Bonjour chères auditrices et chers auditeurs. Je m’appelle Karine Vimeney. Infirmière de profession, je suis également praticienne en naturopathie et médecine traditionnelle chinoise, avec des spécialisations en réflexologie, ventousothérapie, moxibustion, et fleurs de Bach. J’exerce à Mont-Prin-Blanc, où je propose aussi des ateliers cuisine axés sur l’alimentation santé, mettant l’accent sur l’élimination des produits hyper-industrialisés. Mes conseils sont adaptés à la vie moderne : simples, rapides et économiques, car le fait maison reste toujours plus avantageux.

Aujourd’hui, je vous invite à découvrir l’un des piliers de la médecine traditionnelle chinoise en cette saison hivernale. Nous allons parler de l’organe associé à l’hiver et de ses besoins fondamentaux, ainsi que des conseils en diététique chinoise pour le renforcer.

L’hiver, selon le calendrier lunisolaire chinois, commence aux alentours de novembre et se termine début février. Il marque la fin des travaux agricoles et le stockage des récoltes d’automne. Énergétiquement, le yin croît progressivement jusqu’à son apogée au solstice d’hiver, le 21 décembre. Pendant cette période, l’énergie se retire en profondeur, tant dans la nature que chez l’homme. C’est le moment de ralentir le rythme, de mettre notre corps au repos pour mieux affronter les maux de l’hiver.

L’organe dominant cette saison est le rein. En médecine traditionnelle chinoise, le rein (shen) est considéré comme la réserve énergétique du corps, permettant aux autres organes de puiser des ressources lorsque nécessaire. Il est essentiel de le tonifier en hiver.

Les reins sont associés au mouvement de l’eau (shui) et participent au transport des liquides purs. On distingue le rein yin (gauche) du rein yang (droit), d’où leur appellation d’organes de l’eau et du feu. Ils stockent l’essence (jing), l’un des trois piliers de la médecine traditionnelle chinoise, avec le qi (énergie vitale) et le shen (esprit).

Pour tonifier les reins, la médecine traditionnelle chinoise recommande des massages réchauffants, souvent associés à des huiles essentielles. Ces gestes sont réconfortants et tonifient l’organisme, aidant à éviter que l’énergie froide du yin ne nous envahisse.

L’hiver est aussi la saison idéale pour la moxibustion et les ventouses, deux spécialités que je pratique. Ces techniques réchauffent le corps et préviennent les effets du froid. Les ventouses (ou moxa) sont posées sur les trajets des méridiens, comme en acupuncture, mais sans aiguilles, offrant une chaleur douce et réconfortante. Ces soins de bien-être favorisent le repos et la décontraction.

Il est essentiel de ralentir le rythme en hiver, d’adopter un mode de vie plus lent et de se consacrer à la méditation et au repos. L’alimentation joue également un rôle crucial en cette saison. La semaine prochaine, nous discuterons de la diététique chinoise pour l’hiver et des plantes recommandées pour renforcer notre organisme. Nous aborderons aussi les tisanes, particulièrement appréciées en cette saison, et les moyens de gérer les excès des fêtes de fin d’année.

Prenez soin de vous cet hiver. Ralentissez, reposez-vous, et tonifiez vos reins pour affronter le froid en toute sérénité. N’hésitez pas à consulter un praticien en médecine traditionnelle chinoise pour des conseils personnalisés.

Rendez-vous la semaine prochaine pour approfondir nos connaissances sur l’alimentation hivernale et découvrir les plantes bénéfiques pour cette saison. En attendant, prenez le temps de vous ressourcer et de vous préparer à passer un hiver en pleine santé.

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Introduction

Bonjour à toutes et à tous, fidèles auditrices et auditeurs de REM 98.4 FM. Aujourd’hui, nous avons l’immense plaisir d’accueillir Karine Vimeney, infirmière et praticienne en naturopathie et médecine traditionnelle chinoise. Forte de son expertise en réflexologie, ventosothérapie, moxibustion et fleurs de Bach, Karine partage avec nous les clés d’une alimentation santé, inspirée par les traditions de nos grands-mères et adaptée à notre vie moderne. Dans cette chronique, nous explorerons les bienfaits des fruits et légumes de saison, les légumineuses, les céréales complètes, les oléagineux, et l’importance de consommer des protéines animales de qualité.

