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Or


Il y a, à chaque millénaire, des témoignages, des sensibilités, des mémoires bénéfiques pour la société et l’âme humaine.
Ces feuillets d’usine en font partie.
Avec courage, humour, intelligence et sensibilité, Joseph Ponthus nous livre son quotidien d’ouvrier intérimaire, employé dans les conserveries de poissons et les abattoirs bretons.
C’est par amour qu’il migre à Lorient pour rejoindre son épouse, et c’est pour survivre que, chaque soir, à la sortie de l’usine, il se confie dans ses feuillets, sans ponctuation, sans « gras », en prenant soin de revenir chaque fois à la ligne. Comme à l’usine.
Aujourd’hui, Joseph, vous n’êtes plus, mais sachez qu’à jamais, et pour toujours, je vous écouterai nous raconter, avec humanité et amour, sans jugement, tous ces hommes et femmes avec qui vous avez travaillé à l’usine.
Vous entendre dans vos interviews parler de vos grands souvenirs de lecture, vous entendre chantonner Charles Trenet, Jacques Brel et d’autres, voir vos yeux briller, étonnés du fabuleux tour que vous joue votre destin, resteront pour moi une source d’inspiration inépuisable.
Merci pour votre témoignage, cette immersion poétique, nécessaire.
À la ligne
Joseph Ponthus, pour l’éternité.
By Baptiste BordetIl y a, à chaque millénaire, des témoignages, des sensibilités, des mémoires bénéfiques pour la société et l’âme humaine.
Ces feuillets d’usine en font partie.
Avec courage, humour, intelligence et sensibilité, Joseph Ponthus nous livre son quotidien d’ouvrier intérimaire, employé dans les conserveries de poissons et les abattoirs bretons.
C’est par amour qu’il migre à Lorient pour rejoindre son épouse, et c’est pour survivre que, chaque soir, à la sortie de l’usine, il se confie dans ses feuillets, sans ponctuation, sans « gras », en prenant soin de revenir chaque fois à la ligne. Comme à l’usine.
Aujourd’hui, Joseph, vous n’êtes plus, mais sachez qu’à jamais, et pour toujours, je vous écouterai nous raconter, avec humanité et amour, sans jugement, tous ces hommes et femmes avec qui vous avez travaillé à l’usine.
Vous entendre dans vos interviews parler de vos grands souvenirs de lecture, vous entendre chantonner Charles Trenet, Jacques Brel et d’autres, voir vos yeux briller, étonnés du fabuleux tour que vous joue votre destin, resteront pour moi une source d’inspiration inépuisable.
Merci pour votre témoignage, cette immersion poétique, nécessaire.
À la ligne
Joseph Ponthus, pour l’éternité.