Anita Roddick est une femme de caractère et il en faut pour créer The Body Shop dans les années 70. Son banquier lui refuse le prêt pour lancer son 1er magasin de cosmétique naturel. Il faudra qu'elle y aille avec son mari. 

Pourtant Anita est déjà une entrepreneur avec de l'expérience puisqu'elle a monté un hôtel, un bed&breakfast et un restaurant avant avec son mari, Gordon Roddick. Elle veut de la liberté pour pouvoir s'occuper de ses 2 filles. Puis, le décollage de The Body Shop surprend tout le monde.

Quand Gordon Roddick revient après un voyage à cheval de plusieurs mois, Anita a déjà ouvert 2 magasins à Brighton.

C'est le décollage d'une marque iconique des années 80 qui est marquée par l'activisme social d'Anita.

Retrouvez toutes les notes de l'épisode:

==> https://inspire-media.fr/anita-roddick-the-body-shop-femme-et-entrepreneure-ep-1%ef%bf%bc/

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 Pour Frédéric Mazzella, les années de la création de Blablacar sont compliquées. Il ne se paie pas pendant 5 ans jusqu’à lever des fonds. Puis les grèves et le décollage de la plateforme sur tous les supports font de Blablacar un acteur indispensable de la nouvelle économie. Frédéric devient alors un entrepreneur reconnu. Membre de France Digitale, il est dans tous les clubs d’entrepreneurs. Il veut rendre à la société ce qu’on lui a donné. MentorShow, “Qui veut être mon associé ?” sur M6, Frédéric Mazzella est partout. Il devient une célébrité. Il prend alors du recul sur Blablacar, c’est Nicolas Brusson qui pilote la nouvelle entité. Quant à lui, il continue son combat autour de la protection de l’environnement. D’ailleurs il a bien appelé son chat Carbone.

==> https://inspire-media.fr/frederic-mazzella-blablacar-une-reussite-pour-un-entrepreneur-devenu-une-celebrite-ep-2/

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Frédéric Mazzella imagine Blablacar un jour de Noël 2003 alors qu’il revient en voiture avec sa soeur, Lucie. Frédéric a un parcours brillant de la méritocratie française. Lycée, Prépa, école normale puis Stanford… à la même époque que les fondateurs de Google. Frédéric découvre alors les startups et le pragmatisme américain. Lui aussi veut participer à cette révolution de la tech. Après avoir enchaîné les idées et les projets à son retour en France, c’est finalement un trajet en voiture qui lui donne SON idée. Il crée donc Comuto qu’il va confronter pendant ses années à l’INSEAD, l’école de commerce internationale. Seul dans son appartement, il écrit les premières lignes de code mais finalement il trouve 2 autres acolytes, Nicolas Brusson et Francis Nappez lors de dîners à la maison. Comuto lève alors de l’argent mais les fins de mois sont dures et cet argent n’est pas suffisant. Comuto est au bord de la faillite.

==> https://inspire-media.fr/frederic-mazzella-la-creation-de-blablacar/

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Pour Ivan Zhao, la situation est difficile. La société qu’il a créé en 2013, Notion, est au bord de la faillite. Après plus de 2 ans de boulot et quasiment 2 millions de dollars dépensés, ils n’ont toujours pas de produit fonctionnel. Il prend donc une décision radicale: aller au Japon.

Le Japon car ni lui ni Simon Last ne parlent un mot de japonais. Ils n’ont qu’une seule option: bosser nuit et jour. Et c’est ce qu’ils font entre 2 bols de ramen. À court d’argent, c’est sa mère qui lui prête l’argent pour terminer son produit.

Et en mars 2016, ils lancent la 1ère version de Notion avec succès. Puis grâce aux milliers de retours, ils lancent une 2e version en 2018. Succès incroyable avec des centaines de milliers d’utilisateurs en peu de temps. Ils sont même numéro un sur Product Hunt.

Le succès de Notion est tel que les investisseurs et les capitaux risqueurs se battent pour le financer. Il faudra attendre 2020 pour lever des fonds et valoriser la startup comme une licorne.

Une autre histoire s’écrit alors. 

https://nira.com/notion-history/

https://www.nytimes.com/2020/04/01/technology/notion-startup-fund-raising.html

https://medium.com/@rurangiza/founders-journey-ivan-zhao-8304c0d0af74

https://www.producthunt.com/stories/the-makings-of-a-notion-product-and-launching-it-on-product-hunt

https://www.figma.com/fr/blog/design-on-a-deadline-how-notion-pulled-itself-back-from-the-brink-of-failure/

https://read.first1000.co/p/notion?s=r

https://www.wsj.com/articles/the-only-app-you-need-for-work-life-productivity-1521640800

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Ivan Zhao est le fondateur de Notion, une plateforme de collaboration qui est devenue la plateforme préférée de toutes les startups du monde. Et pourtant Notion n’aurait jamais dû exister.