Karine Vimeney souligne l’importance cruciale des fruits et légumes dans notre alimentation. Ces aliments, riches en vitamines, minéraux, antioxydants et fibres, devraient constituer la majeure partie de notre alimentation quotidienne. Contrairement à la tradition où ils étaient souvent relégués au rang d’accompagnements, les fruits et légumes sont aujourd’hui reconnus pour leurs propriétés anti-inflammatoires, leur rôle dans l’équilibre acido-basique, et leur capacité à détoxifier notre organisme.

En consommant des produits de saison et en circuit court, nous respectons non seulement la nature, mais nous profitons aussi des nutriments spécifiques dont notre corps a besoin à chaque période de l’année. Karine nous rappelle que Dame Nature sait ce qui est bon pour nous à chaque saison.

Les légumineuses, souvent négligées dans les régimes traditionnels, sont pourtant une source précieuse de protéines végétales. Idéales pour réduire la consommation de viande, elles doivent cependant être préparées correctement pour éviter les inconforts digestifs. Karine recommande de les faire tremper une nuit avec une cuillère de bicarbonate de soude alimentaire pour faciliter leur digestion.

Associées à des céréales complètes comme le riz, les légumineuses fournissent un apport complet en acides aminés essentiels, ce qui permet de créer des repas équilibrés et nutritifs sans viande.

Les céréales complètes sont une autre pierre angulaire de l’alimentation santé. Contrairement aux céréales raffinées, dépourvues de leur enveloppe extérieure et donc de la plupart de leurs nutriments, les céréales complètes conservent leurs vitamines, minéraux, fibres et antioxydants. Elles doivent être consommées régulièrement, mais en quantités modérées par rapport aux fruits et légumes.

Karine met en garde contre les produits industriels, souvent étiquetés comme « céréales complètes » mais en réalité hyper transformés. Il est crucial de choisir des céréales naturelles et non modifiées pour profiter pleinement de leurs bienfaits.

Longtemps évités à cause de leur teneur élevée en graisses, les oléagineux ont fait leur grand retour dans les régimes santé grâce à leurs vertus nutritionnelles. Riches en oméga-3, ces graines et noix sont indispensables à notre organisme. Elles combattent l’inflammation, protègent contre les maladies chroniques et améliorent la santé de la peau, des cheveux et des ongles.

Karine nous rappelle que les oléagineux doivent être consommés en quantités modérées mais régulières pour profiter de leurs bienfaits sans excès calorique.

Nous sommes omnivores et une alimentation équilibrée doit inclure des protéines animales. Cependant, Karine plaide pour une consommation modérée et raisonnée, en privilégiant la qualité sur la quantité. La viande doit être issue d’élevages français, en circuit court, et respecter des standards élevés de qualité.

Une consommation excessive de viande de mauvaise qualité peut nuire à notre santé. À l’inverse, une portion modérée de viande de bonne qualité peut être bénéfique, apportant les nutriments nécessaires tout en évitant les risques associés à une consommation excessive.

Karine Vimeney nous rappelle que l’alimentation est la pierre angulaire de notre santé. En s’inspirant des traditions de nos grands-mères, en respectant le rythme des saisons et en privilégiant des produits locaux et de qualité, nous pouvons renforcer notre système immunitaire et prévenir de nombreuses maladies.

Chaque semaine, Karine nous guidera à travers des conseils pratiques et des recettes traditionnelles pour adopter une alimentation saine et équilibrée. Restez à l’écoute de REM 98.4 FM pour découvrir les secrets de la naturopathie et de la médecine traditionnelle chinoise appliqués à notre quotidien moderne.

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Bonjour chères auditrices et chers auditeurs, je m’appelle Karine Vimeney. En tant qu’infirmière, praticienne en naturopathie et médecine traditionnelle chinoise, j’ai consacré ma carrière à la santé holistique. Ma formation comprend également des spécialisations en réflexologie, ventosothérapie, moxibustion et en fleurs de Bach. Aujourd’hui, j’exerce à mon cabinet et je me concentre principalement sur l’alimentation en santé à travers des ateliers cuisine et des consultations individuelles. Mon approche vise à simplifier et rendre accessible une alimentation saine, en éliminant les produits hyper-industrialisés de nos assiettes.

