C’est à un domaine en plein développement que s’attaquent aujourd’hui Nicolas et Valentin : la détection de planètes autour d’autres étoiles que notre soleil. Nicolas explique comment de minuscules variations dans la lumière d’une étoile permettent d’induire la présence d’une planète et même certaines de ses caractéristiques. Valentin de son côté, part vers l’Amérique latine et le monde de la bossa nova, avec en particulier Corcovado (Quiet Nights of Quiet Stars) d’Antonio Carlos Jobim. Sa nouvelle chanson, Noisy Lights of Busy Stars, est interprétée et produite par leur comparse Alexandre Le Nagard.

Les sondes Voyager ont renvoyé une moisson d’informations sur les planètes gazeuses du système solaire : Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune. Quatre décennies après leur lancement, elles nous renseignent sur les confins du système solaire et même sur l’espace interstellaire. De quoi conclure la nouvelle chanson de Valentin, Modern Voyage, de façon contemplative et ouverte sur l’infini.

En 1977, deux sondes sont lancées à l’assaut du système solaire, munies de nombreux instruments et selon une trajectoire complexe. Nicolas les présente à Valentin, à qui ce voyage en évoque un autre : le thème Maiden Voyage, de Herbie Hancock, enregistré par le groupe vocal The Third Wave dans un arrangement de George Duke.

C’est à un domaine en plein développement que s’attaquent aujourd’hui Nicolas et Valentin : la détection de planètes autour d’autres étoiles que notre soleil. Nicolas explique comment de minuscules variations dans la lumière d’une étoile permettent d’induire la présence d’une planète et même certaines de ses caractéristiques. Valentin de son côté, part vers l’Amérique latine et le monde de la bossa nova, avec en particulier Corcovado (Quiet Nights of Quiet Stars) d’Antonio Carlos Jobim. Sa nouvelle chanson, Noisy Lights of Busy Stars, est interprétée et produite par leur comparse Alexandre Le Nagard.

Avec Ganymède et Callisto, Nicolas poursuit et achève son exploration des lunes de Jupiter, non sans évoquer également ses innombrables autres satellites. De même, Valentin termine la trajectoire complexe des nombreuses modulations de sa nouvelle chanson, en essayant de montrer en quoi l’expressivité mélodique n’est pas incompatible avec les harmonies biscornues. Enfin prête, la chanson Fly Me To The Galilean Moons est maintenant enregistrée et produite par Alexandre Le Nagard.

Et si on allait faire un tour du côté de Jupiter ? Nicolas et Valentin examinent aujourd’hui les quatre lunes principales de cette planète géante, découvertes par Galilée au dix-septième siècle. Nicolas évoque l’importance historique de cette découverte et entreprend de décrire ces lunes successivement, en commençant par Io et Europe. Valentin dégaine la chanson In Other Words de Bart Howard, rendue célebrissime notamment par Frank Sinatra sous le titre Fly Me To The Moon… et en profite pour régler encore une fois son compte à une vieille connaissance harmonique : l’anatole. Le fruit de ces travaux pourra être entendu dans la deuxième partie de cet épisode : la nouvelle chanson Fly Me To The Galilean Moons."

Pour cet épisode spécial consacré au musicien et astronome William Herschel (1738-1822), Nicolas et Valentin se rendent chez le claveciniste et continuiste Richard Siegel, qui parle de la musique du XVIIIe siècle et illustre son propos de quelques pièces d’Herschel. Privé de piano, Valentin se rabat sur la rubrique people en présentant de nombreuses anecdotes sur Herschel, sa sœur Caroline et son fils John. Nicolas met en évidence l’importance de son apport au monde de l’astronomie à travers ses découvertes majeures (la planète Uranus, les rayons infrarouges) et ses travaux moins connus (la fabrication de télescopes, les premières représentations de la Voie lactée, l’inventaire systématique qui débouchera sur le NGC encore en usage aujourd’hui).

Pour cet épisode spécial consacré au musicien et astronome William Herschel (1738-1822), Nicolas et Valentin se rendent chez le claveciniste et continuiste Richard Siegel, qui parle de la musique du XVIIIe siècle et illustre son propos de quelques pièces d’Herschel. Privé de piano, Valentin se rabat sur la rubrique people en présentant de nombreuses anecdotes sur Herschel, sa sœur Caroline et son fils John. Nicolas met en évidence l’importance de son apport au monde de l’astronomie à travers ses découvertes majeures (la planète Uranus, les rayons infrarouges) et ses travaux moins connus (la fabrication de télescopes, les premières représentations de la Voie lactée, l’inventaire systématique qui débouchera sur le NGC encore en usage aujourd’hui).

Suite et fin du double épisode sur les trous noirs. Nicolas évoque différents procédés d’observation, ainsi que la récente publication de résultats du Event Horizon Telescope. Il se lance ensuite dans une explication du rayonnement de Hawking, ce qui le conduit à récapituler quelques principes de mécanique quantique. Valentin met la dernière main à sa chanson, en y introduisant notamment une «blue note» - il explique en quoi ce procédé fait généralement signe vers des musiques populaires plutôt que savantes. La chanson Let My Black Hole Grow enfin prête, nous la découvrons dans une interprétation d’Alexandre Le Nagard rendant hommage au blues des années 1930.

Suite et fin du double épisode sur les trous noirs. Nicolas évoque différents procédés d’observation, ainsi que la récente publication de résultats du Event Horizon Telescope. Il se lance ensuite dans une explication du rayonnement de Hawking, ce qui le conduit à récapituler quelques principes de mécanique quantique. Valentin met la dernière main à sa chanson, en y introduisant notamment une «blue note» - il explique en quoi ce procédé fait généralement signe vers des musiques populaires plutôt que savantes. La chanson Let My Black Hole Grow enfin prête, nous la découvrons dans une interprétation d’Alexandre Le Nagard rendant hommage au blues des années 1930.