Il y a ceux qui ne veulent rien voir. Et ceux qui ouvrent un œil et peut-être même les deux : notre maison brûle bel et bien, et certainement plus vite qu’on ne le voudrait. 

Un constat qui génère de plus en plus d’éco anxiété… et on le comprend ! 

Comment rester positif et croire si ce n’est à des lendemains qui chantent, à des lendemains tout court ? Comment garder espoir quand on est bombardés d’infos de plus en plus alarmantes sur la santé de notre planète ? 

Pour aborder ce sujet ô combien important et surtout, avoir quelques clés si comme moi, l’éco anxiété vous guette ou que vous éprouvez déjà ce sentiment, j’ai le plaisir de recevoir Charlotte Ogier, facilitatrice du Travail Qui Relie.

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Si je vous dis quelles fleurs offrir à la Saint Valentin, il y a fort à parier que vous allez me répondre à l’unanimité des “roses rouges”. Et c’est bien normal : la rose rouge est LE symbole de l’amour par excellence et il s’en vend près de 200 millions chaque année pour célébrer la fête de l’amour. . 

Alors je sais ce que vous allez vous dire… C’est quoi, encore, le problème ? 

Le problème, c’est que ces roses, outre le fait qu’elles sont gavées de pesticides, sont cultivées à l’autre bout du monde ou dans des serres surchauffées. Notre empreinte carbone explose par devers nous. Et puis les pesticides dont elles sont copieusement abreuvées ne sont pas sans conséquences sur notre santé. Tout ça, à la fin, c’est pas joli-joli.

On fait quoi alors, on arrête les roses ? Pas forcément… Et pour y voir plus clair, j’ai le plaisir de recevoir Olivier Gental qui va nous éclairer sur les fleurs responsables !

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Si je vous dis quelles fleurs offrir à la Saint Valentin, il y a fort à parier que vous allez me répondre à l’unanimité des “roses rouges”. Et c’est bien normal : la rose rouge est LE symbole de l’amour par excellence et il s’en vend près de 200 millions chaque année pour célébrer la fête de l’amour. . 

Alors je sais ce que vous allez vous dire… C’est quoi, encore, le problème ? 

Le problème, c’est que ces roses, outre le fait qu’elles sont gavées de pesticides, sont cultivées à l’autre bout du monde ou dans des serres surchauffées, par des ouvriers souvent exploités. Tout ça, à la fin, c’est pas joli-joli : notre empreinte carbone explose par devers nous. Et puis les pesticides dont elles sont copieusement abreuvées ne sont pas sans conséquences sur notre santé. 

On fait quoi alors, on arrête les roses ? Pas forcément… Et pour y voir plus clair, j’ai le plaisir de recevoir Olivier Gental qui va nous éclairer sur les fleurs responsables !

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Parce que les fêtes de noël approchent à vitesse grand V et qu’elles sont souvent l’occasion d’être confrontés à tata Simone, 62 ans, grande voyageuse est climatosceptique ou votre beau frère Michel, 43 ans, amoureux de bonne bidoche et défenseur infatigable de la côte de boeuf en toute occasion, voici quelques clés et réparties bien senties pour leur clouer le bec sans jeter de froid polaire entre vous… 

Pour ce bingo écolo, j’ai le plaisir de recevoir Caroline Vivant, co-fondatrice de Le Kaba, un véritable guide qui offre des solutions concrètes pour consommer de façon plus éco-responsable, adopter des éco-gestes et protéger la planète. 

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On ne peut plus dire aujourd’hui qu’on ne le sait pas : la fast fashion… c’est le mal ! 

Oui mais.. le mal comment, exactement ? Et au fond, est-ce qu’on veut vraiment le savoir ? Parce que bon, ce petit tee shirt à 8,90 euros, il nous fait quand même de l'œil et puis, on ne va pas se mentir, vu nos finances du moment, c’est compliqué d’investir plus… Surtout que bon, on connait la chanson : si c’est pas cher, c’est que quelqu’un paye le prix, d’accord. Mais si c’est cher, c’est pas forcément ni quali, ni responsable. On s’y perd un peu, à la fin, et quitte à se perdre… autant ne pas y laisser un smic, non ? 

NON…! 

Pour comprendre pourquoi la Fast Fashion est vraiment un problème et pourquoi il est urgent d’en finir avec elle, mais surtout, comment on peut s’y prendre pour s’en passer sans être le roi du pétrole, je reçois aujourd’hui Léa Camilleri qui propose “ Les mammouths ne portaient pas de crop top”, un excellent documentaire sur la fast fashion. 

Bonne écoute !