Cette semaine, je vous invite à explorer un des piliers de l’alimentation santé en revisitant les pratiques culinaires de nos grands-mères. En tant que naturopathe, je suis profondément connectée à la nature et aux rythmes des saisons. Les traditions et le savoir ancestral en matière de santé et de cuisine sont des trésors inestimables que je souhaite partager avec vous.

La semaine dernière, nous avons parlé du collagène et de l’importance du bouillon d’os. Aujourd’hui, nous poursuivons sur ce thème en nous intéressant à un autre aliment traditionnel : la couenne de porc. Autrefois largement consommée, la couenne de porc a été délaissée dans les années 80 en raison de sa teneur en graisse. Cependant, avec la prise de conscience des méfaits des aliments hyper-industrialisés, elle fait un retour en force dans nos assiettes.

La couenne de porc est simplement la peau du cochon, et elle est particulièrement riche en collagène et en protéines. Une portion de couenne de porc contient neuf fois plus de protéines qu’une portion équivalente de chips, et elle ne contient pas de glucides, ce qui en fait un atout dans notre alimentation moderne souvent trop riche en glucides. La teneur en graisse de la couenne de porc a été la raison de son exclusion, mais il est important de comprendre que la graisse, consommée de manière raisonnée, est nécessaire et bénéfique pour notre santé.

Il existe plusieurs façons de consommer la couenne de porc. Traditionnellement, elle était souvent frite pour être consommée en chips, appelées craquelins. Bien que la friture en excès ne soit pas recommandée pour la santé, les craquelins sont une meilleure alternative aux chips industrielles car ils sont plus riches en protéines et offrent une satiété supérieure, ce qui aide à contrôler la prise alimentaire.

La couenne de porc peut également être utilisée dans des soupes, des lentilles ou le traditionnel cassoulet. Dans ces plats, elle est cuite lentement à basse température, ce qui en fait un véritable super-aliment. En étant riche en graisses, elle permet de rassasier rapidement et donc de réduire la quantité nécessaire. Un petit apport suffit pour se sentir rassasié, et cela contribue à une alimentation équilibrée et variée.

En consommant la couenne de porc, nous faisons le plein de collagène, essentiel pour la santé de notre peau, de nos articulations et de nos tissus conjonctifs. De plus, la graisse, bien cuisinée et consommée en quantité modérée, est une alternative saine aux sucres raffinés, qui sont souvent responsables de nombreux problèmes de santé.

Nos grand-mères savaient bien tirer parti de chaque partie du cochon, en conservant les couennes pour les utiliser dans divers plats d’hiver comme les soupes, les lentilles et les haricots. Ces pratiques nous rappellent l’importance de la variété et de la modération dans notre alimentation. En hiver, la graisse est une source d’énergie précieuse, et les couennes de porc sont une alternative économique et nutritive aux glucides.

Il est crucial de souligner l’importance de la qualité des produits que nous consommons. Acheter des couennes de porc de qualité, issues d’élevages respectueux, est essentiel pour garantir une alimentation saine. De plus, en utilisant toutes les parties de l’animal, nous réduisons le gaspillage alimentaire et honorons l’animal de manière respectueuse. La diversité et l’alternance dans notre alimentation sont les clés d’une bonne santé.

En conclusion, la couenne de porc, délaissée à tort, mérite de retrouver une place de choix dans nos cuisines. Elle est une source précieuse de collagène et de protéines, et une alternative saine aux produits hyper-industrialisés. Alors, redécouvrons ensemble les trésors de nos traditions culinaires et profitons des bienfaits de la couenne de porc pour notre santé.

À vos cuisines, et à la semaine prochaine pour une nouvelle chronique santé !

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Bonjour chères auditrices, chers auditeurs,

Je m’appelle Karine Vimeney, infirmière, praticienne en naturopathie et médecine traditionnelle chinoise. Aujourd’hui, j’aimerais partager avec vous un voyage culinaire et historique, une plongée dans les traditions de nos grands-mères qui, au fil des générations, ont su tirer parti de la nature pour notre bien-être.

