Voilà un homme qui ne laisse pas indifférent !
C’est simple, partout où il passe, le public est séduit, conquis…En redemande !
Et pas que le public !
A 19, il remportait le concours de piano du prestigieux festival de Montreux !
Au même moment, l’une de ses prestations sciait sur place Quincy Jones, qui depuis, ne tarit pas d’éloges à son sujet.
Si Isfar Sarabski est si habité lorsqu’il pose ses doigts sur un clavier, c’est peut-être parce que la musique fait partie de sa vie depuis son plus jeune âge.
A 3 ans, il commençait le piano…A 7, son nom commençait à sérieusement circuler dans les cercles culturels de Bakou, la capitale d’Azerbaïdjan où il est né et il a grandi.
Et d’ailleurs, la musique était en lui bien avant cela ! Son arrière-grand-père a été une immense star dans le monde arabe, un chanteur d’opéra, acteur et auteur pour le théâtre.
C’est probablement de là que vient la formidable ouverture d’esprit, l’insatiable appétit musical d’Isfar Sarabaski, lui qui a autant été impressionné, lorsqu’il était jeune, par Dizzy Gillespie, que par Bach ou Chopin !
Lui qui aujourd’hui s’illustre avec autant de brio dans le jazz que dans l’électro.
Son nouvel album, « Planet », illustre de manière éclatante tous ces mondes musicaux qui cohabitent dans sa musique…
C’est le répertoire qu’il présente ce soir et demain au Duc des Lombards, en compagnie de Makar Novikov à la basse et Sasha Mashin à la batterie…Les deux musiciens avec lesquels nous sommes aussi ravis de l’accueillir ce midi dans Deli Express.
(c) Une Principale : Peter Hönnemann
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.