Share Légalement parlant
Share to email
Share to Facebook
Share to X
By Légalement parlant
The podcast currently has 17 episodes available.
Sandrine est candidate au doctorat à la Faculté de droit de l’Université McGill. Ses études doctorales portent sur la responsabilité de l’État lors d’inconduites sexuelles policières et s’appuient sur des données empiriques provenant de membres de la société civile et des médias. Sandrine s’intéresse à la responsabilité de l’État lors d’inconduites sexuelles policières. Dans un premier temps, sa recherche doctorale analyse les mécanismes légaux qui sont mis à la disposition des victimes d’inconduites sexuelles policières afin de déterminer s’ils permettent d’asseoir la responsabilité de l’État. Dans un second temps, elle évalue le rôle de la société civile et des médias dans la responsabilisation de l’État, et ce, en effectuant une étude de cas de la crise de Val-d’Or.
// Le balado fait état d’une peur des plaignant.e.s au moment de la plainte en raison du contact avec les corps policiers. Il est à noter qu’au Québec, en date de la diffusion, les plaignant.e.s dans les cas d’agressions sexuelles commises par un policier en fonction, ainsi que les plaignant.e.s autochtones peuvent contacter directement le Bureau des enquêtes indépendantes.
Rosalie Jalbert, avocate, nous explique comment fonctionne la vaccination au Québec et au Canada et répond à la question : la vaccination pourrait-elle être obligatoire ?
Rosalie Jalbert est bachelière en droit de l’Université de Sherbrooke et a complété un diplôme d’études supérieures spécialisées en droit et sciences de la vie de l’Université de Sherbrooke. Durant ses études, Rosalie a complété un stage auprès du Commissaire aux plaintes et à la qualité des services du CIUSSS de l’Estrie-CHUS ainsi qu’un stage auprès du comité d’éthique de la recherche du CIUSSS de l’Estrie-CHUS. Depuis 2019, Rosalie pratique comme avocate dans l’équipe de droit de la santé et des services sociaux auprès de Morency société d’avocats.
Cet épisode a été enregistré le 27 juin 2021. Les opinions exprimées ne constituent pas des avis juridiques et n'engagent que les individus qui les ont formulées.
Une part importante des nouveaux arrivants et nouvelles arrivantes décident de s’installer dans les centres urbains. Ces derniers représentent historiquement pour ces populations des espaces politiquement significatifs pour leur accueil et leur intégration, mais également pour l’exercice de la citoyenneté. La plupart des grandes métropoles en Amérique du Nord et en Europe de l’Ouest ont développé récemment une action publique pour répondre aux besoins et aux revendications que leurs transformations démographiques provoquent. David Carpentier discute de ce tournant « local » de la politique d’intégration des personnes immigrantes dans le contexte québécois.
David Carpentier est candidat au doctorat en science politique à l’Université d’Ottawa et membre étudiant du Centre de recherche interdisciplinaire sur la diversité et la démocratie. Il est diplômé à la maîtrise et au baccalauréat de l’Université du Québec à Montréal. Ses recherches, financées par le Conseil de recherches en sciences humaines, portent sur les politiques publiques élaborées par les villes en matière d’intégration des personnes immigrantes. En parallèle à ses études, il est coordonnateur adjoint du Réseau des municipalités en immigration et en relations interculturelles du Québec.
N.B. Cet épisode a été enregistré le 28 mai 2021. Les opinions exprimées ne constituent pas des avis juridiques et n'engagent que les individus qui les ont formulées.
La violence conjugale est une problématique d’ordre social préoccupante, exacerbée par les mesures de confinement qui accroissent le pouvoir du conjoint violent et la vulnérabilité des victimes. D’ailleurs, la directrice de la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes, Manon Monastesse, a récemment déclaré que le Québec fait face à une épidémie de féminicides. Dans la même veine, le Gouvernement du Québec en est à son quatrième Plan d’action gouvernemental en matière de violence conjugale, et le comité non partisan a complété le rapport Rebâtir la confiance, lequel formule 190 recommandations ayant pour but d’améliorer l’accompagnement judiciaire des victimes d’agression sexuelle et de violence conjugale. Il en ressort que la victime de violence conjugale doit être davantage considérée par le système de justice criminelle. Notre invitée nous parle d'une conséquence plutôt méconnue de la violence conjugale : le cas où la victime fait face à une accusation criminelle. |
Clara-Élodie De Pue est avocate et détentrice d’un baccalauréat en droit et d’un certificat en victimologie de l’Université de Montréal. Clara-Élodie s’intéresse au droit criminel et au traitement des victimes d’actes criminels par le système de justice. Après avoir exercé près de trois ans à titre de procureure aux poursuites criminelles et pénales à Val-d’Or (DPCP), elle complète actuellement une maîtrise en droit avec mémoire à l’Université McGill où elle se concentre sur un aspect méconnu de la violence conjugale : le traitement judiciaire des victimes de violence conjugale qui font face à des accusations criminelles. |
N.B. Cet épisode a été enregistré le 26 mars 2021. Les opinions exprimées ne constituent pas des avis juridiques et n'engagent que les individus qui les ont formulées.
The podcast currently has 17 episodes available.