Le portrait

Direction les Etats-Unis, où Susie Wiles sera la future cheffe de cabinet de Donald Trump : une femme de l’ombre, admirée et redoutée

Susie Wiles, c’est la femme qui murmure à l’oreille de Donald Trump. Elle a été codirectrice de sa campagne, et elle a mené l’homme d’affaires, ex-président déchu, vers la victoire. Elle sera sa "chief of staff", sa cheffe de cabinet, à la Maison-Blanche. À 67 ans, c’est la première femme à occuper ce poste, souvent décrit comme le plus important après la présidence. Elle devra gérer la Maison-Blanche, mettre sur pied l’équipe du président, la superviser, mais aussi fixer sa ligne politique.

La "femme de glace", comme l’appelle le futur président est discrète, mais aussi puissante.

"La plus redoutée et la moins connue des stratèges politiques aux Etats-Unis", selon le Politico. Lors de son premier mandat, Donald Trump en a usé quatre des chefs de cabinet. Mais, d’après les commentateurs, Susie Wiles pourrait bien tenir sur la longueur. Il faut dire qu’elle est experte en hommes célèbres, instables et dysfonctionnels.

Suzie Wiles gravite dans la politique depuis plus de 40 ans…

Dans les années 80, elle travaille pour Ronald Reagan. Elle participe aussi à la campagne de George W. Bush. Elle a déjà mené la campagne de Donald Trump en Floride. Elle participe également à la victoire de Ron de Santis, en 2018, en tant que gouverneur de l’Etat de Floride.

En disgrâce après l’épisode du Capitole, Trump cherche à se remettre sur pied.

En mars 2021, il appelle Susie Wiles : "C’est un p.. de bordel," lui dit Trump, j’ai besoin de vous. Elle l’aidera à mettre de l’ordre, et à écraser Ron DeSantis lors des primaires républicaines. Une vengeance personnelle. Susie Wiles est décrite comme très intelligente, d’un calme à toute épreuve. Son père, Pat est un ancien footballeur devenu célèbre commentateur sportif, il était alcoolique, déjà petite, Susie a dû apprendre à gérer.

Cette américaine modérée parviendra t’elle à garder l’équipe de Trump sur les rails ?

Certains la voient comme un garde-fou à ses côtés. Susie Wiles est ce qu’on appelle une femme d’influence. Et elle a un réseau tentaculaire, elle sait aussi se servir de la presse et même la manipuler selon certains. Aujourd’hui, Susie Wiles est la personne la + importante auprès de la personne la + importante des Etats-Unis. L’avenir nous dira ce qu’elle fera de ce pouvoir considérable.

A quelques jours du début de sa tournée d'adieu intitulée "Je tire ma révérence", Sylvie Vartan confirme sa fin de carrière

"J'ai vécu sur un volcan depuis mes débuts, il y a 63 ans. J'ai tellement fait que, à un moment donné, à 80 ans, il faut se calmer un peu, il est temps, a déclaré la chanteuse à l’AFP. L'occasion de regarder dans le rétroviseur sur sa carrière magique qui dure depuis plus de 60 ans ! Et quel parcours : 44 albums studio, + de 40 millions d’albums vendus à travers le monde.

Parmi les chansons préférées de son répertoire, Sylvie Vartan en retient notamment deux : la 1ère, c’est Un peu de tendresse, une chanson ravissante de 1967, la 2ème, c’est la Maritza, un titre qui évoque son enfance en Bulgarie. 

À 7 ans, la petite Sylvie ne parle pas français. Elle est née dans un village de Bulgarie et n’arrivera en France qu’un an plus tard, quand ses parents décident de fuir le joug de la dictature communiste. Sous le joug est justement le titre du film qu’elle tourne avant de quitter son pays natal. Elle y tient le rôle d’une écolière. Une expérience qui lui donne le goût du spectacle.

Evènements marquants de sa vie… À deux reprises, en 1968 et 1970, Sylvie est victime d’un accident de voiture.

La première fois, c’est elle qui conduit et sa passagère est tuée sur le coup. La seconde, c’est Johnny qui est au volant quand le véhicule quitte la route. Grièvement blessée au visage après avoir traversé le pare-brise, Sylvie part aux États-Unis subir une série d’opérations de chirurgie réparatrice qui sauvent son visage – et sa carrière.

