LABO 148

LES ONDES URBAINES - LOU #15 - LABO 148 / SOIREE PAS.SAGE #3

Une émission radio menée par le LABO 148 et présentée par Asma Boulouiz et Camélia Sghayare sur les jeunesses à Roubaix.

Dans le cadre de la saison PAS.SAGE sur les jeunesses à Roubaix, notre émission radio les Ondes Urbaines s’est invitée en direct à l’Alim de la Condition Publique.

A l’occasion des 20 ans de la Condition Publique, le LABO148 s’est associé à l’INA  pour explorer l’histoire de la ville de Roubaix et de la Condition Publique à partir d’archives audiovisuelles. 

L’histoire est regardée sous le prisme des jeunesses à Roubaix, à trois époques : 1984, 2004 et 2024. Cette exploration nous a menés à produire des contenus audiovisuels à partir d’archives.

Plusieurs thèmes ont été abordés dans les vidéos produites par le LABO 148 : la marche pour l’égalité et contre le racisme, le Paris-Roubaix, La rénovation urbaine à l’Alma, le parc Barbieux, la Condition Publique. 

Retour sur la production réalisée par Elodie Requillart, “Briques Rouges et Songes Bleus”, à travers laquelle elle explore poétiquement la Condition Publique, une retour sur la vidéo « Alma Vivra » réalisée par Asma Boulouiz et Agathe Forget avec comme invité Florian Vertriest du collectif d’habitants « Non à la destruction du quartier de l’Alma gare ».

Un retour sur les résidences de cette saison avec le LABO 148

Un moment de discussion avec  nos invités Nordine et Abdel des associations caritatives sur Roubaix On Tend La Main et Le Pouvoir d’un sourire. 

Et un dernier temps humoristique avec Amanda, ventriloque et sa marionnette Ernest.

Merci à nos partenaires et artistes de cette saison PAS.SAGE ; 

Clio Simon, 

Ludivine Large Bessette

Julien Pitinome

Denis Baronnet, 

L’INA, Le Centre national d’arts appliqués - CNAP, 

l’Archipel des lucioles, 

le Labo des histoires, 

PArkour 59

Merci à la technique pour la réalisation de cette émission : Tom, Jeremy, 

Merci à toute l’équipe du Labo 148 mobilisée pour cette émission et cette soirée

LABO148

Le LABO148 est une agence de production de contenus portée par la Condition Publique, un espace d’expérimentation à la lisière entre artistiques et journalistiques. Sa rédaction mêle des volontaires âgés de 15 à 30 ans, vivant à Roubaix et dans toute la métropole lilloise. 

Dans le cadre de la saison « genre et espace public » le Labo 148 propose trois soirées masterclass, en écho avec l'exposition "Des futurs désirables"du Labo 148 en partenariat avec le Frac Grand Large, à découvrir jusqu’au 27 juillet 2022 à la Condition Publique de Roubaix.

Retour sur la masterclass du 8 juin avec Tal Madesta, journaliste et militant trans, qui a échangé avec Marion Pillas, co-fondatrice de la revue La Déferlante, sur la représentation et visibilité des personnes queer, sur son parcours de collereuse et la manière dont les collages ont permis aux personnes issues des minorités, de se réapproprier l’espace public.

Bonne écoute !

Dans le cadre de la saison « genre et espace public » le Labo 148 propose trois soirées masterclass, en écho avec l'exposition "Des futurs désirables"du Labo 148 en partenariat avec le Frac Grand Large, à découvrir jusqu’au 27 juillet 2022 à la Condition Publique de Roubaix.

Retour sur la masterclass du 27 avril avec Adeline Rapon, influenceuse et photographe afroféministe, qui a échangé avec Marion Pillas, co-fondatrice de la revue La Déferlante, sur la sous-représentation des femmes noires et métisses dans l’art, la photographie et les médias. 

Bonne écoute ! 

Ces textes ont été écrits, mis en voix et illustrés par les jeunes participant.es du Labo 148, au cours d’ateliers menés à Roubaix d’octobre 2021 à janvier 2022. Les ateliers, animés par Flora Beillouin en collaboration avec Marion Pillas, co-fondatrice de la revue féministe La Déferlante, se sont attachés à raconter l’intime.

A partir d’une proposition thématique, “l’espace public au prisme du genre”, chacun.e a exploré les méandres de sa mémoire pour revenir sur une expérience vécue et la manière dont celle-ci l’a transformé.e, questionné.e, déconstruit.e. Les voix forment, ensemble, un témoignage pluriel, choral, donnant corps à une cartographie urbaine sensible.