En tant que naturopathe, j’attache une grande importance à la nature et aux traditions. Nos ancêtres avaient une connaissance profonde des plantes et de la santé, une sagesse que nous avons tendance à oublier à l’ère de l’industrialisation. Je vis en proximité avec la nature et le rythme des saisons, ce qui me permet de proposer des conseils pratiques et économiques pour une alimentation saine.

Mon activité se concentre principalement sur l’alimentation santé, que je transmets à travers des ateliers cuisine et des consultations individuelles. Nous y travaillons sur la suppression des produits hyper industrialisés pour revenir à des préparations maison, économiques et rapides.

Aujourd’hui, nous allons nous pencher sur une tradition culinaire chère à nos grands-mères : le poulet rôti du dimanche. Ce plat emblématique, souvent associé aux repas familiaux, recèle des bienfaits insoupçonnés pour notre santé.

Consommer des produits de saison est un principe fondamental en naturopathie et en médecine traditionnelle chinoise. Nos grands-mères l’avaient bien compris, elles qui organisaient leurs repas en fonction des produits disponibles à chaque saison. Le poulet du dimanche en est un parfait exemple. Henri IV avait même promis « une poule au pot tous les dimanches » pour répondre aux famines causées par les guerres religieuses. Cette tradition a évolué avec le temps pour devenir le poulet rôti que nous connaissons aujourd’hui.

La Seconde Guerre mondiale a appris à nos grands-mères à être économes, maximisant l’utilisation de chaque ingrédient. Le poulet rôti du dimanche n’y faisait pas exception. Les pâtes du poulet, ainsi que la carcasse, le cou et la tête, étaient utilisés pour préparer une soupe riche en nutriments, consommée chaque soir. L’ingrédient clé de cette soupe ? Le collagène.

Le collagène est aujourd’hui vendu à prix d’or sous forme de poudre en pharmacie, vanté pour ses bienfaits sur la peau et les articulations. Pourtant, nos grands-mères en consommaient naturellement dans leur soupe de poulet. Les cuissons lentes et répétées permettaient d’extraire le collagène des os du poulet, rendant la soupe particulièrement bénéfique pour la santé.

Le collagène est essentiel pour maintenir l’élasticité et la fermeté de la peau, réduire les rides, et renforcer les articulations et les os. Plutôt que de consommer des suppléments coûteux, nos ancêtres bénéficiaient de ces vertus à travers des repas simples et quotidiens.

En revisitant les recettes et les pratiques de nos grands-mères, nous redécouvrons des moyens naturels et économiques de prendre soin de notre santé. Le poulet du dimanche et la soupe qui en découle ne sont que des exemples de cette sagesse ancestrale.

Nous continuerons notre exploration culinaire la semaine prochaine, où je vous parlerai d’autres vertus du poulet du dimanche. En attendant, pourquoi ne pas essayer de préparer vous-même une soupe de poulet, en utilisant chaque partie de l’animal pour en maximiser les bienfaits ?

Restez à l’écoute pour de nouvelles découvertes sur les trésors cachés de notre patrimoine culinaire. À la semaine prochaine !

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Bonjour ! Je m’appelle Karine Vimeney, infirmière, praticienne en naturopathie et médecine traditionnelle chinoise. Mon expertise inclut également la réflexologie, la ventosothérapie, la moxibustion et les fleurs de Bach. Je me spécialise dans l’alimentation santé pour améliorer notre alimentation et éliminer les produits hyper-industrialisés.

En naturopathie, ainsi qu’en médecine traditionnelle chinoise, nous attachons une grande importance à vivre en harmonie avec les saisons. Cette proximité avec la nature nous aide à rester en lien avec nos besoins fondamentaux et à renforcer notre capacité d’adaptation et notre vitalité. L’automne, saison de transition avant l’hiver, est particulièrement cruciale pour préparer notre organisme aux rigueurs hivernales.

L’automne est une période de transition qui nous permet de renforcer nos défenses immunitaires. Comme dans la fable de Jean de La Fontaine « La cigale et la fourmi », il est essentiel d’anticiper et de se préparer pour l’hiver. En automne, la nature se pare de couleurs magnifiques et se prépare à entrer en mode végétatif. De même, nous devons ralentir notre rythme, introspecter et prendre soin de notre corps.

