L'écume de mai

Pour le dernier épisode de notre série, plongez avec nous dans les mondes virtuels !

L'avènement du numérique a profondément bouleversé notre rapport à la réalité. Des récits, jusque-là cantonnés à notre imagination, ont peu à peu pris forme devant nos yeux, sur tous nos écrans. Une forme d'art hybride est née, mêlant à la fois force narrative, puissance des émotions et engagement vidéoludique. 

Devenu aujourd'hui un véritable phénomène de société, le "jeu vidéo" a pénétré le quotidien de millions de français et de françaises, du salon au bureau, en passant par le métro. Et il devenu, au fur et à mesure de ses évolutions technologiques et artistiques, un incroyable levier d'immersion, capable aussi de représenter de nouvelles réalités.

Alors peut-il à ce titre devenir le meilleur allié de l'écologie ? Le futur peut-il se (ré)inventer à partir de cette technologie ?

C’est justement ce que l'équipe de L'écume de mai a voulu décrypter dans cet épisode !

Nous sommes partis à la rencontre de professionnels engagés, spécialistes du jeu vidéo et de l'environnement, pour voir quelles représentations du monde véhicule le jeu vidéo, et comment il peut aussi devenir un média qui "connecte" les joueur-se-s autour de questions sociétales. On remercie nos intervenants Maxime Féréol, journaliste chez Gamekult et Pierre-Alain Gagne, gérant et cofondateur de Dowino. En se prêtant au jeu de nos questions, ils laissent apercevoir toute la complexité de cet outil et toutes les facettes de son usage, si particulier.

Mais trêve de bavardage, maintenant, place au podcast ;). Bonne écoute à tous !

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Quelques ressources pour aller plus loin :

Et si on vous disait qu'aujourd'hui, vous pourriez troquer vos habits de tous les jours, pour devenir quelqu'un d'autre ? S'il suffisait juste d'un soupçon de magie, pour changer le destin du monde ? Quel rôle aimeriez-vous jouer dans la quête d'une société plus durable ?

Celui d'un diplomate français, venu défendre un projet de résolution sur la biodiversité à l'O.N.U. ? Celui d'une maraichère voulant convertir sa ferme à la permaculture ? Ou bien celui d'un voyageur dans le temps, à la recherche de ce point de bascule qui changerait le cours de l'Histoire et sauverait le climat ?

Lorsqu'on est submergé par l’ampleur de la tâche, qu'on a du mal à se saisir d'une situation complexe comme la crise climatique, il faut parfois faire un pas de côté. Sortir des discours et faire place à l'action !

Alors, cap sur le 2e épisode de notre série de podcast sur la #Gamification de l'écologie ! Cette fois-ci, on vous emmène à la découverte du Jeu de rôle écolo', pour mobiliser le public !

☀️ Un grand merci à  :

~ Emilie Gueret, responsable RSE à l'école de management KEDGE Business School à #Marseille

~ Vanessa Cecchini, agricultrice à La Ferme du Bouquet, à Baumes-de-Venise dans le #Vaucluse

~ Théo Radakovitch, Fab Manager à La Fabulerie à #Marseille

... d'avoir partagé leurs expériences dans cet épisode !

Et de nous avoir prouvé que, peu importe qu’on soit un grand Groupe ou une PME, un enfant ou un adulte, une agricultrice ou un politique... nous avons décidément tous, un rôle à jouer !

Bonne écoute !

C'est une question qui nous agite tou-te-s : Face à la complexité et aux conséquences de la crise climatique, comment donner envie aux personnes d'agir, tout de suite, en faveur d'un monde plus durable ?

Vous l'avez sans doute remarqué : hisser le drapeau rouge n'est pas toujours la meilleure façon de se faire entendre. Et se poser en donneur-euse de leçon non plus. Mais alors, existe-t-il une manière plus positive de parler de ce sujet, de faire monter le public à bord tout en le faisant (ré)agir ?

Cet automne, pour embarquer vos collaborateurs et amis à vos côtés, on vous suggère de lâcher les rames. Et de passer plutôt aux dés, aux cartes, aux mises en scène et aux scénarios bien ficelés.

Bienvenue dans notre nouvelle série de podcasts consacrée à la Gamification de l'écologie !

Pour cette saison 2, on revient avec une formule sonore fraichement revue et améliorée. On verra ensemble en quoi le serious game est un formidable outil de mobilisation pour parler d'écologie. Mais aussi comment les pros du secteur se l'approprie pour tirer leur épingle du jeu !

Un grand merci à ...

... pour leur intervention dans ce premier épisode. Avec eux, on va voir que, si le jeu permet de retenir l’attention et de vulgariser une notion, c’est parce qu’il est universel. Et que, quel que soit notre âge, notre appartenance sociale ou notre intérêt pour l'environnement, on est tous partants pour s'amuser.

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Pour ce dernier épisode de notre série « Écologie et numérique » nous allons parler Design. Vous n’êtes pas designer ? Qu'à cela ne tienne, le sujet devrait vous passionner quand même, car c’est via le design d'une interface qu’on interagit avec une application, un media social ou un site internet. C’est donc le designer le premier à nous parler, et son rôle est crucial.

