L'entraîneur Jim Montgomery a commencé la saison 2024-2025 avec les Bruins de Boston dans la foulée de son titre d'entraîneur-chef par excellence. Il a néanmoins été congédié en cours de saison... pour se retrouver à la barre des Blues de St. Louis quelques jours plus tard.

Presqu’un an plus tard, le Montréalais se confie au micro de Louis Jean, aux Amateurs de sports. Il aborde la pression d’être un entraîneur de la LNH. Montgomery commente également la plus récente transaction entre les Canadiens et les Blues. Il parle notamment du jeu physique de Zachary Bolduc et louange l’arrivée de Logan Mailloux au sein de sa brigade défensive.

Le camp d’orientation pour les équipes masculine, féminine et de para hockey du Canada a lieu à Calgary. Et les objectifs sont clairs en vue des prochains Jeux olympiques : la médaille d’or! Dans le cas du hockey masculin, 41 joueurs ont été invités, dont Samuel Montembeault, Nick Suzuki et Noah Dobson. Le journaliste du LNH.com, Jean-François Chaumont, est allé à la rencontre de ces trois joueurs du tricolore. Le capitaine du bleu-blanc-rouge a affirmé qu’il serait même prêt à jouer à l’aile. Sidney Crosby a quant lui été questionné sur la place possible de Macklin Celebrini au sein de l’alignement, tandis que Connor McDavid s’est déjà fait poser la question qui tue : as-tu déjà eu des discussions sur une prolongation de contrat avec les Oilers?

Le Montréalais Neil Glasberg est le fondateur, président et chef de la direction de l'agence PBI Sports & Entertainment. Et il est notamment agent... d'entraîneurs. Celui qui a comme principaux clients Mike Sullivan des Rangers, Ryan Warsofsky des Sharks et Lane Lambert du Kraken, explique l’importance du soutien psychologique pour les entraîneurs. Un autre dossier est abordé : qu'est-ce qui explique la vague d'entraîneurs qui quittent vers la KHL? Il n’y a qu’à penser aux Bob Hartley, Guy Boucher, Benoît Groulx, Louis Robitaille, et maintenant Gérard Gallant. Selon Glasberg, «Les équipes de la KHL sont très agressives envers les entraîneurs de la LNH».

Prendre une bière - ou deux - après une participation à un sport - partie de golf, tennis, match de hockey - est de moins en moins courant. On note une baisse marquée de la consommation de bière après le sport, notamment dans les ligues de hockey, depuis la décennie 2010-2020 et surtout depuis la fin de la pandémie. Ce changement s’explique par la valorisation de l’image disciplinée de l’athlète, la diminution de 35 à 40 % des bars depuis sept à huit ans, et la réglementation de la tolérance zéro pour les moins de 22 ans depuis 2012, modifiant les habitudes sociales et de récupération des sportifs. Écoutez à ce sujet Vincent Huard Pelletier, professeur à l’Université du Québec à Chicoutimi.

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