Cette histoire commence au Canada en 2011 où Ivan est étudiant. Mais avant d’être étudiant, il est passionné par le code… puis à l’université, il hésite entre l'art (la photographie) et les sciences de l’informatique. Finalement, il fera les 2. À sa sortie d’université, il travaille pour une maison d’édition numérique puis aide ses amis artistes à créer des sites internet.

Mais il se dit alors qu’il voudrait créer un outil pour aider les non programmeurs à créer facilement des sites web.

En 2013, après une 1ère rencontre, il s’associe avec Toby Schachman et lance Notion puis ils sont rejoints par Simon Last.

En 2014, ils intègrent une autre entreprise qui travaille sur le même concept, Sugarbox.

Mais les résultats ne sont pas au RDV. 

Le produit plante en permanence et ils n’arrivent à rien. Il finissent par être à cours d’argent et Ivan prend une décision radicale: il se sépare des fondateurs de Sugarbox et décide de partir au Japon. Il veut être sûr qu’ils ne feront que coder.

Notes

==> https://inspire-media.fr/ivan-zhao-notion/

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Jul est devenu en quelques années le plus grand vendeur de rap en France. Dans ce 2e épisode sur la vie de Jul, l’entrepreneur, on découvre que Jul est un minot simple de Marseille qui fuit le bling-bling et un gros bosseur. Mais c’est aussi un fédérateur qui regroupe toutes les générations du rap marseillais dans le collectif 13: IAM, Funky family, Sat l’artificier, Kofs ou Sisa, SCH,  Naps, Soso Maness, Elams, Houari et Solda. Jul aime la musique. Même s'il ne gagnait plus d’argent, il continuerait malgré tout. Mais Jul est incompris et moqué pour son flow, ses fautes d’orthographe. Alors le timide fuit les interviews. Il n’écoute que ses fans et la Team Jul qui l’accompagne partout. Pourtant, année après année, disque après disque, le succès ne se dément pas. Jul change la musique malgré ses détracteurs.

Notes

Pour retrouver toutes les notes de l'épisode:

=> https://inspire-media.fr/jul-un-rappeur-hai-ou-aime-mais-un-succes-monstre-ep-2/

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Jul est devenu en quelques années le plus grand vendeur de rap en France. Et très tôt il a aussi montré de vraies qualités d’entrepreneur. Né dans le quartier de Saint Jean du Désert, Julien Mari n’aime pas l’école. Il finit par tout arrêter à 17 ans et aide son père, pisciniste. Mais ce que Jul préfère, c’est mixer dans sa chambre d’ado. Après son passage chez son père, il se lance à corps perdu dans le rap. Il mélange auto-tune et sons familiers avec des paroles simplistes… Juliano, comme il se fait appeler, se fait repérer par un label, Liga One Industry. Il lance alors “Dans ma paranoïa” son vrai 1er album et le single “Cross Volé” fait un carton sur YouTube. Mais en 2014, son manager, Karim Tir est assassiné. Puis il se sépare de son label, Liga One Industry. Il se lance seul avec son propre label, D’or et de platine. Il enchaine les productions musicales et les tubes avec une régularité impressionnante. Il obtient même la consécration en 2016 avec sa 1ère tournée et son 1er Zénith de Paris. Mais son style heurte et il est très critiqué pour sa musique et ses fautes d’orthographe. Des années difficiles pour Jul.

Retrouvez toutes les notes:

==> https://inspire-media.fr/jul-le-rappeur-la-naissance-dun-entrepreneur-ep-1/

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Jack Ma amène Alibaba au firmament. Dans cette 2e partie sur l’histoire de Jack Ma, Jack subit de plein fouet l’éclatement de la bulle internet en 2001… mais il n’est pas inquiet. Les fonds levés avec Softback et Masayoshi Son lui permettent de tenir. Mais surtout l’éclatement de la bulle terrasse la plupart de ses concurrents. Alibaba est alors concurrencé par eBay et Meg Whitman qui fait la pluie et le beau temps aux Etats-Unis.

D’ailleurs après le B2B, Jack lance en secret un site B2C, Taobao. Succès immédiat.

Mais eBay sous-estime Taobao qui reste gratuit et un site très chinois dans sa façon de faire du commerce. Quelques années plus tard, devant son échec, eBay propose de racheter Alibaba.

Jack écarte l’offre. eBay se retire de Chine, vaincue. Jack fait alors rentrer Yahoo dans l'actionnariat contre un chèque de 1 milliard de dollars. Avec cet argent, la croissance d’Alibaba accélère. En 2014, c’est l’introduction en bourse d’Alibaba au Nasdaq. C’est un 1er couronnement pour Jack qui s’était pris des murs quelques années auparavant dans la Silicon Valley. 

Puis la filiale de paiement Alipay est au cœur d’une polémique entre Jack et les actionnaires d’Alibaba… mais finalement Jack et Joe Tsai finissent par assurer leur mainmise sur l’actionnariat.

