Nous ne sommes que des mendiants. Il y a cet appel pour retrouver l’essence, ce qu’on a de plus nu, de plus fragile et vulnérable. L’appel de la terre. Le sauvage en nous qui crie. Qui s’agite pour se défaire de toutes ces couvertures qui lui tiennent trop chaud. Retrouver le contact de l’air, de l’eau. Le froid...