Entre 70 et 80% de notre capacité immunitaire repose sur nos intestins, ce qui rend l’alimentation cruciale. Plusieurs cures naturopathiques peuvent être entreprises en début d’automne, mais il est impératif d’être accompagné par un professionnel pour éviter des effets contre-productifs. Après une cure, il est essentiel de revenir à une alimentation saine pour maintenir les bénéfices obtenus et renforcer notre organisme.

1. Hydratation : L’eau est notre meilleure alliée. Les tisanes sont également bénéfiques, surtout en automne, mais il faut éviter de compter les autres boissons dans nos besoins quotidiens en hydratation.

2. Alimentation variée : Varier son alimentation à chaque repas, chaque jour et chaque semaine. Manger un peu de tout permet de fournir à notre corps tous les nutriments nécessaires.

3. Aliments de saison et circuits courts : Consommer des produits de saison issus de circuits courts. Dame Nature produit ce dont nous avons besoin à chaque saison, il est donc important de suivre son rythme.

En automne, nos jardins regorgent de butternuts, petits marrons, citrouilles, choux, poireaux, pommes de terre et patates douces. C’est aussi la saison des châtaignes, des raisins et des kiwis. Les œufs sont encore disponibles car les poules pondent avant une coupure hivernale. Favorisons également la viande blanche de qualité pour nos apports en protéines.

L’alimentation ne doit pas être dissociée d’une hygiène de vie globale. Le sommeil, les balades dans la nature et d’autres pratiques de bien-être sont tout aussi importants. L’automne appelle à l’introspection, au lâcher-prise et au cocooning. En nettoyant les toxines de notre corps, en respirant l’air pur et en tonifiant nos poumons, nous pouvons renforcer notre système immunitaire et apaiser les petits maux de saison tels que les rhumes et la déprime passagère.

L’automne est une saison clé pour préparer notre corps à l’hiver. En suivant les conseils de Karine Vimeney, nous pouvons renforcer notre système immunitaire, améliorer notre alimentation et vivre en harmonie avec les rythmes naturels. Retrouvez Karine la semaine prochaine pour de nouveaux conseils naturopathiques et des astuces pour une vie saine et équilibrée.

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Dans le classique de l’Empereur Jaune, un des textes fondamentaux de la médecine traditionnelle chinoise, il est indiqué que les saisons influencent le corps humain. Selon la théorie des cinq éléments, l’automne est dominé par le métal, élément généré par la terre. Cette saison marque la transition du jour vers la nuit, caractérisée par l’accroissement du Yin et la décroissance du Yang.

L’automne représente une période d’adaptation où les jours raccourcissent, les nuits s’allongent, et le froid s’installe. C’est le moment idéal pour réguler les énergies du corps, favorisant ainsi notre adaptation à cette nouvelle saison.

Le poumon est l’organe maître de l’automne, couplé aux gros intestins. Le Wei Qi, ou énergie défensive, est gouverné par le poumon et assure notre immunité. Cette énergie est produite par la respiration et l’alimentation. En automne, renforcer notre alimentation permet de nourrir le Yin du poumon et de préparer notre corps à affronter les maladies hivernales.

La diététique chinoise recommande de consommer des aliments tièdes et peu piquants en automne. Il est important de protéger l’énergie de l’estomac pour une bonne digestion. Les aliments à privilégier sont :

Les aliments de couleur blanche comme le chou, le céleri, le navet et l’oignon sont également recommandés, car le blanc est associé à l’automne. Il est conseillé de cuire les aliments à l’eau et de consommer des soupes et des liquides.

Le petit déjeuner doit être copieux et riche, tandis que le repas du soir doit être léger. Les œufs, par exemple, sont à privilégier le matin. Un principe clé est de s’arrêter de manger juste avant d’être rassasié.

Revenir à une alimentation saine et locale permet de se reconnecter à la nature et aux saisons. Il est crucial de consommer des produits frais, de saison, et locaux. Nos grands-mères connaissaient les vertus des plantes et d’une alimentation saine, des connaissances qui rejoignent les enseignements de la naturopathie et de la médecine traditionnelle chinoise.

La santé en médecine traditionnelle chinoise est une question d’équilibre entre le Yin et le Yang, et notre santé dépend aussi de notre équilibre alimentaire. En adoptant une alimentation adaptée à la saison et à notre environnement, nous pouvons renforcer notre immunité et notre bien-être général.

