Dans l’EP#39 de “Les coulisses d’une nomade en herbe”, Nadia Bertrand adresse une invitation claire : n’attendez pas demain. Agissez maintenant. Même par un premier pas. Car le temps est précieux. Sur Allô la Planète, la webradio des voyages, des mobilités et des transitions de vie, elle partage un récit simple et profond.

D’abord, Nadia parle de présence. À soi. Au corps. Au désir. Elle avance sans tout planifier. Elle apprend en chemin. Son nomadisme s’est construit par rencontres, essais, réaménagements de son Vito. Ainsi, la vie indique ce qui est juste.

Ensuite, elle assume ses paradoxes. Il y a la joie. Et il y a la peur de manquer. Maman solo en instruction en famille (IEF), elle choisit d’être là pour sa fille. Elle affirme une boussole : l’amour d’abord. Le reste vient ensuite.

Puis, elle ouvre un volet artistique. En Haute-Garonne, auprès d’une sculptrice céramiste en art singulier, Nadia relie habitat et intériorité. Construire sa maison. Construire sa maison intérieure. Elle nomme ses besoins : espace, confort, bibliothèque, visibilité. Peut-être un camping-car demain. Mais d’abord, être vraie aujourd’hui.

Par ailleurs, elle refuse la comparaison. Chacun avance à son rythme. Organisé… ou pas. Et c’est très bien. Tu es toi. C’est précieux. Elle rappelle que la performance à tout prix peut blesser. L’important, c’est l’élan intérieur.

Enfin, l’instant lecture relie le thème : un extrait de “Cœur de femme, du rêve à la réalité” (John & Stasi Eldredge). Message clé : vis maintenant. Sois présente. Offre au monde ta vraie voix.

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Dans ce premier épisode des Ecrans Voyageurs, nous partons très loin, en Sibérie, au bord du lac Baïkal. Le film La mamie patineuse du lac Baïkal, réalisé par Vivien Pieper et Laura Schmitt en 2022, fait le portrait de Lyubov : une grand-mère vivant seule au bord du lac, en plein hiver.

Dans cet épisode 38 de la chronique « Les coulisses d’une nomade en herbe », Nadia Bertrand te partage les dessous sensibles et joyeux de sa vie de maman nomade. Cette chronique est diffusée sur Allô la Planète, la webradio associative dédiée au voyage, aux récits d’autonomie et aux transitions de vie.

Depuis la Haute-Garonne, où elle est en résidence d’écriture et garde deux chats, Nadia raconte comment elle recrée un rythme. Le matin, elle accompagne sa fille dans ses apprentissages. L’après-midi, elle écrit, marche, médite et remet son corps en mouvement. Cette vie nomade en van devient alors un laboratoire pour habiter le temps autrement, plus lentement, plus consciemment.

Nadia revient aussi sur sa grande sensibilité. Un film qui la heurte, une remarque en caisse, et la voilà malade, traversée par ses émotions. Pourtant, au cœur de ce « ras-le-bol » et de ce fameux « je ne sais pas », quelque chose se clarifie. Ce qui l’anime vraiment, c’est apprendre, converser, partager et transmettre. Elle questionne aussi son projet « Les Inachevés » et la place de l’argent quand on crée depuis la joie plutôt que depuis l’obligation.

Le fil rouge de l’épisode est cette invitation : « utilise ton temps comme bon te semble ». Nadia s’appuie sur le roman « Le Goûter du lion » d’Ogawa Ito, qui célèbre la liberté de vivre ses derniers jours à son propre rythme. (editions-picquier). Elle fait le lien avec le unschooling proposé à sa fille et avec son propre unworking : apprendre et travailler à partir de ses désirs, de ses curiosités, plutôt que des « il faut » et « tu dois ».

Enfin, elle explore la joie comme boussole : un simple sourire exagéré, un fou rire, un moment de complicité avec sa fille deviennent des portes vers plus d’amour de soi, de féminité et de sensualité. Cet épisode t’invite, toi aussi, à écouter tes tripes, à honorer ton temps et à choisir ce qui te rend vivant·e sur ton propre chemin de nomade en herbe.

Retrouve tous les épisodes de « Les coulisses d’une nomade en herbe » sur Allô la Planète et sur ta plateforme de podcast préférée.

