dans une ferme de moutons à coté de Cérill, au nord de l’Allier. Son travail, ses passions et son mode de vie m’ont souvent inspiré et j’avais envie de lui donner la parole pour ce deuxième épisode.

On parle de visibilité de nos relations queer en campagne - parce que l’intime est politique. On y parle aussi de nos autres identités, de l’ambiguïté d’être néorural, de comment  on choisi ses luttes et enfin de comment son projet a pu évoluer avec elle, puis à coté d’elle.

Cet entretien a été ré-enregistré parce que Bony n’était plus en accord avec ce qu’elle avait pu me confier il y a un an. Alors pour cet épisode on fait une entorse en créant une faille spatio-temporelle.

TW : homophobie ; critiques de l’hétéronormativité

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Pour ce tout premier épisode j’ai pu interviewé Gabriel, un.e des organisateurices du chantier participatif auquel j’ai participé et qui s’est déroulé il y a maintenant un an, au coeur des montagnes Ardéchoises. C’était la première fois que j’ai pu vivre en mixité choisie dans un lieu alternatif aussi longtemps et ça m’a fait beaucoup de bien à l’époque.

Je vous laisse avec nos échanges sur son parcours de Paris jusqu’ici, en Ardèche. On va parler du lien avec l’extérieur, comment iel se perçoit et est perçu.e,  comment les dynamiques locales lui ont permis.e de rencontrer d’autres adlephes, allié.e.s et habitant.e.s du coin. Gaby a pu monté une scène ouverte pour toustes et nous discutons mixité choisie avant  de parler de “Mixité tendresse”...

TW : transphobie.

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Ce prologue, c'est un peu une confession, je me mets un peu à oilp et je vous montre mes parts de vulnérabilité.

Dans cet épisode je fais un focus sur mon parcours non-binaire qui a pris beaucoup de place durant ce projet de podcast, je n'habite plus à la campagne depuis 1 an alors il était difficile pour moi de vous parler de ce que je ne vivais plus. Pour autant, ce projet vient alimenter mon envie toujours grandissante de retrouver un collectif à la campagne pour m'y épanouir à nouveau.

Cette épisode existe afin d'être visible dans mon vécu, pour que l'on puisse comprendre pourquoi ce projet a eu sa raison d'exister dans ma vie. C'est aussi me situer en tant que personne privilégiée et survivant.e - donc complexe.

Même si mon début de vie n'a pas été évident, j'ai  et je bénéficie de nombreux atouts, facilités, privilèges et il est important de le rappeler.

Mon vécu est politique, comme tous les autres épisodes de ce podcast. Pour autant ils ne sont le reflet que de celleux qui les racontent. Horizons Queer n'a pas pour but de généraliser mais bien de montrer des personnes singulières, vivant au coeur de dynamiques et problématiques structurelles.

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