C’est lors de ce séjour outre-Atlantique qu’elle prend des cours de danse avec le professeur de danse de Barbra Streisand

Ils vont donner une nouvelle dimension à ses shows. La Sylvie un peu maladroite qui ne chantait pas toujours très juste fait place à la meneuse de revues « à l’américaine ». Ce sera sa marque de fabrique tout au long des années 70. En 1982, elle se produit à Las Vegas, la Mecque du show à paillettes, c’est la consécration ! En 1990, elle fait un émouvant retour dans son pays natal et donne un concert devant un public bulgare conquis. En 2004, Sylvie Vartan publie son autobiographie, Entre l'ombre et la lumière.

Côté vie privée, Sylvie Vartan épouse Johnny Hallyday en avril 1965 à Loconville et donne naissance à leur fils, David Hallyday

Ils forment l'un des couples les plus glamours de l'époque des yéyé. Elle se remarie en 1984 avec Tony Scotti, un producteur américain. Ensemble, ils adoptent Darina, une fillette bulgare née en 1997. David Hallyday donne à Sylvie trois petits-enfants; Ilona, Emma et Cameron.

La résistante Madeleine Riffaud est décédée à l'âge de 100 ans, cette femme a eu mille vies

Résistante, torturée et condamnée à mort par la Gestapo, puis poétesse, écrivain, correspondante de guerre…Madeleine aura tout vécu ou presque… IL y a 3 mois, elle avait publié le dernier tome de « Madeleine, résistante », ses mémoires de guerre en BD. Elle était probablement la dernière survivante à avoir participé à la Résistance.

Née en 1924 dans la Somme, cette fille unique d’instituteurs rejoint la résistance à 16 ans, à Paris

Madeleine Riffaud devient agent de liaison avec ses compagnons communistes de la faculté de médecine. Elle prend le nom de code « Rainer », en hommage au poète allemand Rainer Maria Rilke, pour signifier qu’elle « n’est pas en guerre contre le peuple allemand mais contre les nazis »

En juillet 44, Madeleine Riffaud est âgée de 19 ans à peine

La jeune fille se trouve en plein cœur de Paris et abat de deux balles dans la tête un militaire allemand sur le pont de Solférino. Un geste de résistance qui lui vaudra des jours de torture dans les bas-fonds de la rue des Saussaies, au siège de la Gestapo. Condamnée à mort, elle parvient à s’échapper du dernier convoi de déportés politiques parti de Paris pour Buchenwald et Ravensbrück.

Femme, mineure et tuberculeuse, Madeleine Riffaud désespère de ne pas pouvoir être enrôlée dans l’armée régulière pour poursuivre le combat

Grâce à Paul Éluard, qui repère son talent d’écriture et ses poèmes, elle commence une carrière de journaliste. D’abord dans Ce Soir, dirigé par Louis Aragon, puis dans La Vie ouvrière. Madeleine couvre les grèves nationales. Elle devient aussi l’amie de Picasso.

En 1954, elle part au Viêt-Nam pour surveiller la bonne application des accords de Genève

Elle se marie avec le poète Nguyên Đình Thi. 3 ans + tard, Madeleine intègre le quotidien L’Humanité pour couvrir la guerre d’Algérie. Dans ses articles, elle dénonce les rafles qui ont lieu à Paris, la torture des opposants algériens. Elle se rend régulièrement en Algérie, souvent clandestinement pour échapper à l’Organisation de l’armée secrète qui l’a condamnée à mort. En 62, elle est victime d’un attentat : un camion militaire percute frontalement sa voiture. Lourdement blessée, elle passe plusieurs mois à l’hôpital.

L’an dernier, l’héroïne était revenue dans l’actualité pour une triste affaire d’escroquerie dont elle a été victime

Madeleine Riffaud était infirme, l’ex reporter de guerre était aussi malvoyante depuis la guerre d’Algérie où elle a perdu l’usage de son œil gauche. Bref, depuis plus de 10 ans, elle confiait ses soins à Myriam, une aide à domicile. Qui s’est copieusement servie sur les comptes de la nonagénaire, détournant plus de 140 000 euros. Elle a été condamnée il y a qq mois.