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Karine Vimeney, infirmière, praticienne en naturopathie et médecine traditionnelle chinoise spécialisée en réflexologie, ventrosothérapie, moxibustion et fleurs de Bach, nous parle d’une thématique centrale en naturopathie et médecine chinoise : l’alimentation santé.

« Que ton aliment soit ton médicament », disait Hippocrate. Dans un contexte moderne, on parle d’alimentation santé ou alimentation healthy. Cette approche holistique de la nutrition vise à renforcer nos défenses immunitaires, nous maintenir en forme et prévenir les maladies. Karine Vimeney nous guidera tout au long de l’année pour adapter notre alimentation au fil des saisons.

Avec l’arrivée de l’automne, caractérisée par l’humidité, la baisse des températures et la diminution de la lumière, il est essentiel d’adapter notre alimentation pour maintenir l’équilibre entre le yin et le yang, concept central de la médecine traditionnelle chinoise. En automne, le yang décroît, laissant place au yin. Pour contrer cela, nous devons privilégier des aliments yang qui réchauffent et renforcent notre organisme en préparation de l’hiver.

L’alimentation saine se définit par des choix alimentaires qui renforcent le système immunitaire et préviennent les maladies. En naturopathie, la première étape est un bilan de vitalité personnalisé, permettant d’adapter les conseils généraux à chaque individu.

La médecine traditionnelle chinoise accorde une grande importance à la nature, la saveur, la couleur des aliments et leurs modes de cuisson. Ces éléments visent à maintenir l’équilibre entre le yin et le yang, garantissant ainsi une bonne santé. Les aliments yang, par exemple, sont souvent cuits et épicés, tandis que les aliments yin sont plus crus et rafraîchissants.

En automne, l’humidité et la baisse des températures demandent une alimentation réchauffante. Voici quelques conseils pour adapter votre alimentation :

La diététique chinoise se concentre sur l’équilibre énergétique des repas. Voici quelques éléments clés :

L’intestin est souvent considéré comme notre deuxième cerveau, jouant un rôle crucial dans la régulation de notre immunité. Une alimentation saine et équilibrée favorise un microbiote intestinal en bonne santé, influençant directement notre bien-être général.

Adopter une alimentation santé en automne, selon les principes de la naturopathie et de la médecine traditionnelle chinoise, c’est choisir des aliments et des modes de cuisson qui soutiennent notre organisme face aux défis de cette saison. En respectant ces principes, nous pouvons renforcer notre immunité et préparer notre corps à affronter l’hiver.

Retrouvez Karine Vimeney la semaine prochaine pour découvrir plus en détail les aliments spécifiques à intégrer dans notre alimentation automnale et les recettes faciles à réaliser chez vous.

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Un Voyage Saisonner pour une Santé Optimale

Bienvenue dans notre exploration saisonnière, où la médecine traditionnelle chinoise révèle ses secrets pour un bien-être renouvelé. Je suis Karine Vimeney, votre guide dans cet univers où santé rime avec nature. Aujourd’hui, nous plongeons dans la spécificité des cinq saisons et leur influence cruciale sur notre quotidien. Découvrez comment le renouveau printanier peut être le catalyseur de changements positifs dans votre vie et votre santé.

La Quintessence des Saisons : Plus qu’un Changement de Climat

Le printemps, selon la sagesse millénaire chinoise, n’est pas qu’une simple transition climatique. C’est une invitation au renouveau, à l’éveil, après le repos de l’hiver. Chaque saison est associée à des éléments, des couleurs, et des organes spécifiques. Comprendre ces associations nous permet de mieux nous aligner avec les cycles naturels pour un bien-être accru. Le vert du printemps symbolise cette renaissance et nous encourage à renouveler notre énergie et nos projets.

Adapter Son Hygiène de Vie à la Saison

Notre bien-être dépend largement de notre capacité à vivre en harmonie avec les cycles naturels. L’adaptation de notre alimentation, de notre sommeil, et de notre activité physique au rythme des saisons est essentielle. La médecine traditionnelle chinoise nous enseigne que notre santé est le reflet de l’univers qui nous entoure. Adopter une hygiène de vie saisonnière n’est pas seulement bénéfique pour notre santé physique, mais également pour notre équilibre mental et émotionnel.