Prêts à vivre la montagne autrement ? Dans cet épisode de Carnets d’itinérance, Lucie Cossia de No Plane To Go vous emmène au cœur des cimes, là où la beauté brute de la nature se mêle parfois à sa puissance la plus redoutable : l’orage. Véritable guide pratique pour les randonneurs et amoureux d’aventure, ce podcast vous apprend à anticiper, comprendre et affronter ce phénomène météorologique avec sérénité.

1. Anticiper le danger avant qu’il ne frappe

Avant même de chausser vos bottes, la sécurité commence par l’observation. Lucie rappelle que la montagne parle à qui sait l’écouter : chute de température, vent soudain, nuages sombres… autant de signes avant-coureurs d’un orage imminent. Grâce à une méthode simple  (compter les secondes entre l’éclair et le tonnerre, puis diviser par trois), il devient possible d’estimer la distance du danger. En dessous de 15 kilomètres, l’urgence s’impose : descendre, trouver un abri et savoir renoncer. L’art de voyager en montagne, c’est aussi celui de savoir rebrousser chemin à temps.

2. Réagir efficacement face à l’imprévisible

Lorsque l’orage éclate, chaque geste compte. Lucie partage des réflexes vitaux : quitter les crêtes, éviter les arbres isolés, et se regrouper tout en gardant ses distances. S’abriter dans une grotte sèche ou une forêt dense, rester accroupi sur ses pieds joints, se protéger du sol avec un sac à dos… autant de gestes simples qui peuvent sauver une vie. L’épisode aborde aussi la conduite à tenir en cas de foudroiement : appeler le 112 et pratiquer un massage cardiaque sans attendre.

3. Éviter les erreurs fatales

Certaines attitudes augmentent considérablement le risque : rester sur un sommet, toucher du métal, s’abriter sous un rocher ou une couverture de survie. Lucie démystifie ces réflexes dangereux et invite chacun à adopter une approche respectueuse et éclairée de la montagne.

Un épisode à écouter avant votre prochaine ascension

Entre pédagogie et passion, cet épisode de Carnets d'itinérance est indispensable pour tous ceux qui aiment la randonnée, la nature et l’exploration consciente.
Écoutez dès maintenant l’épisode complet et partez l’esprit léger, même face à l’orage.

Suite du témoignage de Nathalie et Thierry : vie nomade, rencontres, nature et liberté en famille sur Allô la Planète.

Dans ce second épisode consacré à Nathalie et Thierry, Les coulisses d’une nomade en herbe nous plonge plus profondément encore dans l’intimité d’une famille en quête de liberté.

Dans la première partie (EP#36), ils nous racontaient leur déclic pour tout quitter, le choix de leurs véhicules et la transition vers une vie sur la route. Cette seconde partie, EP#37, nous montre leur quotidien nomade, entre adaptation, nature, tempêtes et rencontres précieuses.

Vivre dehors, coûte que coûte.
Après un séjour de trois mois en Bulgarie dans un studio, le constat est clair : ce qui leur manque le plus, c’est l’extérieur. Être dans un espace clos leur rappelle la sédentarité qu’ils ont quittée. Même sous la pluie, même dans la boue, la vie au grand air est devenue vitale.

Un mode de vie en constante évolution.
Leur réflexion les pousse à envisager un lieu-racine, un pied-à-terre. Pas forcément une maison “en dur”, mais un espace pour se poser, créer du lien, puis repartir.

La vraie richesse du nomadisme ? Les rencontres.
Plus que les kilomètres parcourus, c’est la richesse des échanges qui marque leur aventure. Familles rencontrées, réseaux partagés, liens tissés au fil des routes… et l’interview de Nadia Bertrand ne fait pas exception !

Ils évoquent aussi la tempête Anna, vécue près de Valence. Un moment difficile, mais aussi fort en humanité et entraide. Ces souvenirs deviennent des repères, des “pépites” qui éclairent leur chemin.

Un témoignage vibrant, sensible, sincère. À travers la voix de Nadia Bertrand, artiste et maman nomade, cette chronique révèle une autre manière de vivre, plus libre, plus humaine.