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La décoration et l'aménagement de nos intérieurs peuvent parfois être perçus comme étant futiles, à plus forte raison face au dérèglement climatique de notre planète et aux troubles de notre monde... Pourtant, il ne fait AUCUN DOUTE que notre toit est notre base, notre QG, l’endroit où on se ressource et où on se sent le plus en sécurité, 

Quel est le lien entre la nature et l'équilibre de nos intérieurs ? Comment conjuguer déco et respect du vivant ? La déco peut-elle nous aider à renouer avec la joie ? Enfin, a-t-elle une place et un rôle à jouer face à l’urgence climatique ?

Pour en parler, je reçois aujourd'hui Billie Blanket et Caroline Watelet, autrices du livre Vert Toit qui vient tout juste de paraître aux éditions Chêne. 

Dans cet épisode, on a parlé des cinq éléments, du chi et du bagua, de l'importance de l'agencement des pièces, de la mémoire des murs et peut être un peu aussi de fantômes ...!

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Pour compléter les interviews liées à des thématiques dédiées, j’avais envie de donner la parole à ceux qui s’engagent. Quand je dis ça, je ne pense pas nécessairement à ceux qui ont tout bon sur l’échelle du parfait petit écolo (est-ce que ça existe seulement ?!) mais bien à tous ceux, dont je fais partie, qui essayent de comprendre et de changer, même un tout petit peu. 

j’ai envie de comprendre pourquoi on s’engage. Et comment, bref, quels choix on peut encore faire à notre échelle pour cheminer vers une consommation raisonnée, éclairée et joyeuse. Si si ! 

Aujourd’hui, je reçois Marie-Paola, photograhe de mode et agricultrice engagée en devenir.

Avec Marie-Paola, on a parlé mode de seconde main, coût de nos choix engagés, élever des enfants à Paris et leur offrir de la nature quand même, déculpabilisation.

Bonne écoute ! 

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Cet épisode parle de déco éthique, de COV et polluants dans les meubles, de solution pour se meubler pas cher, de labels FSC et PEFC !

Il est encore un champs qui peut mieux faire en matière de respect de la planète et de ses habitants… J’ai nommé… La déco, bien sûr ! 

Entre les meubles fabriqués à l’autre bout de la planète et pour lesquels il faut abattre des arbres centenaires à la pelle, les labels douteux, les polluants qui émanent de nos meubles et de notre déco à l’insu de notre plein gré ou bien encore les tendances qui nous incitent à changer de décors tous les quatre matins, on peut aisément se dire qu’en matière de déco responsable, on a encore un peu de marge ! 

Oui mais.. La seconde main est-elle forcément la solution ? Comment on fait pour répondre à nos envies sans compromettre la planète ? Et comment on se meuble joliment sans y laisser un rein ? 

Pour répondre à toutes ces questions, j’ai le plaisir de recevoir Emmanuelle Mayer, journaliste spécialisée dans l'habitat, consultante et autrice du livre la Déco Ethique paru le 16 mai aux éditions Eyrolles ! 

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Voyager responsable, épisode 3 ! 

Le tourisme est l’un des secteurs les plus polluants et néfastes pour le climat, notamment à cause de notre choix de mode de transport : voyager loin implique de prendre l’avion. Et l’avion, on le sait, ben c’est pas génial pour notre empreinte carbone, laquelle devrait être à 2T d’équivalent CO2 par an et par personne d’ici 2030 quand elle tourne aujourd’hui plutôt autour des 6T. 

Dans le contexte de l’urgence climatique, est-on condamnés à ne plus voyager ? 

Pour poursuivre cette réflexion autour du voyage responsable, j’ai le plaisir de recevoir Elisa que vous connaissez peut être sous le pseudo Instagram Et Dieu Créa. Elisa a fait du voyage en van sa spécialité : je lui ai demandé de nous donner ses meilleurs conseils ! 

Avec Elisa, on a parlé de Mac Gyver, d'oreillers à mémoire de forme, de soupes en briques mais aussi, rassurez-vous !, de tous ses conseils pour un voyage en van aux petits oignons.

Bouclez vos ceintures, c'est parti !

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Voyager responsable, épisode 2 ! 

Le tourisme est l’un des secteurs les plus polluants et néfastes pour le climat, notamment à cause de notre choix de mode de transport : voyager loin implique de prendre l’avion. Et l’avion, on le sait, ben c’est pas génial pour notre empreinte carbone, laquelle devrait être à 2T d’équivalent CO2 par an et par personne d’ici 2030 quand elle tourne aujourd’hui plutôt autour des 6T. 

Dans le contexte de l’urgence climatique, est-on condamnés à ne plus voyager ? 

Pour poursuivre cette réflexion autour du voyage responsable et comprendre en particulier pourquoi il est aussi urgent (que plaisant !) de voyager en train, j’ai le plaisir de recevoir Benjamin Martinie, fondateur de Hourrail et youtubeur plus connu sous le nom de Tolt. 

Dans cet épisode, on parle prix du billet de train, train vs avion, nouvelle façon de concevoir le voyage, et vacances, bien sûr :)

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