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Or
Oubliez le comptoir français. Pondi est indienne, et comme toute ville indienne, Pondi caracole. Même si la petite ville de la côte Sud Est de l’Inde est loin derrière les Bangalore, Bombay et autres Chennai dans la course à l’échalote. Pas d’aéroport, pas de grandes lignes ferroviaires, et une autoroute qui peine à arriver jusqu’à la ville, Pondi a des handicaps. Cela ne l’empêche pas de changer de vie, changer de look : premier touché dans cette virevolte, l’architecture traditionnelle. Même si l’on commence à comprendre l’intérêt des spécificités architecturales de cet ancien territoire français. Intérêt économique : la venue de touristes en masse, avec l’amélioration du pouvoir d’achat des Indiens, les voyages se font plus fréquents. Alors, on reluque les petits détails qui donnent à Pondi sa « french touch ». Et on tente de sauver les demeures tamoules des familles élargies d’antan. Pour vous décrypter la ville, suivez Ajit Kujalgi, architecte pour l’INTACH, une ONG en charge de la préservation du patrimoine.
Intervenant : Ajit Kujalgi
Réalisation : Anne Bonneau
Extraits musicaux : « Mamavatu », « Mahima » et « O Rama » de Susheela Raman, « Good Indian girls » de Mychael Danna,
Oubliez le comptoir français. Pondi est indienne, et comme toute ville indienne, Pondi caracole. Même si la petite ville de la côte Sud Est de l’Inde est loin derrière les Bangalore, Bombay et autres Chennai dans la course à l’échalote. Pas d’aéroport, pas de grandes lignes ferroviaires, et une autoroute qui peine à arriver jusqu’à la ville, Pondi a des handicaps. Cela ne l’empêche pas de changer de vie, changer de look : premier touché dans cette virevolte, l’architecture traditionnelle. Même si l’on commence à comprendre l’intérêt des spécificités architecturales de cet ancien territoire français. Intérêt économique : la venue de touristes en masse, avec l’amélioration du pouvoir d’achat des Indiens, les voyages se font plus fréquents. Alors, on reluque les petits détails qui donnent à Pondi sa « french touch ». Et on tente de sauver les demeures tamoules des familles élargies d’antan. Pour vous décrypter la ville, suivez Ajit Kujalgi, architecte pour l’INTACH, une ONG en charge de la préservation du patrimoine.
Intervenant : Ajit Kujalgi
Réalisation : Anne Bonneau
Extraits musicaux : « Mamavatu », « Mahima » et « O Rama » de Susheela Raman, « Good Indian girls » de Mychael Danna,