Même s’il fait du cinéma documentaire, des installations publiques, des œuvres multimédias, de la peinture et des pochettes d’albums, Martin Bureau dira qu’il réfléchit sur le monde. Dans cette baladodiffusion, il raconte comment il s’est senti humilié par les galeries parisiennes, explique pourquoi l’aquarelle n’est pas aussi ringarde qu’on le croit et admet qu’il s’est trompé en pensant qu’il ne travaillerait pas en allant en art visuel.