Pourtant en 2015, Jack commence à faire peur par son hégémonie au sein du gouvernement chinois. Il est d'abord rappelé à l’ordre par un régulateur (la SAIC) puis en 2020, il commet une “faute” irréparable en critiquant le système bancaire chinois. L’introduction en bourse d’Ant Group (qui regroupe Alipay) est alors annulée sur ordre du président chinois lui-même, Xi Jinping. Alibaba est sous le feu et poursuivi pour pratiques anti concurrentielles. Jack disparaît pendant 3 mois. 

Pour lui, les choses ne seront plus jamais pareilles.

Retrouvez toutes les notes de l'épisode:

===> https://inspire-media.fr/jack-ma-du-succes-a-la-chute-ep-2/

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Jack Ma commence sa carrière comme professeur d’anglais mais très vite il est pris par le virus de l’entreprenariat. Ce chinois d’origine de Hangzhou dans la province du Zhejiang a toujours aimé l’anglais depuis qu’il est adolescent. C’est la rencontre avec un couple australien et leurs enfants qui va changer sa vie, les Morley. Ce jeune homme sociable a un vrai goût pour la communication hérité de ses parents, amateurs de l’art Pingtan.

Il lance en 1994 après une phrase du dirigeant chinois, Deng Xiaoping, “S’enrichir est glorieux”, une société de traduction. Mais les temps sont durs et il doit faire du commerce pour survivre.

Il est alors envoyé aux Etats-Unis par une province chinoise pour négocier un contrat mais il tombe sur un escroc qui l’enferme dans un hôtel dont il s’échappe. Il va faire la connaissance à Seattle de Stuart Trusty qui lui montre internet.

Il décide alors de créer un annuaire chinois du business, China Pages avec un associé professeur d’informatique. Mais internet n’est pas encore arrivé à Hangzhou et personne ne comprend rien. 

Il relocalise toute la production d’Internet en Chine et commence à faire la page internet de sa province… mais l’argent est toujours un problème. Finalement China Pages est rachetée par Hangzhou Dife communication, une société d’État. Mais Jack n’a plus le contrôle. Il quitte la société et travaille à Pékin pour le gouvernement. Il rencontre alors Jerry Yang, le fondateur chinois de Yahoo. Il se dit qu’internet n’attend pas… il crée une nouvelle société en 1999, Alibaba.

Avec les premiers salariés, ils s’installent dans son appartement de Lakeside Garden. Puis l’entreprise croit, le principe, aider les PME à vendre leurs marchandises.

Il réussit à lever des fonds fin 1999 avec Goldman Sachs puis début 2000 avec Masayoshi Son, l’homme le plus riche du Japon.

Mais la bulle internet est prête à éclater. 

Retrouvez toutes les notes de l'épisode:

==> https://inspire-media.fr/jack-ma-la-creation-dalibaba/

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Malamine Koné est né au Mali en 1971. En 30 ans, il devient un entrepreneur à succès avec sa marque de vêtements de sport, Airness. Mais rien n’a été simple pour lui. De berger pauvre à la cité en Seine Saint Denis, il a tout connu. 

Trop turbulent pour faire du foot, il se met à la boxe. Puis il devient champion de France et est alors convoqué pour la sélection aux JO d’Atlanta de 1996. Mais un accident de voiture grave va changer sa vie.

Tous ses rêves de sport et même d’inspecteur de police tombent à l’eau. Désormais, va subir une douzaine d’opérations de la jambe en 2 ans. Il doit repartir de zéro.

C’est en regardant ses copains de la cité qu’il suit les modes de vêtements qu’il se dit qu’il y a quelque chose à faire. Il lance Airness avec la panthère comme logo, son surnom de boxeur. Mais personne ne fait confiance au jeune homme et ses sweats. Il faudra attendre un magasin de Sport 2000 à Aulnay-sous-Bois. Puis il s’appuie sur une faille de droit sur les contrats des sportifs de haut niveau pour qu’il commence à les habiller en dehors des terrains. C’est son copain de sport études , Steve Marlet qui l’introduit à l’AJ Auxerre puis il convainc Djibril Cissé. Il s’attaque alors aux clubs de Ligue 1 et devient l’équipementier du Stade Rennais puis le FC Nantes, Valenciennes, Lille, Auxerre, Fulham en Angleterre, Boavista Porto au Portugal, et même l’équipe nationale du Mali.

Il enchaîne aussi les contrats de licence avec les lunettes, parfums, cahiers… Airness est partout. Et le chiffre d’affaires explose. 120 millions d’euros en 5 ans.

Mais la réussite a un coût et Malamine ne réussit pas à développer sa société avec des problèmes de logistique et financiers importants jusqu’à la liquidation judiciaire.

Il réussit à conserver la marque mais il a désormais d’autres priorités.

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==> https://inspire-media.fr/malamine-kone-fondateur-dairness-aucune-barriere-nest-infranchissable/

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