L’Importance de la Saison dans Nos Choix Quotidiens

Le choix de nos aliments, de nos activités, et même de nos pratiques de santé comme les ventouses doit être influencé par la saison en cours. Le printemps appelle à un renforcement de notre immunité, à l’instar de l’hiver, mais avec une énergie et des activités renouvelées. Consommer des produits frais et de saison, et adapter nos rythmes de vie sont des gestes simples mais puissants pour maintenir notre santé.

Vers un Printemps de Bien-Être : Prochaines Étapes

Alors que nous nous préparons à embrasser pleinement le printemps, restez à l’écoute pour des conseils spécifiques adaptés à cette saison de renouveau. Nous explorerons ensemble les meilleures pratiques pour harmoniser notre alimentation, notre sommeil, et nos activités avec les besoins de notre corps et de notre esprit.

Rejoignez-nous la semaine prochaine pour continuer ce voyage vers un bien-être saisonnier, où chaque élément de notre vie est connecté aux cycles naturels. Ensemble, célébrons le printemps de la santé, propice au renouveau et à l’épanouissement. Prenez soin de vous, et à très bientôt pour de nouveaux conseils santé au rythme des saisons.

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Le Nouvel An chinois, appelé aussi Fête du printemps, marque le passage à une nouvelle année selon le calendrier lunaire chinois. C’est un moment propice pour prendre soin de sa santé et de son bien-être, en accord avec les principes de la médecine traditionnelle chinoise.

Pour bien commencer l’année, voici quelques conseils :

En adoptant ces petits rituels, vous vous mettrez dans les meilleures dispositions selon la sagesse millénaire chinoise pour aborder l’année sous les auspices de la santé et du bonheur !

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Dans le calme hivernal, où le froid saisit et la nature semble sommeiller, il est essentiel de trouver réconfort et chaleur dans notre alimentation. Karine Vimeney, experte en naturopathie, médecine traditionnelle chinoise, réflexologie, ventousothérapie, moxibustion, et en l’usage des fleurs de Bach, nous guide vers une santé optimisée par les principes séculaires de la diététique chinoise.

Selon Karine, notre bien-être est étroitement lié aux cycles de la nature. En cette fin d’hiver européen, elle nous rappelle l’importance d’harmoniser notre alimentation avec les offrandes saisonnières : choux, épinards, et navets, qui sont autant d’alliés pour réchauffer notre corps et soutenir les organes régis par l’élément eau, à savoir le rein et la vessie.

La soupe, humble et nourrissante, est mise à l’honneur. Plus qu’un simple mets, elle est un geste de santé, d’hydratation et de préparation au repas. Karine souligne l’importance de commencer nos repas par une soupe, une pratique ancestrale qui nous hydrate, favorise la satiété et nous permet de manger de manière plus équilibrée.

L’appel à privilégier les circuits courts pour s’approvisionner en aliments naturels et saisonniers est un conseil précieux de Karine. Elle nous invite à écouter notre corps, à opter pour des produits frais, loin des transformations industrielles et des additifs. La diététique chinoise, rappelle-t-elle, est une science globale qui vise l’équilibre et la santé par une alimentation consciente et adaptée.

Karine insiste sur l’importance du calme et de la sérénité lors des repas. Manger en pleine conscience, suivre des horaires réguliers et débuter par une hydratation sont autant de clés pour une alimentation qui soutient notre équilibre de vie et notre santé.

Préparer des repas sains n’est pas seulement bénéfique pour notre santé, mais aussi pour notre portefeuille. Karine nous encourage à adopter de nouvelles habitudes alimentaires en hiver, une saison propice à la réflexion et à la préparation de notre corps pour le printemps et l’été. Vivre sainement, consommer mieux et manger mieux, c’est aussi réaliser des économies significatives.

Karine Vimeney nous offre ainsi un guide précieux pour traverser l’hiver avec sérénité et santé, en nous rappelant que l’alimentation est au cœur de notre bien-être. À travers ses conseils, elle nous invite à redécouvrir les gestes simples qui font du bien, pour un hiver chaleureux et une transition tout en douceur vers les beaux jours.

Rendez-vous la semaine prochaine pour plus de conseils santé et bien-être avec Karine.

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