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Or


Lors d’un meeting célébrant les 10 ans des Jeunes en marche en juillet 2025, Emmanuel Macron a lancé un message fort à ses soutiens : « J’aurai besoin de vous pour dans deux ans, pour dans cinq ans, pour dans dix ans ». Cette phrase, interprétée comme un signal d’ambition au-delà de 2027, a relancé les spéculations sur un éventuel retour du président en 2032. La Constitution française, en effet, interdit un troisième mandat consécutif, mais n’exclut pas une candidature après une interruption — une possibilité que Macron semble envisager, alors qu’il aura seulement 55 ans en 2032. Cette hypothèse a été renforcée par une anecdote rapportée par Emmanuel Carrère dans The Guardian et reprise par Le Figaro : lors d’un échange avec Donald Trump, ce dernier aurait glissé à Macron « Vous et moi, on en fera un troisième », évoquant ainsi la possibilité d’un retour politique après 2027. Cette déclaration, bien que symbolique, s’inscrit dans un contexte où des appels à la démission ou à la distribution du pouvoir se multiplient, tandis que Macron lui-même a qualifié la limitation des mandats de «funeste connerie ». L’article 6 de la Constitution précise « nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs », mais n’interdit pas un troisième mandat non consécutif. Ainsi, si Macron quitte le pouvoir en 2027, rien ne l’empêche de se représenter en 2032, après un mandat intermédiaire exercé par un autre président. Cette nuance ouvre la porte à plusieurs scénarios, notamment celui d’une démission stratégique ou d’un retrait temporaire, bien que les juristes rappellent que la démission ne réinitialise pas le compteur des mandats consécutifs.
#louisbéduneau #Macron2032 #TroisièmeMandat #Constitution #PolitiqueFrançaise #Présidentielle2032 #MacronTrump #france #politique #projet #analyse #réaction #rn #lfi #renaissance #lr #emmanuelmacron #legislatives2024 #législatives
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By Louis BéduneauLors d’un meeting célébrant les 10 ans des Jeunes en marche en juillet 2025, Emmanuel Macron a lancé un message fort à ses soutiens : « J’aurai besoin de vous pour dans deux ans, pour dans cinq ans, pour dans dix ans ». Cette phrase, interprétée comme un signal d’ambition au-delà de 2027, a relancé les spéculations sur un éventuel retour du président en 2032. La Constitution française, en effet, interdit un troisième mandat consécutif, mais n’exclut pas une candidature après une interruption — une possibilité que Macron semble envisager, alors qu’il aura seulement 55 ans en 2032. Cette hypothèse a été renforcée par une anecdote rapportée par Emmanuel Carrère dans The Guardian et reprise par Le Figaro : lors d’un échange avec Donald Trump, ce dernier aurait glissé à Macron « Vous et moi, on en fera un troisième », évoquant ainsi la possibilité d’un retour politique après 2027. Cette déclaration, bien que symbolique, s’inscrit dans un contexte où des appels à la démission ou à la distribution du pouvoir se multiplient, tandis que Macron lui-même a qualifié la limitation des mandats de «funeste connerie ». L’article 6 de la Constitution précise « nul ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs », mais n’interdit pas un troisième mandat non consécutif. Ainsi, si Macron quitte le pouvoir en 2027, rien ne l’empêche de se représenter en 2032, après un mandat intermédiaire exercé par un autre président. Cette nuance ouvre la porte à plusieurs scénarios, notamment celui d’une démission stratégique ou d’un retrait temporaire, bien que les juristes rappellent que la démission ne réinitialise pas le compteur des mandats consécutifs.
#louisbéduneau #Macron2032 #TroisièmeMandat #Constitution #PolitiqueFrançaise #Présidentielle2032 #MacronTrump #france #politique #projet #analyse #réaction #rn #lfi #renaissance #lr #emmanuelmacron #legislatives2024 #législatives
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