Madeleine Riffaud était malvoyante, mais loin d’être aveugle !

C’est vrai, cette femme étonnante de lucidité sur le monde a été nourrie par son expérience de vie. L’ancienne combattante pour la Libération de Paris a été multidécorée pour ses faits d’armes. C’était aussi une femme drôle avec un formidable talent de conteuse selon ses proches.

On fête un anniversaire aujourd’hui ! Les 40 ans de Canal +

On est au milieu des années 80, et c’est le président François Mitterrand qui confie le développement de la quatrième chaîne télévisée française à un homme : André Rousselet, ancien directeur de cabinet à l’Élysée. Assez rapidement, le directeur se rapproche de deux hommes : Pierre Lescure et Alain De Greef. C’est le début d’un long travail avant la naissance de la première chaîne de télévision privée payante en France. Un groupe se compose alors et l’idée émerge de mettre le cinéma au cœur de cette future chaîne télévisée. Le septième art doit représenter 50% des contenus, pour les 50 autres, le sport semble être une bonne option, notamment la diffusion des matchs de foot.

La légende raconte que Canal+ doit son nom à une erreur d’impression. À la base, la chaîne devait s’appeler Canal 4, mais lors de l’élaboration du dossier, ce n’est pas le chiffre qui est photocopié, mais le signe +. Finalement, la direction adopte ce nom inattendu.

Un an après sa création, fin 85, les premiers films pornographiques sont diffusés

Ils s’integrent à l’identité de Canal + au même titre que le cinéma et le foot. C’est à l’époque une révolution. On raconte que c’est la lettre d’un abonné septuagénaire, expliquant qu’au vu de son grand âge, il ne peut plus se rendre au cinéma pour regarder des contenus X, qui pousse la direction à se tourner vers les films érotiques.

Et puis, de nombreuses personnalités ont connu la lumière grâce à Canal+

C’est le cas de l'humoriste Coluche mais aussi des Nuls, composé d’Alain Chabat, Chantal Lauby et Dominique Farrugia. Des émissions cultes ont également marqué l’histoire de la télévision, à commencer par les Guignols de l’info

Parmi les talk-shows les plus emblématiques de la chaîne, il y a évidemment Nulle part ailleurs

De 1987 à 2001, cette émission pilotée par Philippe Gildas puis Guillaume Durant et Nagui est restée dans toutes les mémoires en mélangeant habilement information, musique et humour, avec les sketchs mémorables du tandem Antoine de Caunes/ José Garcia. Autre talk-show iconique de la chaîne, Le Grand journal, émission mêlant divertissement et actualités. Un rendez-vous présenté pendant neuf ans par Michel Denisot. Le Zapping, le Jamel Comedy Club ou encore Groland ou font aussi partie des émissions phares de Canal+.

Plus récemment, Thierry Ardisson a incarné un autre talk-show emblématique de la chaîne, avec Salut les terriens avant de basculer sur C8. Aujourd’hui, à 40 ans, Canal+ n’a jamais été aussi jeune et aussi puissante. La chaîne payante est aujourd’hui devenue un grand groupe international. Elle totalise près de 27 millions d’abonnés dans le monde

Ahoo Daryaei. C’est le nom de la nouvelle figure de la lutte pour la libération des femmes en Iran…

L’image a fait le tour du monde. Après un accrochage avec la police des mœurs au sujet d’un foulard mal ajusté, cette étudiante de l’Université Azad de Téhéran s’est déshabillée en signe de protestation, samedi, avant de déambuler en sous-vêtements sur le campus. Une image de résistance qui a rapidement fait le tour du monde sur les réseaux sociaux. En qq heures, Ahoo est devenue une nouvelle icône du mouvement « Femme, vie, liberté ».

