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Normalien, docteur en physique quantique entre la France et l’Australie, Jean-François Morizur fonde Cailabs à Rennes, en 2013, après un détour par le Boston Consulting Group. Son idée : exploiter une technologie de mise en forme de la lumière pour multiplier les capacités de transmission des fibres optiques. Dix ans plus tard, la même innovation propulse Cailabs dans une autre dimension.
La PME bretonne s’est imposée comme un acteur mondial du New Space, grâce à sa technologie capable de stabiliser les faisceaux laser perturbés par l’atmosphère. Un savoir-faire devenu stratégique à l’heure où les communications par laser entre satellites et stations au sol explosent, plus rapides, plus sécurisées et plus difficiles à intercepter que les ondes radio.
Cailabs, qui emploie plus de 150 personnes, collabore désormais avec les grandes agences spatiales et les armées occidentales. À 39 ans, ce passionné de science-fiction — lecteur assidu d’Iain M. Banks — voit dans la maîtrise de la lumière non pas un simple défi scientifique, mais une promesse d’indépendance technologique.
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
By ChallengesNormalien, docteur en physique quantique entre la France et l’Australie, Jean-François Morizur fonde Cailabs à Rennes, en 2013, après un détour par le Boston Consulting Group. Son idée : exploiter une technologie de mise en forme de la lumière pour multiplier les capacités de transmission des fibres optiques. Dix ans plus tard, la même innovation propulse Cailabs dans une autre dimension.
La PME bretonne s’est imposée comme un acteur mondial du New Space, grâce à sa technologie capable de stabiliser les faisceaux laser perturbés par l’atmosphère. Un savoir-faire devenu stratégique à l’heure où les communications par laser entre satellites et stations au sol explosent, plus rapides, plus sécurisées et plus difficiles à intercepter que les ondes radio.
Cailabs, qui emploie plus de 150 personnes, collabore désormais avec les grandes agences spatiales et les armées occidentales. À 39 ans, ce passionné de science-fiction — lecteur assidu d’Iain M. Banks — voit dans la maîtrise de la lumière non pas un simple défi scientifique, mais une promesse d’indépendance technologique.
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