Y'a un moment dans la vie où quelque chose bascule. Pas parce qu’on rejette les autres, ni parce qu’on décide de se retirer du monde, mais juste parce qu’on commence à voir plus clair, à voir à travers ce qui, avant, nous semblait normal.

Un jour, on n’a plus envie de plaire, de convaincre, de se justifier, de briller. On s’éloigne, non pas par orgueil, mais par lucidité.
On commence à entendre le creux dans certaines conversations, à voir les rôles qu’on joue sans même s’en rendre compte, la danse sociale où chacun se cache derrière un masque et ça ne résonne plus.

Donc, doucement, on se retire un peu. On ne quitte personne. On arrête juste de jouer.
C’est pas de l’isolement, c’est le début d’une solitude choisie. Un espace sacré, suspendu entre celle qu'on était et celle qu’on est en train de devenir.

Dans ce silence, on découvre que la vraie connexion n’a rien à voir avec l’approbation ou la performance, mais avec la présence.
On réalise que beaucoup de liens ne tenaient pas parce qu’ils étaient justes, mais parce qu’ils étaient familiers. Et à partir de là, quelque chose s’ancre.
On ne cherche plus. On ne réclame plus. On n’a plus besoin d’être comprise. On marche plus lentement, plus simplement, avec une dignité tranquille et une paix étrange, sauvage, indomptable.

Ce n’est pas la fin de quelque chose. C’est le début d’un autre type de liberté. Une liberté intérieure. Silencieuse. Claire.
Celle de l’être qui ne performe plus mais qui est.

J'ai hâte d'avoir tes retours sur cet épisode!

De mon coeur au tien,

Gaïa Charline

Encore bouleversée et pas totalement redescendue/remontée de la retraite MUJER qu'on vient de vivre dans les Caraïbes, je te partage ce qu’on a vécu avec les mots qui me viennent (ils sont encore rares et inexistants pour expliquer la profondeur)... Un espace où on a pu entrer dans d’autres plans parce que, d’abord, on s’est offert quelque chose de rare... de la sécurité, beaucoup d’amour, et la permission d’arrêter de se battre intérieurement.

La retraite Mujer (« Femmes ») nous a guidé vers un espace qu'on avait grandement besoin: se rappeler la profondeur de la femme qu’on est vraiment.
Pas celle qu’on joue. Pas celle qu’on protège. La vraie. La sauvage. L'indomptable. Celle qui respire sous les couches, celle qui sait, celle qui n’a jamais disparu.

Je te parle du "travail" de réharmonisation qui s'est enclenché avec nos énergies... Non pas pour devenir une version idéalisée de soi, mais pour arrêter la guerre intérieure.

On a, l'instant d'un moment, calmé le système nerveux. On a déposé les armes en confiance.

Et dans ce silence-là, on a retrouvé l’état brut, celui où la voix devient plus vraie, où l’intuition revient, où la femme sauvage peut enfin reprendre sa place.

Dans ce podcast, je t’amène avec moi dans ce retour, dans ces plans-là, dans ce qui s’est passé quand on a choisi d’ouvrir un espace d’Amour tellement stable que la transformation est devenue inévitable.

De mon coeur au tien,

Gaïa Charline

On nous a longtemps fait croire que la guérison était une course, une ligne d’arrivée à franchir, un état parfait à atteindre.

Mais sur la Voie Sauvage, la guérison, c’est pas une destination. C’est un mouvement, une rivière, un souffle. Elle commence au moment où t'arrêtes de vouloir la contrôler, au moment où tu respires et que tu t’autorises à exister, simplement.

Dans cet épisode, je te parle de cette autre façon de guérir plus douce, plus organique, plus vraie. Celle qui t’invite à honorer ton rythme, à accueillir tes saisons, à faire confiance à la vie qui agit déjà à travers toi. Guérir, ce n’est pas “faire plus”, c’est “laisser être”.

Si tu sens que tu es fatiguée de chercher, de comprendre, de t’améliorer sans cesse, cet épisode va te faire du bien. Il va t’aider à te rappeler que t’es pas brisée, que t’as rien à prouver, et que la guérison n’est pas quelque chose que tu dois atteindre… mais quelque chose que tu laisses venir à toi.

De ma douceur à la tienne,

Gaïa Charline

La Voie Sauvage; vivre de sa médecine sans se perdre

Sur la Voie Sauvage, on apprend à marcher au rythme du vivant.

À écouter ce qui appelle à l’intérieur, à honorer les cycles, les élans, les silences.Cet épisode est une traversée, une invitation à celles et ceux qui souhaitent vivre de ce qu’ils portent, sans se perdre ni s’épuiser. Avec l'inspiration et les vibrations que je porte encore après avoir donné les Grandes Classes Annuelles, c'était évident que je devais venir en parler ici aussi.

Je te partage les 10 fondations de la Voie Sauvage, inspirées de la Roue Médecine.

Des clés de lucidité, de clarté, de posture et de structure pour transformer une passion, un CADEAU, une médecine ou un talent en chemin de vie concret, durable et humain.

On y parle de sécurité intérieure, de constance, de foi, de stratégie comme d’une médecine, et du grand mythe du « je suis dans le flow » ... non pas pour le juger, mais pour réconcilier la liberté et la structure, le souffle et la forme.

Ce n’est pas un épisode sur l’entrepreneuriat... c’est un épisode sur l’art d’être au service, dans la joie, la justesse et la stabilité.