📻 Les coulisses d’une nomade en herbe est diffusée :
– Tous les 15 jours sur Allô la Planète, la webradio dédiée aux voyageurs.
– Rediffusion : Mardi 8h, Mercredi 18h, Vendredi 12h.
– Disponible aussi en podcast sur Spotify, Deezer, Apple Podcasts...

🛻 Choisir la liberté, un virage à la fois

Nathalie et Thierry racontent leur transition vers la vie nomade en famille. Un témoignage authentique et inspirant à découvrir.

Dans ce nouvel épisode de Les coulisses d’une nomade en herbe, Nadia Bertrand donne la parole à Nathalie et Thierry, un couple devenu nomade avec leur fils adolescent. Diffusée sur Allô la Planète, la webradio dédiée aux voyageurs et à la transition de vie, cette chronique propose un témoignage riche, humain et inspirant.

 Au micro, Nathalie partage le déclic : une dépression, une envie de mouvement, mais surtout une réaction forte à la réforme de l’instruction en famille, qu’elle vivait avec son fils depuis quatre ans. Demander une autorisation pour apprendre librement ? Impossible. C’est le point de bascule. Avec Thierry, ils décident de vendre leur maison, de tout réorganiser, de repenser leur quotidien.

Après une première expérience en camping-car, ils passent à une logistique sur mesure : un fourgon de 7m pour Nathalie, un pick-up avec cellule pour Thierry, une caravane pour leur fils Axel, et même une remorque pour la moto de Thierry. Une organisation atypique, mais flexible, qui répond à leur quête de liberté et d’autonomie.

Sans oublier leurs deux chats et leur chien, compagnons de route fidèles, même si l’adaptation au nomadisme animalier n’est pas toujours simple.

Ce qui frappe dans ce témoignage, c’est la capacité d’adaptation de cette famille. Rien n’est figé. Vendre, racheter, réajuster, expérimenter. Ils ne cherchent pas la perfection, mais la cohérence avec leurs envies. Et la liberté de changer de cap.

🎧 Écoutez l’épisode sur :
👉 Allô la Planète – la radio des voyageurs. htpps://www.allolaplanete.fr
📲 Et sur Spotify, Deezer, Apple Podcasts… 

📌 Prochain épisode : la suite de leur témoignage dans 15 jours.

Et si la vraie aventure commençait au pas de votre porte ? Dans cette chronique de Voyage sans Ailes, Lucie Cossia nous invite à redécouvrir le plaisir du voyage lent, sans avion ni voiture. À travers son Carnet d’itinérances, elle partage des conseils concrets, des récits authentiques et une philosophie de vie : celle d’une exploration responsable, à la force des jambes, du souffle et de la curiosité.

Voyager sans moteur : la liberté retrouvée

Lucie a tout quitté pour suivre sa passion du voyage alternatif. Après un premier périple à vélo post-Covid, réalisé avec un équipement minimaliste, elle découvre que l’aventure ne dépend ni du budget ni du matériel. Cette simplicité devient sa force. Elle prône une approche désinhibée du voyage : partir avec ce que l’on a, savourer les imprévus, et s’enrichir de l’expérience brute. Son message ? Inutile d’attendre le moment parfait : il suffit de pédaler, marcher ou pagayer pour s’élancer.

Une aventure accessible à tous, toute l’année

Avec son guide No Plane To Go, Lucille propose des itinéraires pour voyager autrement, en France et en Europe, été comme hiver. Itinérance à vélo, randonnée en raquettes, escapade en Méditerranée : les possibilités sont infinies pour celles et ceux qui veulent explorer autrement. Loin des clichés du grand départ, elle démontre que la micro-aventure et le voyage lent sont à la portée de chacun, même pour quelques jours.

Redéfinir l’itinérance : avancer pas à pas

Pour Lucie, l’itinérance, c’est avant tout l’art du mouvement progressif. Marcher, pédaler, pagayer... peu importe le moyen, l’essentiel est de relier les étapes, d’observer le monde se transformer à mesure qu’on avance. De son récent périple de Bordeaux à Barcelone, elle retient la magie du désert des Bardenas et la joie simple de se sentir pleinement libre.