Ahou Daryaei a 30 ans. Elle est mariée et mère de deux enfants, elle étudie la littérature française sur le campus où se sont déroulés les faits. Selon plusieurs groupes militants, AHoo était harcelée au sujet du port de son foulard par des membres de la milice Basij, une force paramilitaire à laquelle les autorités iraniennes font fréquemment appel pour maintenir - brutalement - la loi et l'ordre public. La milice aurait de déchirer son voile qu’ils jugeaient "inapproprié" et ses vêtements. En signe de protestation, Ahoo s’est alors presqu’entièrement déshabillée. Un acte militant "héroïque" salué par de nombreuses femmes, en Iran comme à l'étranger.

Des images, filmées plus tard, montrent la jeune femme jetée dans une voiture par des hommes en civil

Selon le média étudiant "Amir Kabir", Ahooa été battue au cours de son arrestation et pourrait souffrir d'un traumatisme crânien et d'une hémorragie. Après avoir été violemment arrêtée, Ahoo a été emmenée dans un hôpital psychiatrique. Une technique fréquemment utilisée par le régime iranien pour discréditer les actes de protestation des femmes iraniennes. Dans ces centres, les femmes sont « droguées, on les tue psychologiquement, on tente par tous les moyens de les briser, de les remettre dans le droit chemin ».

L’Iran est en proie depuis deux ans à une puissante contestation du pouvoir…

Un mouvement de révolte inédit après la mort de la jeune Kurde Mahsa Amini, arrêtée pour ne pas avoir respecté le code vestimentaire iranien imposé aux femmes. Une révolte réprimée dans le sang par les autorités, avec un bilan d’au moins 551 morts et des milliers de personnes emprisonnées. Voilà pourquoi aujourd’hui, Ahoo Daryaei apparaît en grand danger face à un régime des + autoritaires au monde. Amnesty International exige la libération immédiate de la jeune femme.

Quincy Jones, le grand sorcier de la musique noire américaine nous a quittés

La légende de la musique américaine, Quincy Jones, ancien producteur de Michael Jackson et de Frank Sinatra avait 91 ans. Il y a dix ans, il avait été fait commandeur des Arts et des Lettres, l’une des principales distinctions culturelles en France. «Mister Q » comme on le surnommait disait d’ailleurs : « Même si je suis Américain, la France est dans mon coeur». Quincy Jones a d’ailleurs travaillé pour Eddie Barclay pour financer ses études parisiennes. A cette époque il enregistre des albums de Charles Aznavour, Jacques Brel ou encore Henri Salvador. Il devient ami avec Eddy Mitchell et Johnny Hallyday.

Quincy Jones a commencé sa carrière dans le jazz comme trompettiste avant d’être couronné par le succès mondial !

Grâce à l’album “Thriller” de Michael Jackson en 1982, qui a pulvérisé tous les records de l’histoire du disque. Time Magazine considère Quincy Jones comme l’un des musiciens les plus importants du XXe siècle, avec plus de 400 albums de dizaines d’artistes. Il a collaboré comme musicien, arrangeur et producteur avec les + grands : Frank Sinatra, Barbara Streisand, Jacques Brel, Charles Aznavour, Henri Salvador, ou encore Duke Ellington. Sans oublier Ray Charles dont il a croisé la route adolescent. Ce petit fils d’esclave a aussi étudié à l’université de Seattle, avec Clint Eastwood. Et puis Quincy Jones portait une bague offerte par Frank Sinatra, en souvenir de leurs nombreuses collaborations. Marié 3 fois, père de 7 enfants, il faut savoir que Quincy Jones est aussi un miraculé ! À 14 ans, il est le seul rescapé d’un accident de voiture. Depuis, il n’a jamais conduit. EN 1974, il est victime d’une rupture d’anévrisme. Opéré 2x, il avait une chance sur 1000 de s’en sortir ! Et le miracle a eu lieu !

Quincy Jones a été couvert d’honneurs durant toute sa carrière !

Il a reçu 27 Grammy Awards, un Emmy Award, un Oscar. Sa devise favorite était « Aimer, rire, vivre et donner ». Il l’a respectée à la lettre

Sa première apparition, c’est sur le petit écran, en 1964, et c’est aussi une histoire de famille. La petite Zabou, 5 ans, joue dans Thierry La Fronde, série écrite par son père et dans laquelle joue sa mère.

