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La réussite est aujourd’hui un critère de société important pour l’atteinte du bonheur. Avoir un boulot bien payé, une maison, une belle voiture et une famille sont le signe d’une belle réussite sociale, mais si en plus vous êtes riche et bien là, vous devenez un modèle de réussite que beaucoup vous envieront.
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Notre société promeut ce modèle social à travers des entrepreneurs à la tête de multinationales alors qu’ils ne partaient de rien, des sportifs ayant travaillé dur pour conquérir les plus grands titres, des artistes au talent reconnu (ou pas), mais qui ont su tirer leur épingle du jeu pour s’imposer comme des célébrités du petit et du grand écran.Ces hommes et ces femmes sont devenus les stars du panthéon, adulées par notre société où la compétition est le maître mot.
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À longueur de journée, les médias nous bassinent avec ces demi-dieux exhibant leurs possessions, leurs joies, leurs « bonheurs » et on ne voit que ça. Mais sont-ils vraiment heureux pour autant » ? Qu'en est-il de leur vie personnelle, de ce qu’ils sont, de ce qu’ils ressentent vraiment « ?
Est-ce que tous ces biens matériels sont le reflet de leur bonheur » ? Objectivement, je ne le pense pas. Ils sont surtout l’aboutissement de leur succès.
Ces personnes ne sont pas nécessairement plus heureuses que la plupart d’entre nous dans leur vie parce qu’elles ne sont pas forcément épanouies.
La réussite telle qu’on nous la vend aujourd’hui répond plutôt à un modèle que notre société a créé. Un modèle basé sur la souffrance où le bonheur est promis après l’effort, mais surtout un bonheur éphémère qui s’évanouit bien trop vite, puisque basé sur un esprit consumériste.
Pourtant elle devient un levier puissant permettant à l’homme de survivre, d’améliorer ses conditions de vie.Malgré cela, cet effort douloureux ne devrait pas être le moteur d’un processus permettant d’atteindre le bonheur. Il est peut-être indispensable, mais devrait être réduit à son strict nécessaire.
L’instinct de survie de l’homme, dont certains disent qu’il est un loup pour lui-même et qu’il n’a guère, de ce fait, d’autre choix que de rentrer dans cette logique de compétitivité. Une logique erronée, car ne répondant qu’à son instinct primaire de survie.Dans nos sociétés occidentales et notamment en France à travers son système social, celui qui choisit de se contenter du minimum vital peut vivre sans avoir cette prétendue nécessité d’écraser les autres. Nous ne sommes pas, pour la plupart, dans cette logique de survie, mais plutôt dans un certain confort et pourtant beaucoup d’entre nous agissent comme si nous devions survivre.C’est uniquement notre système fondé sur l’esprit de consommation qui oblige l’homme à agir ainsi et rien d’autre.
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Il est pourtant possible d’atteindre ses objectifs ou d’améliorer sa condition de vie sans rentrer totalement dans ce système.
L’homme est fait pour vivre pleinement sa nature profonde qui, comme une fleur, épanouit ses pétales selon un processus spontané et non contraint par la volonté et encore moins par des règles qui ne sont pas les siennes.
Il peut ainsi évoluer dans sa vie et au sein même de cette société en s’épanouissant pleinement, en vivant la vie comme un jeu,