 Envie de tenter l’aventure ?
Écoutez Carnet d’itinérances dans Voyage sans Ailes sur Allô la Planète et laissez-vous inspirer par le voyage lent, authentique et durable. Et si votre prochaine aventure commençait aujourd’hui ?

Voici le 11ème épisode de Boris part en live, chronique de Voyage sans ailes sur la webradio des voyageurs Allo la Planète. Boris vous parle cette fois de la richesse des rencontres en voyage, quelle que soit leur nature ou leur durée. Il y a les échanges autour d'un repas, les simples interactions, ou encore les personnes qui font un bout de chemin avec vous... Sans oublier, évidemment, la plus importante des rencontres : celle avec soi-même.

Et si embellir sa vie, c’était commencer par visser une étagère ? Dans cet épisode de Les coulisses d’une nomade en herbe, Nadia Bertrand nous emmène dans l’intimité d’un moment simple : celui de bricoler, de transformer son van, de se relier à la matière. Sur Allô la Planète, la webradio dédiée aux voyageurs et aux modes de vie alternatifs, elle raconte ce lien précieux entre gestes concrets et recentrage personnel.

Dans son garage normand, loin de la route mais au plus près d’elle-même, elle construit, mesure, ajuste. Elle parle aussi de cette fierté douce, de ce sentiment d’accomplissement qui naît du travail des mains. Embellir, c’est ici réparer, réinventer, se reconnecter. Et surtout, prendre le temps de ressentir, dans le silence ou dans le frottement d’une lame sur le bois.

Ce moment de pause s’inscrit dans une période de tri : des objets, des habitudes, des croyances. À l’image de la nouvelle lune en Vierge, c’est l’occasion pour elle de faire de la place, d’aligner son mode de vie à ses valeurs profondes. L’épisode évoque aussi la vie de famille en van, les apprentissages en liberté avec Clonlara, et les défis d’un quotidien loin de la performance.

Nadia nous rappelle que la vie nomade est aussi une voie de transformation intérieure. Elle invite chacun à écouter sa voix intérieure, à accueillir la peur, et à faire un premier pas. Même minuscule.

💬 Un moment fort : l’extrait du livre Jade et les sacrés mystères de la vie de François Garagnon, qui résonne profondément avec le message de l’épisode :

« Tu sais, on embellit quand on se sent aimé. »

Dans ce 34e épisode de sa chronique Les coulisses d’une nomade en herbe, Nadia Bertrand célèbre trois années de vie sur les routes. Depuis la webradio Allô la Planète, dédiée aux récits de voyage, d’autonomie et de transitions de vie, elle nous invite à ralentir, à trier, à ressentir.

Fin août, elle vide un box de souvenirs. Lave-linge, tatamis, batterie de cuisine… autant d’objets qui n’ont plus leur place dans son présent. Ce grand tri n’est pas seulement matériel. Il est symbolique, révélateur d’un choix pleinement assumé : vivre une vie nomade en conscience.

Avec sa fille, devenue ado, elles rêvent désormais d’un camping-car plus spacieux, où chacune aurait son espace. Elles réinventent leur habitat mobile, vendent leur Vito, et esquissent une nouvelle manière d’habiter le monde.

Leur non-rentrée s’ancre dans l’instruction libre avec Clonlara, une école alternative qui valorise les apprentissages naturels. Le quotidien devient école. Le silence devient ressource.

📖 Dans sa lecture du moment, Paresse pour tous d’Hadrien Klent, Nadia découvre un manifeste pour une vie centrée sur l’humain plutôt que le travail. Ce message entre en résonance avec son mode de vie, son rapport au temps et à l’argent. Loin du productivisme, elle choisit de cultiver le temps libre comme un art de vivre.

 Elle partage aussi ses doutes, ses traversées émotionnelles, ses envies de refondre son site web, de créer un nouveau reflet numérique de ce qu’elle devient. À travers cette chronique, elle ouvre une fenêtre sincère sur ce qu’implique se réinventer, dans un monde qui va vite.

🎧 À écouter sur :
👉 Allô la Planète
Ou sur toutes les plateformes de podcast : Spotify, Deezer, Apple Podcasts…

💬 Un extrait marquant du livre Jade et les sacrés mystères de la vie de François Garagnon vient sublimer cet épisode comme un souffle de lumière et de gratitude.