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Or
Découvrez Péché, le podcast de l’identité.
Enfilez vos écouteurs et décelons ensemble les limites du condamnable à travers les 7 grands péchés capitaux qui jouent avec les mœurs et évoluent à travers le temps.
Molière disait qu’être avare : « C’est d’être d’un naturel trop dur que de n’avoir nulle pitié de son prochain ». On sait néanmoins que l’avarice peut prendre différentes formes. Être d’abord élégante, sérieuse, douce et parfois même à l’écoute ! Mais elle finit toujours par prendre le contrôle à nouveau pour atteindre son but et se déplacer au grès de la vie et des opportunités qui se présentent.
Le péché de l’avarice est décrit comme une perte de liberté en échange de l’obtention de biens matériels, d’argent ou de pouvoir. Un véritable pacte avec le diable. Mais comment faire lorsque le diable émane de soi, lorsque cette brillante attirance vient guider le quotidien et mettre des œillères sur le reste.
On dit aussi que l’avare est prêt à vivre dans des conditions misérables pour conserver ses biens, réussir finalement à oublier les conséquences de ses actes pour ne faire régner que son objectif.
Si je vous parle aujourd’hui de ce péché, c’est pour découvrir l’histoire de Sylvie, cette chorégraphe grenobloise qui a un jour croisé le chemin de l’avarice. À travers son histoire, elle raconte que les biens les plus précieux sont plutôt ce que nous construisons, ce que nous créons et ce que nous partageons.
Observons ensemble que l’avarice née parfois d’un système, bénéficie des tabous pour se renforcer et ne laissent souvent que des conséquences silencieuses derrière elle.
Vous écoutez Péché, épisode 2, l’avarice.
Épisode écrit et enregistré par Daphné Vuillet.
Le mixage et la composition musicale c'est Gianni Colucci.
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Découvrez Péché, le podcast de l’identité.
Enfilez vos écouteurs et décelons ensemble les limites du condamnable à travers les 7 grands péchés capitaux qui jouent avec les mœurs et évoluent à travers le temps.
Molière disait qu’être avare : « C’est d’être d’un naturel trop dur que de n’avoir nulle pitié de son prochain ». On sait néanmoins que l’avarice peut prendre différentes formes. Être d’abord élégante, sérieuse, douce et parfois même à l’écoute ! Mais elle finit toujours par prendre le contrôle à nouveau pour atteindre son but et se déplacer au grès de la vie et des opportunités qui se présentent.
Le péché de l’avarice est décrit comme une perte de liberté en échange de l’obtention de biens matériels, d’argent ou de pouvoir. Un véritable pacte avec le diable. Mais comment faire lorsque le diable émane de soi, lorsque cette brillante attirance vient guider le quotidien et mettre des œillères sur le reste.
On dit aussi que l’avare est prêt à vivre dans des conditions misérables pour conserver ses biens, réussir finalement à oublier les conséquences de ses actes pour ne faire régner que son objectif.
Si je vous parle aujourd’hui de ce péché, c’est pour découvrir l’histoire de Sylvie, cette chorégraphe grenobloise qui a un jour croisé le chemin de l’avarice. À travers son histoire, elle raconte que les biens les plus précieux sont plutôt ce que nous construisons, ce que nous créons et ce que nous partageons.
Observons ensemble que l’avarice née parfois d’un système, bénéficie des tabous pour se renforcer et ne laissent souvent que des conséquences silencieuses derrière elle.
Vous écoutez Péché, épisode 2, l’avarice.
Épisode écrit et enregistré par Daphné Vuillet.
Le mixage et la composition musicale c'est Gianni Colucci.
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