Après avoir suivi un cursus au cours Simon, sa carrière débute dans les émissions pour enfants avec Dorothée sur Antenne 2. C’est d’ailleurs grâce à Dorothée, dans la tranche Récré A2 que son pseudonyme « Zabou » est choisi.

Au cinéma, c’est dans un film érotique qu’elle décroche un second rôle : « Gwendoline », réalisé par Just Jaeckin, à qui on doit aussi le fameux « Emmanuelle ».

Par après, elle va enchainer des rôles au cinéma. Elle va aussi écrire et mettre en scène des pièces de théâtre. Zabou Breitman fera également des apparitions en télé. Et bien sûr sur la bande FM qui passe son titre enregistré avec Arnold Turboust, « Adélaïde ».

Dimanche dernier, c’est un tube des années 90 qui fêtait son anniversaire. Si je vous passe les premières notes, il y a des chances pour que vous reconnaissiez le morceau.

Le morceau est sorti le 27 octobre 1997. Un titre qui a grimpé dans le top 10 dans les quatre coins du globe et qui a enchainé les disques d’or et de platine. Un titre, mais aussi un clip assez reconnaissable où on voit la chanteuse en compagnie de l’acteur britannique Jeremy Sheffield. Ils forment un couple dans un appartement, filmé en plan fixe.

Le titre est sorti en 1997, mais deux ans plus tôt, « Torn » est sorti d’abord sur l’album d’un groupe de rock américain Ednaswap. Et à votre grande surprise, la première version album ne sera même pas en anglais !

Cela reste probablement aujourd’hui le titre le plus connu du répertoire de la chanteuse australienne, mais elle a sorti en tout six albums en studio, le dernier datant de 2021. Parmi les titres aussi connus, citons « Shiver », sorti en 2005 et « Want » en 2009.

Les fans de foot attendaient le Brésilien Vinicius Junior ; c’est l’Espagnol Rodri qui a finalement remporté le titre. C’est la première fois qu’il reçoit le Ballon d’Or, première fois en 64 ans que le titre est décerné à un Espagnol. Il succède donc à Lionel Messi.

Après être passé par Majadahonda et l’Atlético Madrid, Rodrigo Hernández Cascante arrive en 2013 chez les juniors de Villareal. C’est là-bas qu’il passe pro, en 2015. Il atterri dans le club valencien, car il est tout simplement recalé au centre de formation de l’Atlético de Madrid.

Il intègre le club madrilène où il s’engagera pour cinq saisons et pour un transfert estimé à 20 millions d’euros. Mais il n’y restera qu’une saison. Direction l’Angleterre en 2019 et Manchester City pour 70 millions d’euros. C’est le club dans lequel il évolue depuis lors.

Avec la Roja, l’équipe nationale espagnole, il prend part à l’Euro 2020, au Mondial 2022 et à l’Euro 2024. Son premier but en tournoi majeur se déroulera en huitième de finale face à la Géorgie. Il est élu alors meilleur joueur de l’Euro 2024.

C’est un 26 octobre 1984 que le film sort dans les salles obscures outre-Atlantique. Réalisé par James Cameron, Terminator sortira plusieurs mois plus tard sur le Vieux Continent. Au casting donc : Arnold Schwarzenegger, Linda Hamilton ou encore Michael Biehn.

Terminator vient du futur. Un futur dans lequel la Terre est décimée après un holocauste nucléaire. Une machine, Skynet, contrôlée par intelligence artificielle en veut à tout ce qui peut rester d’humain sur la planète. Face à lui, John Connor, qui incarne la résistance humaine en passe de renverser le pouvoir face à Skynet.

La société de production, Orion Pictures, ne misait pas du tout sur le succès de ce film. Et pourtant ! Il termine n°1 au box-office américain à l’issue de sa première semaine d’exploitation. Il y restera une semaine supplémentaire avant d’être détrôné par « Oh, God ! You Devil ! »

Depuis, le film a fait des petits : des suites au cinéma, une série télévisée, des jeux vidéo… Bref, Terminator bénéficie d’un bel héritage et d’un bon nombre de clins d’œil dans nombre de BD et de jeux vidéo.