Ce point de départ nous a amené à réfléchir à l’éthique dans le numérique. Pour mieux appréhender ce vaste sujet, nous avons embarqué avec Karl Pineau, le co-fondateur de Designers Éthiques et membre de l'association Moutons Numériques.

Les designers éthiques, c’est un collectif - ou plutôt un Think Tank qui réfléchit aux implications du métier de designer et trace les grandes lignes de ce qui pourrait être sa déontologie. Designers, chercheurs et intellectuels s’interrogent sur les évolutions du monde numérique.

Avec Karl, nous avons parlé métier. Quelle est la responsabilité du designer quand son travail a des conséquences sur la nature et l’humain ? Est-il armé pour s’interroger ? Et quelles sont les solutions à sa portée ?

Nous avons aussi parlé de carottes et de bâton, de low tech, de simplification et de biais cognitifs.

On vous laisse avec cette discussion entre philosophie et technique, qui clôt le thème sans le fermer. Bonne écoute !

Pour ce troisième épisode de notre série sur le numérique, cap sur la Fresque du numérique ! Un excellent outil de sensibilisation du public, qui se présente sous forme d’un simple jeu de carte. Il permet à chacun de mettre le doigt sur ce qui se passe derrière les clouds, les datas, les smartphones et les ordinateurs.

Quel est le poids des équipements numériques dans notre sac à dos écologique ? Quels sont les impacts sociaux et éthiques qui se cachent derrière nos utilisations quotidiennes ?

Pour mieux saisir comment ce joyeux outil permet d’appréhender, collectivement, l’intégralité des impacts qui se cache derrière notre consommation numérique, on est allé discuter avec Aurélien Deragne. À l’origine ingénieur puis développeur et animateur de la Fresque du Climat, il a décidé, avec Yvain Mouneu d’adapter l’outil à la question du numérique.

Avec lui, nous avons voulu comprendre comment le fait de jouer ensemble aide à s’approprier le sujet et à appréhender des données aussi complexes que le rapport du GIEC ? On s’est aussi demandé si le numérique pouvait être plus écologique ? Et si oui, alors comment réduire sa place tout en préservant son intérêt ?

Un entretien passionnant un peu plus long que les précédents, mais qui devrait vous captiver de bout en bout, que vous soyez professionnels du numérique ou simple utilisateurs.

Attention par contre, il pourrait bien vous donner envie vous inscrire immédiatement à un atelier Fresque, en présentiel ou bien depuis chez vous.

Bonne écoute !

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Quelques compléments, pour aller plus loin :

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Connaissez-vous L'écume de mai ? Nous sommes un collectif de freelances, engagé dans le marketing écoresponsable et la communication de solution. Pour amplifier l’impact des initiatives positives, et parce qu’on n’a pas peur de se mouiller, on ouvre aujourd’hui les portes de notre laboratoire d’idée : la vague, et c’est elle que vous surfez actuellement !

Deuxième épisode de notre série de podcasts consacré à la sobriété numérique ! Cette fois-ci on vous emmène derrière les écrans, avec le regard plus technique d’un nouvel invité sur la question « Écologie et numérique : comment ralentir la machine ? ».

Sébastien Ortega est développeur web de métier, installé près de Montpellier, et membre du réseaux « Tech for good ». Il y a quelques années, il a fondé Metastrat, un collectif de freelances spécialisé dans la conception responsable de services numériques.

A la base, son cœur de métier c’est le développement et la création de site internet et d’application à impact positif. Mais il ne s’arrête pas là !

Vous allez l’entendre dans cet épisode, Sébastien a vraiment à cœur de “développer le changement”. Au sens figuré, comme au sens littéral. Son questionnement dépasse de loin l’aspect environnemental et s’intéresse aussi au partage de données et aux débordements du numérique actuel.

Dans cet échange, nous avons abordé avec lui les aspects techniques qui rendent ce numérique si gourmand en énergie et en données mais aussi les enjeux qui se cachent derrière notre consommation d'aujourd’hui. Loin d'être résigné à rester les doigts croisés, Sébastien en a profité pour partager avec nous les techniques qu’il utilise pour ralentir la machine… laissant apercevoir comment les pros du numérique peuvent aussi changer la donne et aller vers plus de sobriété.

Bonne écoute !

Dans cet épisode, nous sommes allés à la rencontre de Mathieu Grapeloup. Visage connu du paysage citoyen marseillais et grand utilisateur des réseaux sociaux, Mathieu est à la fois créateur de la page "Marseille à la loupe" et responsable communication du Gérès, une ONG implantée à Aubagne. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il ne compte pas ses heures sur les écrans.

Nous avons voulu discuter avec lui du rapport qu'il entretien avec le numérique et du regard qu'il porte sur cet outil en tant que professionnel de la communication du développement durable.

Conscients que le numérique est à la fois un formidable outil de communication et, en même temps, un secteur énergivore et polluant, nous nous sommes demandé où s’arrête le simple outil qui répond à un besoin, et où commence le doudou numérique ?

Outre l’aspect très personnel de cette question, l’arbitrage entre le « plus » et le « trop » s’intègre aussi dans son quotidien de professionnel, et dans la mission de solidarité climatique de l’ONG.

Un échange enrichissant, qui ouvre cette première série de 4 épisodes consacrés au thème "Ecologie et numérique : comment ralentir la machine ?". Bonne écoute !

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