Ces textes ont été écrits, mis en voix et illustrés par les jeunes participant.es du Labo 148, au cours d’ateliers menés à Roubaix d’octobre 2021 à janvier 2022. Les ateliers, animés par Flora Beillouin en collaboration avec Marion Pillas, co-fondatrice de la revue féministe La Déferlante, se sont attachés à raconter l’intime.

A partir d’une proposition thématique, “l’espace public au prisme du genre”, chacun.e a exploré les méandres de sa mémoire pour revenir sur une expérience vécue et la manière dont celle-ci l’a transformé.e, questionné.e, déconstruit.e. Les voix forment, ensemble, un témoignage pluriel, choral, donnant corps à une cartographie urbaine sensible.

Ces textes ont été écrits, mis en voix et illustrés par les jeunes participant.es du Labo 148, au cours d’ateliers menés à Roubaix d’octobre 2021 à janvier 2022. Les ateliers, animés par Flora Beillouin en collaboration avec Marion Pillas, co-fondatrice de la revue féministe La Déferlante, se sont attachés à raconter l’intime.

A partir d’une proposition thématique, “l’espace public au prisme du genre”, chacun.e a exploré les méandres de sa mémoire pour revenir sur une expérience vécue et la manière dont celle-ci l’a transformé.e, questionné.e, déconstruit.e. Les voix forment, ensemble, un témoignage pluriel, choral, donnant corps à une cartographie urbaine sensible.

Ces textes ont été écrits, mis en voix et illustrés par les jeunes participant.es du Labo 148, au cours d’ateliers menés à Roubaix d’octobre 2021 à janvier 2022. Les ateliers, animés par Flora Beillouin en collaboration avec Marion Pillas, co-fondatrice de la revue féministe La Déferlante, se sont attachés à raconter l’intime.

A partir d’une proposition thématique, “l’espace public au prisme du genre”, chacun.e a exploré les méandres de sa mémoire pour revenir sur une expérience vécue et la manière dont celle-ci l’a transformé.e, questionné.e, déconstruit.e. Les voix forment, ensemble, un témoignage pluriel, choral, donnant corps à une cartographie urbaine sensible.

Ces textes ont été écrits, mis en voix et illustrés par les jeunes participant.es du Labo 148, au cours d’ateliers menés à Roubaix d’octobre 2021 à janvier 2022. Les ateliers, animés par Flora Beillouin en collaboration avec Marion Pillas, co-fondatrice de la revue féministe La Déferlante, se sont attachés à raconter l’intime.

A partir d’une proposition thématique, “l’espace public au prisme du genre”, chacun.e a exploré les méandres de sa mémoire pour revenir sur une expérience vécue et la manière dont celle-ci l’a transformé.e, questionné.e, déconstruit.e. Les voix forment, ensemble, un témoignage pluriel, choral, donnant corps à une cartographie urbaine sensible.

Ces textes ont été écrits, mis en voix et illustrés par les jeunes participant.es du Labo 148, au cours d’ateliers menés à Roubaix d’octobre 2021 à janvier 2022. Les ateliers, animés par Flora Beillouin en collaboration avec Marion Pillas, co-fondatrice de la revue féministe La Déferlante, se sont attachés à raconter l’intime.

A partir d’une proposition thématique, “l’espace public au prisme du genre”, chacun.e a exploré les méandres de sa mémoire pour revenir sur une expérience vécue et la manière dont celle-ci l’a transformé.e, questionné.e, déconstruit.e. Les voix forment, ensemble, un témoignage pluriel, choral, donnant corps à une cartographie urbaine sensible.

Ces textes ont été écrits, mis en voix et illustrés par les jeunes participant.es du Labo 148, au cours d’ateliers menés à Roubaix d’octobre 2021 à janvier 2022. Les ateliers, animés par Flora Beillouin en collaboration avec Marion Pillas, co-fondatrice de la revue féministe La Déferlante, se sont attachés à raconter l’intime.

A partir d’une proposition thématique, “l’espace public au prisme du genre”, chacun.e a exploré les méandres de sa mémoire pour revenir sur une expérience vécue et la manière dont celle-ci l’a transformé.e, questionné.e, déconstruit.e. Les voix forment, ensemble, un témoignage pluriel, choral, donnant corps à une cartographie urbaine sensible.