Écoute-le comme un voyage, une rencontre entre la sagesse ancestrale et la réalité d’aujourd’hui.Et si tu sens que cette voie t’appelle, découvre ⁠Momentum⁠, le programme pour celles et ceux qui souhaitent réaligner leur vie professionnelle avec leur âme et vivre de leur passion, sans se trahir.

On se retrouve sur la route de la vie pro de la Voie Sauvage! là où la conscience et la stratégie se rencontrent pour créer du vrai, du durable et du vivant.

De mon coeur au tien,

Gaïa Charline

Dans cet épisode on explore pourquoi tant de personnes croient que le changement profond doit être difficile, long et complexe. On nous a conditionnés à glorifier l’effort, à penser que si quelque chose est trop simple, c’est suspect ou immérité. Pourtant, le véritable saut quantique se produit dans la simplicité, quand on arrête de forcer, de douter et de courir.

Le problème, c’est que l’ego redoute cette simplicité. Il préfère les détours compliqués, parce-que la complexité permet de garder le contrôle et de se cacher derrière le drame. Quand la vérité apparaît dans le silence et l’immobilité, beaucoup sabotent inconsciemment leur transformation...

Je te parle donc dans cet épisode de l'attachement à la complexité et je mets en lumière plusieurs clés:

• La clarté vient de la simplicité, pas de la surenchère d’outils ou de techniques.

• La responsabilité radicale: reconnaître que ce qu’on diffuse inconsciemment et ce que la Voie Sauvage reflète.

• La cohérence intérieure: maintenir une vibration claire et stable même quand rien n’a encore changé autour de soi.

• Le détachement: ne pas étiqueter les expériences comme des échecs ou des réussites, mais les laisser nous traverser.

Le vrai blocage n’est donc pas l’environnement ou le manque d’effort, mais l’attachement à la complexité. Oser choisir la Voie Sauvage, la présence, la cohérence, l’authenticité demande plus de courage que de se réfugier dans le chaos et la "spirituosité".... Et c’est précisément là que le vrai changement devient possible.

Tu me diras si ça t'a parlé!

De mon coeur au tien,

Gaïa Charline

Cet article écrit par Lucie Douville, éditrice pour le magazine Vivre représente très bien la perte de repère lorsqu'on oublie de marcher sur la Voie Sauvage.

Ça m'a touché et je devais te partager.

J'espère que ça touchera aussi ton coeur.

La partie qu'elle partage est celle qu'on a lue lors de notre mariage. Je la porte avec douceur et lumière.

Amor y paz

Gaïa Charline

Dans cet épisode, je te parle d’un moment décisif: quitter une vie bien rangée pour suivre une voie plus libre, plus sauvage.

Je reviens sur mon propre parcours, ce que ça a changé en moi… et surtout, les 5 choses que je prône et pratique.

Un épisode intime, brut, sans filtre pour t’aider si toi aussi, tu sens l’appel de cette fameuse voie sauvage. Un échange de motivation qui part du coeur.

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Gaïa Charline

Il arrive un moment sur le chemin où, malgré l’appel intérieur, on reste figée. Non pas parce qu’on ne sait pas quoi faire… mais parce qu’on a peur. Peur de se tromper, de perdre, d’échouer ou même de réussir.

Dans cet épisode, je parle de ces zones de flou, de doute, où le cœur brûle d’y aller mais où quelque chose retient. Je te rappelle que ce passage fait partie du chemin. Et surtout, qu’on n’a pas à le traverser seule.

Demander de l’aide, c’est un acte de courage.
C’est le début d’un vrai mouvement. D’un éveil vivant, imparfait… et profondément transformateur.

Dans cet épisode, je reviens sur mon retour de France après un pèlerinage intérieur et extérieur, marqué par des ateliers, des cercles et des rencontres vibrantes avec des femmes en chemin. Ce voyage m’a profondément touchée, à la fois par la puissance des liens créés… et par les histoires que certaines m’ont confiées.

Des récits d’espaces "de transformation" où leur rythme, leur corps et leur consentement n’avaient pas été respectés. Des expériences qui m’ont bouleversée et qui m’ont ramenée à une vérité profonde: la vraie puissance de la VOIE SAUVAGE ne se déclenche pas par un autre. Elle s’éveille de l’intérieur, à son propre rythme, avec conscience et sécurité.

Dans cet épisode, je parle aussi de la voie rouge chamanique, cette voie sacrée que j'ai partagé pendant mes événements et qui est, selon mon humble opinion, la voie pour traverser le chaos avec sérénité et sans se perdre.

Une voie que j’ai eu l’honneur de transmettre et de tisser pendant mes espaces en France. Cette médecine, ancestrale et profondément enracinée, invite à SE RAPPELER. La voie rouge n’est pas un chemin spectaculaire : c’est un chemin humble, intime, qui demande écoute, lenteur, ancrage… et amour pour soi. Les femmes qui ont participé ont profondément "travaillé" d'une manière spectaculaire. J'en ai encore les larmes aux yeux.

Je partage cette vision et cette responsabilité que nous avons à tenir des espaces avec intégrité, offrir un cadre clair, et laisser à chacune la souveraineté de sa transformation.

Car la voie sauvage, comme la voie rouge, ne sont pas des chemins où l’on prend le pouvoir sur l’autre. Ce sont des appels à revenir à soi, à son corps, à sa vérité.

En espérant que des petits portails s'ouvriront en toi pendant ce petit partage de coeur. N'hésite pas à me laisser tes feedbacks et à partager autour de toi. Ensemble on fait des vagues agréables dans ce vaste océan qui, parfois se déchaîne.

Merci d'être là.

De mon coeur au tien.