La plaie des moustiques « tombe » sur l’Égypte sans annonce, sans rencontre avec le pharaon, sans menaces particulières. Elle est une sanction du revirement du pharaon après l’épisode des grenouilles. Pour le pharaon, l’importante leçon de cette plaie, c’est l’impossibilité pour les magiciens de faire de même. Faire surgir des moustiques vivants à partir de la poussière est une prérogative de Dieu, le Créateur de la vie (Gn 2.7). D’où la conclusion sans appel des magiciens : « c’est le doigt de Dieu ». les mouches venimeuses Les plaies d’Égypte se répartissent en trois cycles de trois, plus une plaie majeure finale. Au début de chaque cycle, Moïse est envoyé de bon matin rencontrer le pharaon au bord du Nil en présence de toute sa cour. (...)